Patrck60Bateman
2022-12-25 11:03:31
On va clore le sujet une bonne fois pour toutes sur ce forum, et on va faire un peu de sociologie
Cette mode déguelasse est arrivée à la fin des années 2000 dans les milieux homosexuels puis s'est répandue dans le reste de la population début des années 2010. Elle est consécutive à une autre mode de golems, celle des métrosexuels, des espèces d'invertis maigrelets ultra soignés et pomponnés comme des meufs qui se déhanchaient sur une musique de décérébré faite à la presse hydraulique exécutant une danse ridicule qu'on appelait la tecktonik.
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La fragilité collection automne-hiver 2008
Il va sans dire que cette mode venait déjà des milieux homosexuels, et s'était répandue parmi la population des jeunes golems de 16-20 ans en 2006. Le mot d'ordre était alors la chasse au poil, les mecs s'épilaient les jambes et le torse, se tartinaient la gueule de crèmes hydratantes, il fallait avoir l'air le plus féminin possible.
Ce cirque a pris fin suite à l'année 2007 quand a eu lieu un évènement planétaire au cours duquel un OVNI a traversé le ciel médiatique. La coupe du monde de rugby 2007 en France, et un joueur à part, un certain Sébastien Chabal. Une masse de muscles avec un look d'homme des cavernes, totalement en dehors des clous de la bienséance stylistique de l'époque.
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Outre ses performances sportives pendant la compétition, notamment face aux all blacks, Chabal a attiré la lumière et les micros sur lui tant le monde était fasciné par ce rustre totalement en dehors des codes. Il n'en fallut pas plus pour que les milieux gays, globalement fatigués des freluquets poudrés aux visages juvéniles, se mettent à fantasmer sur ce style d'hommes, sans doute émoustillés par la vigueur supposée de ces viriles bêtes sauvages indomptables dans les backrooms Parisiens
Ca ne fit pas un pli, des 2008, alors que les derniers Tecktocucks finissaient de se noyer dans leur pot de gel avant de disparaitre totalement de la circulation, les milieux gays adoptaient ces nouveaux codes, avec ces éléments visuels, des mucles, un corps fit et une grosse barbe. C'était l'époque de l'essor des salles de fitness et des barber shops qui se remplirent de gays.
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Évidemment, la masse de golems et de PNJ hétéros ne mit pas longtemps pour suivre et tout ce petit monde se mit à essayer de s'acheter un peu de virilité pour pas cher en se laissant pousser des barbes dégueulasses, même des gamins de 20 ans sur lesquels c'est absolument ridicule
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La fragilité printemps-été 2015
Comme toute mode finit par pourrir au moment ou elle atteint la quasi totalité de la population, les derniers à emboîter le pas furent les petits employés de bureau semi-imberbes de 60kg, les hommes-soja de Twitter, les golems gras du bide calvitiés en tous genre. Une étude mentionnait en 2017 qu'environ 94% des hommes portaient la barbe en France.
En bout de chaîne ça donne ça :
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La fragilité automne-hiver 2022
ALORS OUI, cette mode déguelasse doit s'arrêter, les golems nourris au soja doivent arrêter d'essayer de se faire passer pour ce qu'ils ne sont pas et accepter leur statut de chats coupés de salon. Quand un phénomène devient une mode, ce n'est par définition plus un truc d'élite et d'initiés, mais un truc de masse.
Et en 2022, pour ne pas rester au milieu du troupeau, se démarquer de toute cette merde, et être en avance sur les codes stylistiques à venir, il est bien plus recommandé d'être rasé de près façon années 50, tant les effets de mode ne sont qu'une affaire de balancier. Avoir une barbe en 2022 quand on est ni marin, ni musulman, ni daron de 50 ans, ni bassiste de métal ou tatoueur, c'est être un PNJ qui suit une mode déguelasse en fin de vie, qui n'est par ailleurs plus un signe de virilité, mais un marqueur consistant de la fragilité
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TOPIC CLOS
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