Léo qui ajoute à la fin : « oui, ben ça va en décourager plus d’une, hein »
Résultat : 45 ans , célibataire, et se sent affreusement seul :
( célibataire = en relation longue et pas polygame comme il l’est actuellement)
Une belle journée se levait, les oiseaux chantaient, Stéphane Edouard pris une douche chaude, il exerçait sa voix dans les effluves de lavandins. Les petites chevilles de Stéphane flottaient à l'intérieur de son large peignoir Italien quand il débarquait dans le snobisme de son séjour. Il caressa le tout dernier disque de Riccardo Corréa, l'introduit dans le vinyle.
Il trémoussait ses petites jambettes, électrifiées par la voix rauque du chanteur. Il fit quelques tours sur lui-même, son peignoir s'épanouit dans d'amples ondulations, ouvrait grand ses ailes comme un bel oiseau, puis la corde se détachait. Enfin, son peignoir glissait. Après cet effort, il transpirait à grosse goutte. Sous les reflets chauds et dorés du soleil, son crâne nu avait l'air d'une pierre précieuse. Il était très coquet.
De l'autre côté de la rue, depuis une fenêtre crasseuse, un homme l'observait. Curieux, se disait il, comment un aussi gros fion peut-il avoir été disposé au milieu d'un corps si frêle, en plus c'est un mec, on dirait une autruche. L'homme essayait d'isoler cette paire de fesses du reste, révolter par cet homme-femme, mais intéresser par la fertilité de son derrière. En face, la fenêtre de Stéphane, décorée de somptueuse roses versicolores, s'était recouverte de buée. Il continuait à dandiner des hanches, larges et furieuses, ses deux fesses potelées se chamaillant entre elles.
Soudain, comme une proie se sentant observée, Stéphane tressaillit. Il dirigeait lentement son regard sur la gauche. Un homme rustre, un latin au regard perçant, déposait un regard sévère sur Stéphane. Il se retournait, troublé, ses fesses prenaient le soleil, elles étaient maintenant chatoyantes et luisantes. Il retournait timidement son crâne difforme en forme d'oeuf renversé, et déposait un regard interloqué sur le torse viril. C'était une garrigue de poils dans laquelle il se perdait un instant. Il déposait son petit doigt bien fuselé sur sa lèvre. Cet homme là, se dit Stéphane à lui-même, c'est du H en grande quantité. Malgré que, continuait t-il pour lui-même, je fasse partis des hommes les plus virils, je sens que ma part de F ne lui résistera pas bien longtemps...
Il ramassait hâtivement son peignoir aux multiples teintes mauves, puis le renfila. Ses deux mains étaient croisés sur son vêtement refermé. Comme du fil sur un papier cadeau, il refusait de s'offrir si facilement. Un sourire lui zigzaguait sur les lèvres, ses cils battaient comme deux papillons. Il se précipita à la fenêtre, toussait légèrement dans son poing, dégageait la voie avant de libérer sa voix artificiellement virilisée.
L'homme en face secouait la tête, et face à tant de virilité, il perdait tout moyens. Il ne pu extérioriser qu'une voix fluette en s'expliquant sur la situation : " Salve, caro ascoltatore, uh, voglio dire, caro signore, vi prego di scusarmi per questo trucco, o meglio, questa mancanza di abbigliamento. " Disait il avec une voix tremblotante.
L'homme restait bras croisés, imperturbable, il pouvait ressentir tout le mépris lui éclabousser à la figure. Stéphane fit des gestes, des manières, paradait comme une jeune fille mais rien n'y faisait. Son désir de plaire était au maximum, il venait de se rendre compte que ce F, si bien connu de lui, était en fait lui-même.
Steven Edward and the streets of Joy
Chapitre 1: Steven et Serge
C’en était trop. Steven avait tenté par tous les moyens de faire taire les rumeurs qui circulaient à son égard. La calomnie et la cabale s’étaient abattues sur lui pile au moment où son audience, pourtant fidèle, commençait à émettre des doutes sur l’efficacité de ses formations et la pertinence de ses contenus. En effet, pourquoi un homme de cet âge, se réclamant de la tradition des grands séducteurs, en était réduit à vivre seul, sans compagne ni véritable ami. Ses nombreuses publications tournaient constamment autour de l’actualité, de sa Ferrari, et surtout des femmes.
