YuQiuren2
2023-06-11 18:52:03
Avant la lecture du topic, je voudrais mettre les choses au clair:https://image.noelshack.com/fichiers/2023/23/7/1686502309-1596373788-1514750518-certificationfake.png
Cette histoire se passe à l'université. À l'époque, je suis encore tout jeune et innocent.
N'ayant jamais été en couple une fille, je suis ouvert à toute expérience permettant de mettre fin à ma virginité.
Nous sommes le jour de la rentrée. Je suis assis dans un immense amphithéâtre, tout stressé, moi qui était habitué à l'ambiance conviviale des classes de lycées. Nous sommes en été, donc l'ensemble des étudiants porte des tenues légères.
J'aperçois un groupe de filles qui semblent rire aux premiers rangs, pas loin de l'estrade où le professeur nous introduisait notre futur cursus. Me situant un peu plus en hauteur, je distingue leurs décolletés et leurs peaux luisantes. Leurs cheveux ne sont pas attachés. Elles n'attachent pas d'importance aux dires de l'enseignant.
Une d'entre elles arrive à plus attirer mon intention. Elle est blonde et est recouverte de vêtements aux couleurs vives. Sa tenue cache des formes généreuses, autant au niveau de la poitrine que du fessier. Elle a un sourire malicieux, qui accentue le charisme naturel de sa posture.
C’est une créature extraordinairement sophistiquée dont tout l’art consiste à paraitre naturelle et spontanée. Ses cheveux dénoués figurent l’étendard de quelques révoltes gaies. Elle est fine comme une liane, une sauvage imprévisible, et d’une audace qui tranche avec sa moue enfantine.
Plus tard dans la semaine, je me retrouve assis à côté d'elle dans un TD. Elle paraît déconcentrée et n'arrête pas de regarder son téléphone pour être au fait de choses futiles. Au bout d'une heure à être plongée dans ses activités, elle me pose une question de quelqu'un qui n'a pas suivi une miette du cours. D'un côté, je n'avais pas envie de lui répondre, mais d'un autre, étant hypotonisé par cette créature, je réponds à sa question. Puis, comme un enfant capricieux qu'on arrive pas à contredire, elle me remercie pour ma réponse. Elle profite de cette occasion de me parler pour me faire un compliment. Je lui renvoie un léger sourire, presque gêné. À la fin de cette petite classe, elle en profite pour m'inviter à une soirée, organisée dans sa résidence étudiante.
Nous sommes le jour durant lequel s'apprête à se dérouler la soirée. Je suis anxieux. C'est la première fois qu'une personne du sexe opposé m'invite à ce type d'évènement informel. J'ai du mal à me concentrer et ne pense qu'à cette soirée, qui m'obsède pour une raison que j'ignore. Je vais par conséquent sur le forum, à la recherche de conseils. On me répond: 'baise la'. Je mets une tenue plus élégante qu'en temps normal, et je rejoins le bâtiment de sa résidence.
Je franchis la porte d'entrée. Il y a beaucoup de bruit. Tout d'un coup, j'aperçois sa silhouette rayonnante qui m'invite à entrer. Elle me présente à ses amis. On discute, d'autres individus arrivent et ils commencent à danser. Alors que je situe en retrait, elle m'invite à la rejoindre sur la piste. On danse calmement, en s'enlaçant. La musique devient plus forte et la lumière commence à se faire de plus en plus rare. Les danseurs autour de nous deux semblent être guidés par un rythme effréné.
Son visage se rapproche progressivement du mien. Soudainement, sa bouche effleure la mienne et nous finissons par nous embrasser. Le baiser durera presque une minute. On continue à danser jusqu'à 23 heures. Les étudiants autour de nous se font de plus en plus rares. On n'est plus qu'une dizaine à se situer dans la salle.
Poliment, je me porte volontaire pour l'aider à nettoyer l'espace de fête. Au fond de moi, je sais que je serai de retour chez moi bien après une heure du matin.
