Le roman est composé d'une série de lettres écrites par son héroïne, Emily Barlow, captive à Alger, à son amie, Sylvia Carey. En juin 1814, lors d'un voyage d'Angleterre vers l'Inde, Emily est capturée par des pirates barbaresques maures et emmenée à Alger au harem d'Ali (très probablement une référence à Hadj Ali Dey, qui fut bey d'Alger de 1809 à 1815). Ali la viole, éveillant sa passion sexuelle. L'humiliation d'Emily continue lorsque Ali insiste sur la pratique de la sodomie. Cela suscite l'horreur de sa correspondante, Sylvia, qui exprime son indignation vis-à-vis du comportement d'Ali dans une lettre que ce dernier intercepte. Irrité par l'attitude de Sylvia, Ali organise son enlèvement, de sorte que celle-ci soit amenée au marché des esclaves d'Alger. Au terme d'une mascarade, au cours de laquelle Ali se fait passer pour un Français prétendant la sauver de l'esclavage sexuel en l'épousant lors d'un mariage arrangé, Ali parvient à la garder en détention dans son harem, et la viole, éveillant sa sexualité, comme avec Emily. Révélant sa véritable identité, Ali jouit des deux jeunes femmes. Cette idylle sexuelle se termine quand une nouvelle venue dans le harem, allant subir un nouveau viol anal, sectionne le pénis du dey avec un couteau puis se suicide1. Le dey fait cadeau de « his lost members preserved in spirits of wine in glass vases » à Emily et Sylvia et les renvoie en Angleterre en témoignage de son affection2.
Le roman intègre aussi des récits concernant les mésaventures érotiques de trois autres filles emprisonnées dans le harem, et le sort de la servante d'Emily, Eliza, qui, donnée au bey de Tunis par Ali, sera enchaînée, fouettée et violée à son tour3.
Le chibre des algériens qui faisait rêver les arrières arrières grand-mére des forumeurshttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/26/1467335935-jesus1.png