Néanmoins, ce qu’il avait à dire sur elles ne semblait pas refléter un quelconque amour. On était loin du « Femmes, je vous aime » de Julien Clerc. C’était même tout l’inverse que se dégageait de ses écrits et de ses études de cas filmées ; on sentait une véritable haine viscérale, une sorte de rage sourde et contenue depuis longtemps, très longtemps.
Aussi loin qu’il pouvait aller dans la spirale de ses souvenirs, Steven Edward n’avait pas souvenir d’avoir eu beaucoup de moments agréables en leur compagnie. Depuis tout petit, il avait dû composer avec son teint métissé. Quand il regardait sa mère, il y avait toujours une interrogation : pourquoi ? Pourquoi n’y avait-il pas cette cohérence physique qui se transmet d’une mère à son fils ? Pourquoi l’appelait-elle « mon chéri doré » ? Pourquoi le bardait-elle toujours de chemises colorées, ces madras qu’il s’était surpris à abhorrer un soir, lors d’un séminaire au cours duquel un client antillais avait osé le contrarier ?
En effet, Steven Edward avait connu l’humiliation qui avait réveillé cette souffrance enfouie. Serge l’antillais, qui appréciait Steven pour son franc-parler et aussi par réflexe communautariste, avait profité d’un voyage en métropole pour assister à ce séminaire et pour le rencontrer.
Le séminaire se déroulait sur 3 jours dans les hauteurs de Nice et une soirée dansante venait conclure ce week-end de rencontres. Serge avait épaté le petit groupe par sa joie de vivre et par ses qualités de danseur. On pouvait dire qu’il avait bien appliqué les conseils de son maître car il s’en alla au cours de la soirée avec les 3 femmes du groupe sur lesquelles Steven avait quelque peu jeté son dévolu.
Au brunch du lendemain, Steven était d’humeur exécrable et jeta un froid dans le petit groupe qui s’était soudé autour du charisme et de la bonne humeur de Serge.
Steven le pria de quitter l’hôtel dans les plus brefs délais, prétextant que les trublions n’étaient pas admis au titre de la cohésion de groupe. Le ton employé ne fût pas du goût de Serge et les deux hommes en vinrent aux mains.
La stupeur s’empara de la salle de réfection moins pour le scandale qui venait d’éclater que par l’absence totale de virilité qui se dégageait des gestes de Steven. Sa tête était penchée en arrière et ses bras moulinaient à la manière d’une jeune femme exaspérée par son mari éméché. Les deux hommes furent séparés rapidement par les 3 femmes que Serge avait gâtées la veille, Steven se releva la lèvre en sang, la chemise froissée et le regard noir. Il enfila sa veste en cuir violet et sans aucun mot ni regard pour l'assemblée stupéfaite, il quitta l'hôtel au volant de son bolide.
Cet épisode malheureux qui devait rester dans les hauteurs de Nice se retrouva filmé par l’un des participants, partagé sur les réseaux sociaux, puis commenté par la communauté qui découvrait une autre facette du personnage. Depuis ce jour, rien ne serait plus comme avant. Steven se sentait au pied d'une montagne, devant lui se dressait le défi de sa vie.
Bordel
Mais quel événement de sa vie a provoqué une telle haine des femmes ?
Bordel
Mais quel événement de sa vie a provoqué une telle haine des femmes ?
Le 01 février 2023 à 20:26:50 :
Bordel
Mais quel événement de sa vie a provoqué une telle haine des femmes ?
il s'était fait cocu je crois quand il était jeune
Le 01 février 2023 à 20:26:50 :
Bordel
Mais quel événement de sa vie a provoqué une telle haine des femmes ?
Il n'y a pas besoin de haïr les chiens pour être dégoûté de leur nature, de leur façon de se lécher le cul, de passer la moitié de leur vie avec la truffe collée dans les déjections ou carrément le trou du cul de leurs congénères, de baver et de puer quand ils sont mouillés.
