ChatSudiste
2023-05-29 09:58:26
J'ai toujours eu une passion pour la lecture et l'écriture, et durant des années je me suis empêché d'écrire car je ne me sentais pas légitime à le faire.
Mais je me suis lancé, et j'ai trouver l'inspiration en les personnes de Julien Rochedy et Antoine Goya, ce sont mes muses et j'aime leurs faire faire des choses dans mes écrits.
Voici la première page d'un mes écrits, dîtes moi ce que vous en pensez, suis-je sur la bonne voie ?
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Paris - XVIIe arrondissement
Une pluie diluvienne s’abat sur la capitale, alors que qu’Antoine Goya cherche le club de l’étoile, traversant l’avenue de la grande armée il tourna sa tête vers la droite, comme à son habitude, et il vit l’Arc de triomphe, mais quelle beauté s'exclama t-il, c'est en admirant un tel monument de l'histoire de France, impunt d’un sentiment si fort devant un vestige de la gloire d'antan, il ne pu voir qu’une voiture roulant à toute allure remonté l’avenue, c’est une fois à son niveau qu’elle fit lever une vague d’eau sur lui, Antoine fulminait de colère, avant de résorber cette haine en lui, comme le ferait un grand penseur du XIXe siècle.
C’est à ce moment là que Rochedy passa avec sa mercedes dernier modèle, il vit Antoine sur le bord de l’avenue trempé jusqu’aux os, nous sommes dans des temps difficiles où il faut savoir tendre la main se dit t’il
La mercedes s’arrêta au niveau d’Antoine, la fenêtre côté passager descendit, “oh bha ça alors !” s’étonna Antoine en voyant le visage de Rochedy confortablement assis dans son fauteuil, “Tu veux monter ?” proposa Rochedy, Antoine réfléchit “Il me reste encore un peu de temps avant ma représentation au club de l’étoile, et j’ai vraiment froid”, “D’accord, car comme le dirait Nietzsche …” répondit Antoine avant d'être coupé par Rochedy “Rhoo ça va tu vas pas commencer, monte j’ai un appart non loin dans le VIIIe arrondissement
Roulant sous la lumière des lampadaires de la ville de l’amour, sous une pluie battante, Antoine se sentit plus à l’aise lorsque Rochedy alluma le chauffage. “Merci” lança Antoine, “Mais avec plaisir, tu voudras peut-être te changer, tu m’as l’air trempé" proposa Rochedy toujours aussi élégant et gentleman, “je ne voudrais pas abuser de ton hospitalité, surtout après nos échanges sur …” Encore une fois Antoine se fit couper la parole par Rochedy “Inutile de parler de ces histoires anciennes, tu sais tout autant que moi que tu as raison sur la pensée profonde”, Antoine se vexe “inutile de me passer de la pommade Julien, soit franc et honnête avec moi, as tu des griefs contre moi ?” “Bien sûr que non ! je te donne raison Antoine, pour une fois accepte ce qui sors de ma bouche, tu as eu raison de me remettre à ma place, j’étais en tort, ne nous fâchons pas pour des simagrés enfin”
Antoine tourna la tête pour regarder dehors, les lumières de la ville sont plus belles sous la pluie, les barrières de travaux et les gilets des cyclistes mettent de la couleur à cette ville devenue si morose, la pluie s'écoulait sur la fenêtre de la voiture filant à travers la capitale, antoine sombra dans ses pensées. Cette météo est favorable à la mélancolie n’est-il pas ?
“Nous y voilà” lança Rochedy à Antoine comme une perche qu’il lui tendrais pour le rapprocher de lui, alors qu’il garait sa voiture en créneaux dans une rue ressemblante à toutes celles de Paris, Antoine sera son sac en cuir contre lui “je crains que mes documents n’ai pris l’eau”, “ce n’est pas un problème Antoine, je te les imprimerais pendant que tu te changeras” “Merci”
Les chaussettes d’Antoine font des chpouics chpouics en montant les escaliers de ce bâtiment d’avant guerre, alors que les deux compères entrent dans l’appartement, Antoine retira ses chaussures par respect, mais également ses chaussettes trempées