[13:18:23] <tout-simplement> Les catholiques qui sont riches. Les catholiques qui sont de droite. Les catholiques qui sont contre l'immigration.
On peut vraiment être catholique et riche ? être riche c'est pas un truc de protestant ? C'est pas interdit par l'Église ?
Jésus fait clairement l'apologie de la pauvreté. De nombreux saints, comme Saint François d'Assise, de mémoire, font don de tout ce qu'ils possèdent. Un catholique riche, c'est un hypocrite.
Le 20 janvier 2023 à 13:18:23 : Les catholiques qui sont riches. Les catholiques qui sont de droite. Les catholiques qui sont contre l'immigration.
Un catholique à le droit d'être riche s'il utilise son argent à bon escient...
Si il utilise son argent pour faire le bien, il ne peut plus lui rester quoi que ce soit vu tout ce qu'il y a à faire pour rendre le monde meilleur. Non, un VRAI catholique fait forcément don de tout ce dont il n'a pas besoin.
Le 20 janvier 2023 à 13:27:36 : Les cathos en PLS Ne vous étonnez pas de vous faire remplacer par les évangélistes, hein
À bientôt pour une nouvelle redpill
Le mensonges de tes sectes ne remplacera jamais la vérité. Tu racontes absolument de la merde, en plus de diffamer avec tes mensonges Comme tout guignol qui prétend connaitre le catholicisme mais qui n'a jamais lu les textes du magistère, ni cherché à comprendre les fondements de la théologie catholique, et du catholicisme social.
Pour l'autre golem plus haut , sur l'immigration ;
« Cicéron déclare : “ La piété est l’exact accomplissement de nos devoirs envers nos parents et les amis de notre patrie. ” L’homme est constitué débiteur à des titres différents vis-à-vis d’autres personnes, selon les différents degrés de perfection qu’elles possèdent et les bienfaits différents qu’il en a reçus. À ce double point de vue, Dieu occupe la toute première place, parce qu’il est absolument parfait et qu’il est, par rapport à nous, le premier principe d’être et de gouvernement. Mais ce titre convient aussi, secondairement, à nos père et mère et à notre patrie, desquels et dans laquelle nous avons reçu la vie et l’éducation. C’est pourquoi, après Dieu, l’homme est surtout redevable à ses père et mère et à sa patrie. En conséquence, de même qu’il appartient à la religion de rendre un culte à Dieu, de même, à un degré inférieur, il appartient à la piété de rendre un culte aux parents et à la patrie. D’ailleurs, le culte des parents s’étend à tous ceux de la même ascendance, comme le montre Aristote. Or, dans le culte de la patrie est compris le culte de tous les concitoyens et de tous les amis de la patrie. C’est pourquoi la piété s’étend à ceux-là par priorité. »
« Ils s'étendent continuellement au détriment des terres des chrétiens, après avoir vaincu ceux-ci à sept reprises en leur faisant la guerre. Beaucoup sont tombés sous leurs coups; beaucoup ont été réduits en esclavage. Ces Turcs détruisent les églises; ils saccagent le royaume de Dieu. Si vous demeuriez encore quelque temps sans rien faire, les fidèles de Dieu seraient encore plus largement victimes de cette invasion. Aussi je vous exhorte et je vous supplie, et ce n'est pas moi qui vous exhorte, c'est le Seigneur lui-même, vous, les hérauts du Christ, à persuader à tous, à quelque classe qu'ils appartiennent, chevaliers ou piétons, riches ou pauvres, par vos fréquentes prédications, de se rendre à temps au secours des chrétiens et de repousser ce peuple néfaste loin de nos territoires. Je le dis à ceux qui sont ici, je le mande à ceux qui sont absents : le Christ l'ordonne. »
« L’amour surnaturel de l’Eglise et l’amour naturel de la patrie procèdent du même et éternel principe. Tous les deux ont Dieu pour auteur et pour cause première ; d’où il suit qu’il ne saurait y avoir entre les devoirs qu’ils imposent de répugnance ou de contradiction. »
« Si la charité s’étend à tous les hommes, même à nos ennemis, elle veut que soient aimés par nous d’une manière particulière ceux qui nous sont unis par les liens d’une commune patrie. »
« Il existe un ordre établi par Dieu selon lequel il faut porter un amour plus intense et faire du bien de préférence à ceux à qui l’on est uni par des liens spéciaux. Le Divin Maître Lui-même donna l’exemple de cette préférence envers sa terre et sa patrie en pleurant sur “l’imminente destruction de la Cité sainte”. »
« L’Eglise qui proclame que tous les hommes sont frères, corrige l’interprétation erronée qu’on donne parfois à cette fraternité universelle. Elle déclare, en effet, que chacun doit aimer particulièrement ceux qui sont nés sur le même sol que lui, qui parlent la même langue, ont hérité des mêmes richesses historiques, artistiques, culturelles, qui constituent dans l’humanité cette communauté spéciale que nous appelons notre patrie, véritable mère, qui a contribué à former chacun de ses enfants. Elle a droit à un amour de préférence. »