BORDEL La vidéo horrible "No Mercy in Mexico" : vidéo la plus DURE à regarder ?

La vidéo commence avec un père et son fils assis sur le sol, vêtus uniquement d'un jean. Lui et son fils ont les bras attachés, et des hommes sont en face d'eux. Après avoir posé quelques questions au père, un des hommes commence à frapper le père avec une grosse branche, le faisant rouler sur le ventre. Les coups s'arrêtent, et on peut voir en entier l'homme qui a frappé le père. Il a plusieurs armes à feu attachées à sa ceinture et attachées dans son dos.

Les hommes continuent à frapper le père jusqu'à ce qu'un autre membre du groupe s'approche avec un couteau et égorge le père. Le fils recule de peur, pleure et pousse des cris d'effroi en voyant son père mourir sous ses yeux. L'homme commence à décapiter le père avec le couteau, puis arrache la tête et la montre à la caméra, avant de la jeter devant le fils en larmes.

Les hommes commencent maintenant à tabasser le fils. Il reçoit des coups de pied dans le ventre et dans le bras, puis il est poignardé au ventre avec le couteau qui a tué son père juste avant. Un homme coupe le mamelon gauche du fils et le jette sur le cadavre du père.

Plusieurs hommes viennent ensuite le maintenir par les bras et les jambes tandis que son pectoral gauche est retiré avec un couteau. Son cœur, qui bat toujours, devient visible à travers l'ouverture de sa cage thoracique tandis qu'ils retirent encore plus de chair, avant de planter le couteau pour tenter de sectionner les tendons, ce qui provoque des spasmes chez le fils. Ils s'arrêtent quelques secondes, permettant à la caméra de voir le fils, encore conscient, qui respire encore et de voir son cœur qui bat encore. Ils arrachent ensuite l'ensemble du pectoral droit jusqu'à l'abdomen.

Une plus grande partie de la chair de sa poitrine est retirée de son corps. Sa cage thoracique et ses poumons sont visibles, et les hommes rient alors qu'ils coupent la connexion avec le sternum et commencent à retirer le cœur du garçon. Son corps finit par s'éteindre, aucun signe de vie n'étant plus détecté environ 15 secondes avant que le cœur ne soit finalement retiré et montré à la caméra, alors qu'il bat encore faiblement. L'homme lance alors un avertissement à la caméra, puis place le cœur sur le corps du fils et plante son couteau dessus, et la vidéo se termine."

(Cartel) - On a apporté ton fils ! Ouvre les yeux ! Pourquoi diable ne pas nous avoir fait savoir quelle était la situation ? Vous savez que nous n'aimons pas les rats, vous savez ?

(Père) - Oui, monsieur

(Cartel) - Alors pourquoi vous ne nous avez pas dit que ce putain de "Badger" vous a demandé des informations et que vous les lui avez données, fils de p*te ? Bâtard, qu'est-ce que ta femme sait, bon sang ?

(Père) - Rien

(Cartel) - Et si je l'amène ici ?

(Père) - Non, non, non

(Cartel) - (Il parle à la caméra) Écoute, "Badger", je vais te dire quelque chose, fils de p*te, personne n'a joué avec nous et il va être très difficile pour toi de pénétrer sur notre territoire, d'abord il va t'arriver la même chose qu'à ce gars. Viens prendre les coups, fils de p*te, et je vais te dire, les Los Viagras règnent ici, tous ces rats qui donnent des informations, on va les tuer. Ouvre les yeux, gamin, et s'il ferme les yeux, casse-lui la gueule. LÈVE-TOI, LÈVE-TOI OU C'EST MOI QUI TE LÈVE. C'est ce que tu as provoqué "Badger", et on va s'en prendre à toute ta famille, personne ne joue avec nous, et voilà ton cadeau du Nouvel An, sal*pe, tu sais que tu t'es attaquée à un Junior (fils ou petit-fils d'un membre senior du Cartel). Hey gamin, mets-toi à l'aise, viens ici. Tu sais ce que je vais faire de ta tête ? Je vais l'envoyer à ta mère, je veux qu'elle meure.

- (Autre membre du cartel) Doucement

(Cartel) - Qu'est-ce qu'il y a ? Qu'est-ce qu'il y a ? Il n'y a rien là, la chaleur est ce qu'il y a et elle augmente de jour en jour. C'est ça, aboie comme un chien, aboie comme une m*rde. Attrape les mains et les pieds du gamin, je vais lui arracher le cœur.

(Le fils) - Non!

(Cartel) - Attrape le rat, attrape le rat, attrape-le bien! Ne laissez pas ce fils de pute partir, je vais l'écorcher vif pour que vous sachiez qui commande ici. Il y a des carnitas pour un moment Alors tu sais qui est le responsable ici, hein ? hein ? Tu vois fils de p*te, espèce de petit rat.

- (Autre membre du Cartel) Comment va votre neveu ? (conversation de fond de quelqu'un au téléphone)

(Cartel) - (Il s'adresse à la caméra) Regarde salope, ton cadeau du nouvel an enculé Et ça vaut pour "Badger" et tous ceux qui entrent dans le territoire du patron, on va les tuer ces connards et ils vont finir pire que ces connards de salopes parce que ni "Badger" ni personne ne va venir les sauver, et garde à l'esprit qu'on va t'attendre et qu'on t'attend, salope!