Bordel incroyable cette nouvelle
http://maupassant.free.fr/pdf/famille.pdf
Résumé :
Le narrateur est très proche de Simond, son meilleur ami, ils ont les mêmes goûts, les mêmes ambitions.
Simond se marie avec une ramdom
Comment cette petite blondasse, maigre, aux mains niaises, aux yeux clairs et vides, à la voix fraîche et bête, pareille à cent mille poupées à marier, avait-elle cueilli ce garçon intelligent et fin ? Peut-on comprendre ces choses-là ? Il avait sans doute espéré le bonheur, lui, le bonheur simple, doux et long entre les bras d’une femme bonne, tendre et fidèle ; et il avait entrevu tout cela, dans le regard transparent de cette gamine aux cheveux pâles.
et le narrateur se sépare de lui pendant 15 ans.
Lorsque le narrateur le revoit 15 ans après :
Le train s’arrêta dans une petite gare. Comme je descendais de wagon, un gros, très gros homme, aux joues rouges, au ventre rebondi, s’élança vers moi, les bras ouverts, en criant : « Georges. » Je l’embrassai, mais je ne l’avais pas reconnu
L’œil brillait pourtant, plein de joie et d’amitié ; mais il n’avait plus cette clarté intelligente qui exprime, autant que la parole, la valeur d’un esprit.
Simond évoque qu’il a 5 enfants
- Cinq. Encore trois restés à la maison ! » Il avait répondu cela d’un air fier, content, presque triomphant ; et moi je me sentais saisi d’une pitié profonde, mêlée d’un vague mépris, pour ce reproducteur orgueilleux et naïf qui passait ses nuits à faire des enfants entre deux sommes, dans sa maison de province, comme un lapin dans une cage.
La magali de Simond :
Sur le perron, une dame apparut, parée pour la visite, coiffée pour la visite, avec des phrases prêtes pour la visite. Ce n’était plus la fillette blonde et fade que j’avais vue à l’église quinze ans plus tôt, mais une grosse dame à falbalas et à frisons, une de ces dames sans âge, sans caractère, sans élégance, sans esprit, sans rien de ce qui constitue une femme. C’était une mère, enfin, une grosse mère banale, la pondeuse, la poulinière humaine, la machine de chair qui procrée sans autre préoccupation dans l’âme que ses enfants et son livre de cuisine.
La fin de la nouvelle : lorsque le narrateur est dans la chambre d’ami chez Simond
je montai dans ma chambre pour me coucher : j’étais triste, triste, triste ! Et je me mis à ma fenêtre. On n’entendait rien au- dehors qu’un très léger, très doux, très joli gazouillement d’oiseau dans un arbre, quelque part. Cet oiseau devait chanter ainsi, à voix basse, dans la nuit, pour bercer sa femelle endormie sur ses œufs. Et je pensai aux cinq enfants de mon pauvre ami, qui devait ronfler maintenant aux côtés de sa vilaine femme.
[23:42:41] <JeVeuxMa10sur10>
French dreamed pour toujours ce Simond
Toujours mieux que d'être une gueule cassé en 1920
Ahiiii
En même temps le narrateur il fait quoi dans sa vie ?
Parce que si le mec est juste un observateur de la vie des autres, sans aucun but transcendant qui le porte avec des réalisation et des accomplissement concret.
Le mec vaut moins que son pote
Le 22 mai 2023 à 00:13:00 :
Je rappelle que 80% de la population mondiale est dreameuse.
Depuis le 19eme siècle
Le 21 mai 2023 à 23:55:46 :
Ahiiii
En même temps le narrateur il fait quoi dans sa vie ?
Parce que si le mec est juste un observateur de la vie des autres, sans aucun but transcendant qui le porte avec des réalisation et des accomplissement concret.
Le mec vaut moins que son pote
Forumeur lambda.
Quant à lui, caprice ou autre chose, il s’en moque bien, pourvu que le résultat soit le même. Et le résultat qu’il poursuit est le même.
