__-___-_-______
2023-04-25 11:57:06
Salut les kheys, c'est le cœur lourd que je viens ce matin vous écrire.
En gros, pour vous expliquer, ça fait cinq ans que je vois une psychologue. Je ne vous expliquerai pas en détails pour quelles raisons exactement mais en bref, je me suis inventé une seconde vie où j'endosse des personnalités toujours différentes, et j'essaie de m'en débarrasser en consultant.
Bref, je voyais ma psy depuis cinq ans, et les consultations se passaient très bien. J'adorais aller la voir, et je pense que, inconsciemment, je suis tombé amoureux d'elle... ou tout du moins, j'ai développé quelques bribes de sentiments.
Elle est physiquement très attirante mais pas vulgaire, elle a 35 ans à peu près. Une blonde très jolie, très mignonne, douce, voix suave, qui me plait beaucoup physiquement parlant.
Notre relation "Médecin/Patient" est vraiment un franc succès, mais au bout de cinq ans, j'attendais plus qu'un simple "ça fera 45 euros " à la fin de la consultation. J’espérais un petit mot doux, un léger bisou sur la joue plutôt qu'un serrage de mains en partant, surtout que depuis la période Covid, on avait même arrêté le serrage de mains.
Et ce matin, j'ai littéralement pété les plombs. Ce qui devait arriver arriva. Alors que je lui parlais de mes problèmes de schizophrénie, de mes balbutiements schizoïdes, j'ai commencé à pleurer, en disant que j'étais vraiment qu'une sombre merde, un raté en tous points, et que je ne valais rien. Je lui ai même lâche un "0 tout" au milieu de mon discours, la pauvre n'a pas dû comprendre la référence.
Suite à ça, elle m'a pris la main et m'a dit, mot pour moi : "vous n'avancerez pas comme ça dans la vie, en vous humiliant de la sorte. Vous devez faire face, toujours garder la tête haute. Vous n'êtes pas un cas social, vous êtes un bel homme, singulier, qui peut s'en sortir".
Je sais pas si c'est la beauté de ses mots, le fait qu'elle me tienne la main alors qu'on a passé deux années de Covid sans contact ou tout ça mélangé, mais le fait est que j'ai commencé à durcir du gland. J'ai alors été pris d'une pulsion sexuelle incontrôlable, je me suis donc levé et, dans la joie et la négresse, me suis mis debout face à elle qui est restée totalement hébétée, avant de déclamer d'une voix portante : "allez bordel, au bout de cinq années passées ensemble, vous allez bien pouvoir m'offrir une petite pipe non ?!". Je sais toujours pas ce qui m'a pris, les secondes sont devenues des heures dans la salle. J'ai baissé mon froc devant elle et j'ai commencé à agripper mon gland bouillant dans ma main, elle en voyait le bout déjà violacé.
Sa réaction fut terrible. Elle a hurlé : "arrêtez bon sang, que faites-vous ?", et j'ai rétorqué en criant encore plus fort : "bordel mais tu vas sucer ou pas ? Après cinq années, c'est la moindre des choses" et c'est sous ses cris retentissants et sous le tintement de mes couilles et de mes mouvements sur mon gland qu'une goutte de liquide séminal s'est envolé sur le bord de son arcade sourcilière, perlant le long de son cil. Elle était vraiment magnifique à contempler à cet instant.
J'ai juste eu le temps de lui dire qu'elle était la plus belle femme au monde, avant de lui proposer d'essuyer cette petite goutte sur son cil. Et là, elle m'a giflé. Elle m'a griffé, puis a appelé à l'aide un collègue psychologue du cabinet d'à coté qui m'a littéralement attrapé par les épaules avant de me foutre au sol et me lancer une patate (je savais même pas qu'ils en avaient le droit).
Cinq ans de consultations qui aboutissent sur une éjaculation magistrale, et on m'humilie, putain. Je vous écris depuis une salle blanche dans laquelle on m'a foutu depuis 11h ce matin, j'ai encore le cœur qui bat la hchouma.
Je passe en correctionnelle jeudi dans l'après-midi, je suis vraiment pas bien. Je sais même pas combien de temps je vais rester ici, si je ne vous écris plus c'est normal.