Peu avant minuit, une fois le nettoyage fini, la demoiselle me propose de faire un tour de la résidence. Elle me montre brièvement leurs espaces communs, entourés de quelques portes individuelles.
Dans son élan jusqu'alors ininterrompu, elle décide de s'arrêter devant une porte grise. Son nom est écrit dessus. J'en déduis qu'il s'agit de sa chambre. Elle me le confirme. Je suis content.
Elle me propose d'y entrer pour finir la soirée. Il est bientôt une heure du matin. La lumière est éteinte. Seule la lumière lunaire passant à travers la vitre de sa fenêtre nous enveloppe d'une étreinte qui ne m'est pas familière.
Je m'assois sur son lit Conforama. Elle reste devant moi et retire son T-Shirt blanc de la marque Zara. J'observe et analyse la situation. Elle n'avait rien dessous, pas même un modeste soutient gorge. Je constate qu'elle fait du bonnet E. Ses seins sont légèrement tombant mais on l'air assez fermes. Elle retire son jean noir. Ses cuisses sont généreuses et particulièrement bien taillées. Je reste abasourdi. Enfin, elle enlève ses chaussures à talon et ses chaussettes. Ses feet rayonnent.
Tout d'un coup elle se jette sur moi. Je me laisse faire. Elle arrache ma chemise et retire ma ceinture avec ses dents. D'un brusque coup, elle retire mon pantalon et me laisse planté là, au milieu de son lit probablement acheté sur Le Bon Coin. Je la vois se diriger dans un coin de sa minuscule chambre d'étudiante. J'en profite pour réfléchir au sens de ma vie.
Elle revient vers moi avec une corde et me demande: 'Pourquoi ce regard si sérieux ?'. Je ne réponds rien. Ensuite, elle rétorque: 'Pourquoi ce regard si sérieux ? Il faut mettre un beau sourire sur ce visage !'. Elle m'attache les deux poignées avec sa corde. Je suis ainsi nu sur le lit, et les deux bras au dessus de ma tête, sur le dos.
J'écarte mes bras et arrive sans trop de difficultés à me libérer de sa corde. Son délire m'a fait des nœuds au cerveau, bien que cette étudiante n'arrive pas à faire un nœud digne de ce nom. En regardant dans sa direction, je constate qu'elle a la tête enfuie dans son matelas, le fessier à l'air, les deux entrées des grottes ouvertes pour l'explorateur que je suis. Je m'y introduis.
À mesure que je la pénètre, je suis accro à l’endurance physique extrême, au marathon de la décharge
d’énergie. Une fois absorbée, ma verge est neutralisée et cela permet une métamorphose. Le plaisir seul est simple indulgence passagère, une distraction subtile, une anesthésie sur le chemin de quelque chose de plus élevé, de plus profond, plus intime. L’éternité se trouve au-delà, bien au-delà du plaisir. Le pourtour
de son cul est l’horizon de l’événement sexuel, la frontière de cet au-delà auquel il n’y a pas d’échappatoire.
Notre pratique tout à fait improvisée suppose une réelle coopération. La coopération dans un esprit de politique aristocratique, qui entraîne des hiérarchies strictes, des positions féodales et des attitudes monarchistes. L’un commande, l’autre obéit. Pouvoir absolu, obéissance tout aussi absolue. Nous nous passons de la sécurité du filet démocratique et antidiscriminatoire. Ceci parait sur le moment l’arrière-fond d’une imminente histoire d’amour.
Si je devais résumer notre acte: une minute pour l’un, une minute pour l’autre, une incursion chez le Démon puis retour au Seigneur. Mon désir est si vaste, si béant, si caverneux, si profond, si long, si ancien et si jeune, tellement jeune.
Après ce rodéo sensuel, nous nous endormons, essoufflés et transformés. Le lendemain, nous nous réveillons, et buvons un bon chocolat chaud. La boisson lui brûle les lèvres. J'entends un discret 'issou' sortir de sa bouche.