Alors il triomphe. L’assiégeant emporte la place. Or, une fois maître, il s’aperçoit peu à peu que cette conquête, qu’il jugeait de loin incomparable, ne vaut en somme ni plus ni moins que les précédentes. Mais la vaincue commence à aimer son vainqueur, bien faiblement encore, il est vrai, comme un usurier peut aimer le beau viveur à qui il vient de prêter cinq cents louis. Elle a fait une avance de fonds et elle tient à rentrer dans ses frais - Comment ? dira-t-on. - Mais elle a risqué sa réputation, sa tranquillité, l’ordre de sa vie. Et puis toute femme prend toujours au sérieux le fameux mot : « capital » de M. Dumas. Oh ! elle en altère le sens, par exemple, estimant inépuisable ce capital que M. Dumas juge perdu si vite.
Alors commence la chaîne.
French Dreamed depuis 1881
Le 22 mai 2023 à 10:32:41 :
Quant à lui, caprice ou autre chose, il s’en moque bien, pourvu que le résultat soit le même. Et le résultat qu’il poursuit est le même.
Alors il triomphe. L’assiégeant emporte la place. Or, une fois maître, il s’aperçoit peu à peu que cette conquête, qu’il jugeait de loin incomparable, ne vaut en somme ni plus ni moins que les précédentes. Mais la vaincue commence à aimer son vainqueur, bien faiblement encore, il est vrai, comme un usurier peut aimer le beau viveur à qui il vient de prêter cinq cents louis. Elle a fait une avance de fonds et elle tient à rentrer dans ses frais - Comment ? dira-t-on. - Mais elle a risqué sa réputation, sa tranquillité, l’ordre de sa vie. Et puis toute femme prend toujours au sérieux le fameux mot : « capital » de M. Dumas. Oh ! elle en altère le sens, par exemple, estimant inépuisable ce capital que M. Dumas juge perdu si vite.
Alors commence la chaîne.
French Dreamed depuis 1881
Bordel ce craie en or
L’art de rompre
Le 21 mai 2023 à 23:41:43 :
Bordel incroyable cette nouvelle
http://maupassant.free.fr/pdf/famille.pdfRésumé :
Le narrateur est très proche de Simond, son meilleur ami, ils ont les mêmes goûts, les mêmes ambitions.
Simond se marie avec une ramdomComment cette petite blondasse, maigre, aux mains niaises, aux yeux clairs et vides, à la voix fraîche et bête, pareille à cent mille poupées à marier, avait-elle cueilli ce garçon intelligent et fin ? Peut-on comprendre ces choses-là ? Il avait sans doute espéré le bonheur, lui, le bonheur simple, doux et long entre les bras d’une femme bonne, tendre et fidèle ; et il avait entrevu tout cela, dans le regard transparent de cette gamine aux cheveux pâles.
et le narrateur se sépare de lui pendant 15 ans.
Lorsque le narrateur le revoit 15 ans après :
Le train s’arrêta dans une petite gare. Comme je descendais de wagon, un gros, très gros homme, aux joues rouges, au ventre rebondi, s’élança vers moi, les bras ouverts, en criant : « Georges. » Je l’embrassai, mais je ne l’avais pas reconnu
L’œil brillait pourtant, plein de joie et d’amitié ; mais il n’avait plus cette clarté intelligente qui exprime, autant que la parole, la valeur d’un esprit.
Simond évoque qu’il a 5 enfants
- Cinq. Encore trois restés à la maison ! » Il avait répondu cela d’un air fier, content, presque triomphant ; et moi je me sentais saisi d’une pitié profonde, mêlée d’un vague mépris, pour ce reproducteur orgueilleux et naïf qui passait ses nuits à faire des enfants entre deux sommes, dans sa maison de province, comme un lapin dans une cage.
La magali de Simond :
Sur le perron, une dame apparut, parée pour la visite, coiffée pour la visite, avec des phrases prêtes pour la visite. Ce n’était plus la fillette blonde et fade que j’avais vue à l’église quinze ans plus tôt, mais une grosse dame à falbalas et à frisons, une de ces dames sans âge, sans caractère, sans élégance, sans esprit, sans rien de ce qui constitue une femme. C’était une mère, enfin, une grosse mère banale, la pondeuse, la poulinière humaine, la machine de chair qui procrée sans autre préoccupation dans l’âme que ses enfants et son livre de cuisine.