On peut même aimer leur compagnie tout en étant légitimement dégouté par tout ce que je viens d'énoncer.
C'est pareil ici
Le 01 février 2023 à 20:54:26 :
Le 01 février 2023 à 20:26:50 :
Bordel
Mais quel événement de sa vie a provoqué une telle haine des femmes ?Il n'y a pas besoin de haïr les chiens pour être dégoûté de leur nature, de leur façon de se lécher le cul, de passer la moitié de leur vie avec la truffe collée dans les déjections ou carrément le trou du cul de leurs congénères, de baver et de puer quand ils sont mouillés.
On peut même aimer leur compagnie tout en étant légitimement dégouté par tout ce que je viens d'énoncer.
C'est pareil ici
Propos d’une nuance sans égal
Merci Patrick
"Professionnellement je suis au-dessus" faut vraiment qu'il redescende sa vie c'est aligner des conneries et des platitudes pour capitaliser sur l'angoisse sociale des nouvelles générations
Le 01 février 2023 à 20:54:26 :
Le 01 février 2023 à 20:26:50 :
Bordel
Mais quel événement de sa vie a provoqué une telle haine des femmes ?Il n'y a pas besoin de haïr les chiens pour être dégoûté de leur nature, de leur façon de se lécher le cul, de passer la moitié de leur vie avec la truffe collée dans les déjections ou carrément le trou du cul de leurs congénères, de baver et de puer quand ils sont mouillés.
On peut même aimer leur compagnie tout en étant légitimement dégouté par tout ce que je viens d'énoncer.
C'est pareil ici
C’est pas vraiment le sujet ici, Patrick
Ici, il est question de :
- « je n’expose jamais ma richesse »
Extrait vocaroo : « je gagne généralement plus qu’une femme »
- « je n’expose jamais ma culture »
Extrait vocaroo : « je suis généralement plus cultivé qu’une femme »
Etc ….
Bien sûr que ses propos sont criants de vérité
Mais ce qui est mis en évidence ici, c’est qu’il est le contraire de ce qu’il proclame
Le 01 février 2023 à 20:55:53 :
Le 01 février 2023 à 20:54:26 :
Le 01 février 2023 à 20:26:50 :
Bordel
Mais quel événement de sa vie a provoqué une telle haine des femmes ?Il n'y a pas besoin de haïr les chiens pour être dégoûté de leur nature, de leur façon de se lécher le cul, de passer la moitié de leur vie avec la truffe collée dans les déjections ou carrément le trou du cul de leurs congénères, de baver et de puer quand ils sont mouillés.
On peut même aimer leur compagnie tout en étant légitimement dégouté par tout ce que je viens d'énoncer.
C'est pareil ici
Propos d’une nuance sans égal
Merci Patrick
Te réjouis pas trop vite la nuance elle vient pour ta bouche aussi
En effet tu évoques la "solitude" de S.E, mais je crains que tu n'y sois pas du tout. S.E a du blé et une petite notoriété, ce qui lui ouvre grand les chattes de toute femelle de 25 à 45 ans, plus une ribambelle de golems qui lui lustrent le chibre et font reluire son égo au sein de sa secte.
Autant te dire donc que la solitude physique est le dernier de ses problèmes, il doit même être sacrément entouré, et sans doute trop à son goût.
La solitude à laquelle il fait référence est un type de solitude qu'il connaît probablement depuis sa petite enfance, celle d'avoir à peu près 30 pts de QI de plus que la moyenne. Et dans ce cas là, tu peux être entouré d'un million de personnes et te sentir seul comme jamais.
Cette solitude la le suivra vraisemblablement toute sa vie
Le 01 février 2023 à 21:02:00 :
Le 01 février 2023 à 20:55:53 :
Le 01 février 2023 à 20:54:26 :
Le 01 février 2023 à 20:26:50 :
Bordel
Mais quel événement de sa vie a provoqué une telle haine des femmes ?Il n'y a pas besoin de haïr les chiens pour être dégoûté de leur nature, de leur façon de se lécher le cul, de passer la moitié de leur vie avec la truffe collée dans les déjections ou carrément le trou du cul de leurs congénères, de baver et de puer quand ils sont mouillés.