La fin de la nouvelle : lorsque le narrateur est dans la chambre d’ami chez Simond
je montai dans ma chambre pour me coucher : j’étais triste, triste, triste ! Et je me mis à ma fenêtre. On n’entendait rien au- dehors qu’un très léger, très doux, très joli gazouillement d’oiseau dans un arbre, quelque part. Cet oiseau devait chanter ainsi, à voix basse, dans la nuit, pour bercer sa femelle endormie sur ses œufs. Et je pensai aux cinq enfants de mon pauvre ami, qui devait ronfler maintenant aux côtés de sa vilaine femme.
Intéressant. Elle est dans quel recueil de nouvelles celle-là ?
Le 22 mai 2023 à 10:38:21 :
Le 21 mai 2023 à 23:41:43 :
Bordel incroyable cette nouvelle
http://maupassant.free.fr/pdf/famille.pdfRésumé :
Le narrateur est très proche de Simond, son meilleur ami, ils ont les mêmes goûts, les mêmes ambitions.
Simond se marie avec une ramdomComment cette petite blondasse, maigre, aux mains niaises, aux yeux clairs et vides, à la voix fraîche et bête, pareille à cent mille poupées à marier, avait-elle cueilli ce garçon intelligent et fin ? Peut-on comprendre ces choses-là ? Il avait sans doute espéré le bonheur, lui, le bonheur simple, doux et long entre les bras d’une femme bonne, tendre et fidèle ; et il avait entrevu tout cela, dans le regard transparent de cette gamine aux cheveux pâles.
et le narrateur se sépare de lui pendant 15 ans.
Lorsque le narrateur le revoit 15 ans après :
Le train s’arrêta dans une petite gare. Comme je descendais de wagon, un gros, très gros homme, aux joues rouges, au ventre rebondi, s’élança vers moi, les bras ouverts, en criant : « Georges. » Je l’embrassai, mais je ne l’avais pas reconnu
L’œil brillait pourtant, plein de joie et d’amitié ; mais il n’avait plus cette clarté intelligente qui exprime, autant que la parole, la valeur d’un esprit.
Simond évoque qu’il a 5 enfants
- Cinq. Encore trois restés à la maison ! » Il avait répondu cela d’un air fier, content, presque triomphant ; et moi je me sentais saisi d’une pitié profonde, mêlée d’un vague mépris, pour ce reproducteur orgueilleux et naïf qui passait ses nuits à faire des enfants entre deux sommes, dans sa maison de province, comme un lapin dans une cage.
La magali de Simond :
Sur le perron, une dame apparut, parée pour la visite, coiffée pour la visite, avec des phrases prêtes pour la visite. Ce n’était plus la fillette blonde et fade que j’avais vue à l’église quinze ans plus tôt, mais une grosse dame à falbalas et à frisons, une de ces dames sans âge, sans caractère, sans élégance, sans esprit, sans rien de ce qui constitue une femme. C’était une mère, enfin, une grosse mère banale, la pondeuse, la poulinière humaine, la machine de chair qui procrée sans autre préoccupation dans l’âme que ses enfants et son livre de cuisine.
La fin de la nouvelle : lorsque le narrateur est dans la chambre d’ami chez Simond
je montai dans ma chambre pour me coucher : j’étais triste, triste, triste ! Et je me mis à ma fenêtre. On n’entendait rien au- dehors qu’un très léger, très doux, très joli gazouillement d’oiseau dans un arbre, quelque part. Cet oiseau devait chanter ainsi, à voix basse, dans la nuit, pour bercer sa femelle endormie sur ses œufs. Et je pensai aux cinq enfants de mon pauvre ami, qui devait ronfler maintenant aux côtés de sa vilaine femme.
Intéressant. Elle est dans quel recueil de nouvelles celle-là ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png
Le Horla
De Maupassant qui se gare pile entre Action et Noz pour optimiser ses déplacements
Le 22 mai 2023 à 10:36:22 :
Le 22 mai 2023 à 10:32:41 :
Quant à lui, caprice ou autre chose, il s’en moque bien, pourvu que le résultat soit le même. Et le résultat qu’il poursuit est le même.
Alors il triomphe. L’assiégeant emporte la place. Or, une fois maître, il s’aperçoit peu à peu que cette conquête, qu’il jugeait de loin incomparable, ne vaut en somme ni plus ni moins que les précédentes. Mais la vaincue commence à aimer son vainqueur, bien faiblement encore, il est vrai, comme un usurier peut aimer le beau viveur à qui il vient de prêter cinq cents louis. Elle a fait une avance de fonds et elle tient à rentrer dans ses frais - Comment ? dira-t-on. - Mais elle a risqué sa réputation, sa tranquillité, l’ordre de sa vie. Et puis toute femme prend toujours au sérieux le fameux mot : « capital » de M. Dumas. Oh ! elle en altère le sens, par exemple, estimant inépuisable ce capital que M. Dumas juge perdu si vite.
Alors commence la chaîne.
French Dreamed depuis 1881
Bordel ce craie en or
L’art de rompre
Deux solutions se présentent, toujours les mêmes :
Ou bien, de scène en scène, on arrive au combat final, au vrai combat ; aux gifles odieuses, aux coups déshonorants pour l’homme ; car celui qui lève la main sur une femme, pour n’importe quel motif, en quelque occasion que ce soit, n’est jamais qu’un pleutre, un goujat et une brute ;
Ou bien, il disparaît, lui, il s’éclipse, introuvable. Mais alors elle le cherche, acharnée, exaspérée, et quand elle le rencontre adorant une autre dans tout l’emportement d’une ardeur nouvelle, elle s’embusque au coin d’une rue, la fiole de vitriol à la main…
150 ans après, les hommes payent sur onlyfans pour avoir de l'attention virtuelle
il faut bien que des gens fassent des enfants
Le 22 mai 2023 à 10:41:34 :
Le 22 mai 2023 à 10:36:22 :
Le 22 mai 2023 à 10:32:41 :
Quant à lui, caprice ou autre chose, il s’en moque bien, pourvu que le résultat soit le même. Et le résultat qu’il poursuit est le même.
Alors il triomphe. L’assiégeant emporte la place. Or, une fois maître, il s’aperçoit peu à peu que cette conquête, qu’il jugeait de loin incomparable, ne vaut en somme ni plus ni moins que les précédentes. Mais la vaincue commence à aimer son vainqueur, bien faiblement encore, il est vrai, comme un usurier peut aimer le beau viveur à qui il vient de prêter cinq cents louis. Elle a fait une avance de fonds et elle tient à rentrer dans ses frais - Comment ? dira-t-on. - Mais elle a risqué sa réputation, sa tranquillité, l’ordre de sa vie. Et puis toute femme prend toujours au sérieux le fameux mot : « capital » de M. Dumas. Oh ! elle en altère le sens, par exemple, estimant inépuisable ce capital que M. Dumas juge perdu si vite.
Alors commence la chaîne.
French Dreamed depuis 1881
Bordel ce craie en or
L’art de rompreDeux solutions se présentent, toujours les mêmes :
Ou bien, de scène en scène, on arrive au combat final, au vrai combat ; aux gifles odieuses, aux coups déshonorants pour l’homme ; car celui qui lève la main sur une femme, pour n’importe quel motif, en quelque occasion que ce soit, n’est jamais qu’un pleutre, un goujat et une brute ;
Ou bien, il disparaît, lui, il s’éclipse, introuvable. Mais alors elle le cherche, acharnée, exaspérée, et quand elle le rencontre adorant une autre dans tout l’emportement d’une ardeur nouvelle, elle s’embusque au coin d’une rue, la fiole de vitriol à la main…
150 ans après, les hommes payent sur onlyfans pour avoir de l'attention virtuelle
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