On peut même aimer leur compagnie tout en étant légitimement dégouté par tout ce que je viens d'énoncer.
C'est pareil ici
Propos d’une nuance sans égal
Merci PatrickTe réjouis pas trop vite la nuance elle vient pour ta bouche aussi
En effet tu évoques la "solitude" de S.E, mais je crains que tu n'y sois pas du tout. S.E a du blé et une petite notoriété, ce qui lui ouvre grand les chattes de toute femelle de 25 à 45 ans, plus une ribambelle de golems qui lui lustrent le chibre et font reluire son égo au sein de sa secte.
Autant te dire donc que la solitude physique est le dernier de ses problèmes, il doit même être sacrément entouré, et sans doute trop à son goût.
La solitude à laquelle il fait référence est un type de solitude qu'il connaît probablement depuis sa petite enfance, celle d'avoir à peu près 30 pts de QI de plus que la moyenne. Et dans ce cas là, tu peux être entouré d'un million de personnes et te sentir seul comme jamais.
Cette solitude la le suivra vraisemblablement toute sa vie
Je ne l’analyse pas comme ça moi
Il a évoqué de nombreuses fois que les groupies ne sont jamais celles que la « personne de notoriété » veut
En gros , il ne rêve que d’une haute aristocrate, mais il n’a accès qu’à des groupies Insta écervelées : c’est 100 % de son audience
Donc oui : il baise de la groupie et est adepte de la polygamie avec elles
Mais jamais il n’aura accès à une haute aristocrate, d’où le fait qu’il ne soit pas en « relation longue » ( 3 ans et plus )
Il a dit ça avant son désir d'enfant. Maintenant il baisse ses critères car son horloge biologie s'est agitée et il va en engrossé une qui n'est pas de son niveau mais il ne trouvera pas mieux de toute façon
Le 03 février 2023 à 16:06:56 :
Il a dit ça avant son désir d'enfant. Maintenant il baisse ses critères car son horloge biologie s'est agitée et il va en engrossé une qui n'est pas de son niveau mais il ne trouvera pas mieux de toute façon
Déjà fait
Il a engrossé une non-aristocrate et il est en train de décider du prénom la …
Le 03 février 2023 à 16:09:01 :
Le 03 février 2023 à 16:06:56 :
Il a dit ça avant son désir d'enfant. Maintenant il baisse ses critères car son horloge biologie s'est agitée et il va en engrossé une qui n'est pas de son niveau mais il ne trouvera pas mieux de toute façonDéjà fait
Il a engrossé une non-aristocrate et il est en train de décider du prénom la …
Bordel
Et la , t’as Pygmalion qui va arriver :
“ preuve ? ”
Le 03 février 2023 à 16:09:01 :
Le 03 février 2023 à 16:06:56 :
Il a dit ça avant son désir d'enfant. Maintenant il baisse ses critères car son horloge biologie s'est agitée et il va en engrossé une qui n'est pas de son niveau mais il ne trouvera pas mieux de toute façonDéjà fait
Il a engrossé une non-aristocrate et il est en train de décider du prénom la …
Tu dois en passer du temps à stalker le moindre indice sur sa vie privée, pour savoir ça
Le 03 février 2023 à 16:15:33 :
Le 03 février 2023 à 16:09:01 :
Le 03 février 2023 à 16:06:56 :
Il a dit ça avant son désir d'enfant. Maintenant il baisse ses critères car son horloge biologie s'est agitée et il va en engrossé une qui n'est pas de son niveau mais il ne trouvera pas mieux de toute façonDéjà fait
Il a engrossé une non-aristocrate et il est en train de décider du prénom la …
Tu dois en passer du temps à stalker le moindre indice sur sa vie privée, pour savoir ça
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
T’as tout compris
Je ne m’exprime ici que parceque je maîtrise le sujet “ Stéphane Edouard”
Je ne lis pas les avis comme les tiens qui ne connaissent rien de Stéphane Edouard
Sa vie “privée” :
- il en fait état en permanence telle une femme sur Insta
- il est exactement l’inverse de ce qu’il clame