Les 10 titres les plus écoutés sur Spotify en France en 2022
1. Ninho - Jefe
2. Alonzo - Tout va bien (feat. Ninho et Naps)
3. Timal -Filtré
4. Ninho - VVS
5. Gazo - DIE
6. Soolking - Suavemente
7. ZEG P, Hamza, SCH - Fade Up
8. Harry Styles - As It Was
9. Koba LaD - Doudou
10. Yanns - Clic clic pan pan
Voici les thèmes abordés
1. Ninho - Jefe
Drogue, Trafic, Pablo, Argent, Grosse caisse, Meurtres, La mama, Dieu
2. Alonzo - Tout va bien (feat. Ninho et Naps)
Bitch, Ferrari, Luxe, Vacances, Rolex, Le Parrain, Drogue, Cartel, Twerk
3. Timal -Filtré
Ferrari, Drogue, Joint, Fric, Cartel, Alcool, Bitch, Baiser, Cité, Vol
4. Ninho - VVS
Drogue, Couteaux, Bandits, Trafic de cocaïne/shit, Yacht, Armes, Vêtements de luxe Fendi/Versace, Vodka/Bouteilles, Bentley, Villa, Putes, Dieu
5. Gazo - DIE
Argent, Meuf, Cargaison de drogue, Trafic, Argent, Roulet un joint, Baffes/Coups de genoux, Téléphone jetable, Voiture de luxe
6. Soolking - Suavemente
J'ai quitté la cité, en mode rital, Meuf, Grand frère du quartier, Monaco, Je fume du shit, Thaïlande, Moto/Avion, Algérie, Argent, Ferrari.
7. ZEG P, Hamza, SCH - Fade Up
Soirées, Oseille, Bouteilles, Ivresse, Carré VIP, Meufs fraiches, Miami, Fusillade, Luxe
9. Koba LaD - Doudou
Gros joint de de beuh, Trafic, Audi RS3, "Son boule", Snapchat, Gadji, La Mama, Ma prof me critiquait, "Je suis grave défoncé, ce soir on va dépenser", Garde à vue, Cité, Cartel, Vitres teintées.
Antonio Gramsci (1891-1937), membre fondateur du parti communiste italien, a condamné la musique nègre dans l’une de ses lettres de prison.
Répondant à sa belle-soeur, qui s’était inquiété de l’influence du bouddhisme, il écrivit en 1928 :
« Si danger il y a, il est plutôt dans la musique et la danse importées en Europe par les nègres. Cette musique a vraiment conquis toute une frange de la population européenne cultivée, elle a même créé un véritable fanatisme. Comment s’imaginer que la répétition continuelle des gestes physiques que les nègres font en dansant autour de leurs fétiches, ou qu’avoir toujours à l’oreille le rythme syncopé des jazz-bands, reste sans conséquences idéologiques ?
a) Il s’agit d’un phénomène énormément diffus, qui touche des millions et des millions de personnes, spécialement les jeunes ;
b) il s’agit d’impressions très énergiques et violentes, qui laissent donc des traces profondes et durables ;
c) il s’agit de phénomènes musicaux, donc de manifestations qui s’expriment dans le langage le plus universel qui existe aujourd’hui, dans un langage qui communique plus rapidement que n’importe quel autre les images et impressions d’une civilisation non seulement étrangère à la nôtre, mais (…) primitive et élémentaire, donc facilement assimilable et généralisable par la musique et par la danse à tout le monde psychique. »
Et Gramsci de conclure que l’Occidental est « en train de devenir un nègre, sans s’en rendre compte ».
Antonio Gramsci, lettre à Tania Schucht, 27 février 1928
Le 12 décembre 2022 à 14:50:28 :
j´en connais exactement zéro
Tant mieux clé, il ne faut rien écouter de postérieur à Debussy (Debussy compris).
L'art musical est peut-être l’unique remède pouvant soulager l’Occident de ses maux et l’accompagner vers le nouveau cycle le plus sereinement possible, ou, au contraire, catalyser son Ekpyroz.
Mais pour cela il faut comprendre ce qu’est réellement la musique. Pas dans son acception profane des temps modernes, mais bien son caractère universel tel que transmis dans l’occident par l’intermédiaire des mystiques rhénanes, dont la sainte Hildegarde von Bingen est à mes yeux une des plus symboliques doyennes.
La musique telle qu’elle était conçue, alors, n’était absolument pas une simple science des sons, ou pire, une exécution instrumentale de ceux-ci. Elle était un domaine spéculatif comprenant tout à la fois les données métaphysiques qui le fondent que les applications mathématiques qui l’organisent. C’est le polymathe Anicius Boetius, alias Doctor Mirabilis, un philosophe chrétien du 5ème siècle qui théorise la musique telle que l’entendaient les esprits savants des cathédrales.
Dans son traité de Institutione Musica il y développe l’idée que toutes choses furent établies dans l’harmonie d’après l’ordre des nombres par la raison divine. De cet ordre intrinsèque à l’esprit du Créateur naquirent la multitude des éléments. La succession des saisons, la course des astres du ciel. Selon Boèce donc la musique n’a rien d’autre que la science des nombres régissant le monde. Un aspect cosmogonique donc.
Il distingue alors trois catégories, distinctes, mais obéissant toutes à l’Harmonie Universelle.
1) La Musica Mundana, la musique du monde sensible organisant les saisons, la course des astres à laquelle se rapporte “l’harmonie des sphères” qu’avait déjà théorisé Pythagore considérant que les sphères célestes dans leur mouvement concentrique produisent des “sons” (n’obéissant pas aux lois de l’acoustique) et qu’à force d’habitude nous ne percevons plus et dont les intervalles des planètes sur l’elliptique concorde avec les intervalles de la gamme heptatonique en vigueur jusqu’à aujourd’hui.
2) La Musica Humana, soit l’harmonie de l’union entre le corps et l’âme des êtres, leur sensibilité et leur raison.
3) La Musica Instrumentalis, l’art qui imite la nature, c’est le domaine du vulgaire, de l’interprète.
Voilà la musique telle qu’elle était enseignée dans le Quadrivium (les quatre voies des sciences que sont la musique, l’astronomie, la géométrie, et l’algèbre) de l’époque médiévale, et telle qu’elle se trouve décrite par Boèce.
J’en viens maintenant à l’apport que la musique cette fois par son intermède profane (la musica instrumentalis) peut avoir sur l’esprit occidental moderne névrosé, et par analogie le mal que la musique nègre actuelle lui fait.
C’est que l’unité de l’âme de l’univers réside dans une concorde musicale et que l’harmonieuse combinaison des sons nous fait prendre conscience de notre propre unité. Ainsi l’art musical sonore (musica instrumentalis) peut soigner les êtres (musica humana) et bien qu’il n’amènera jamais les profanes à la transcendance métaphysique (musica mundana), domaine réservé aux clercs, il les soulagera dans l’optique comme je l’ai dit plus haut de les guider vers le nouveau Diacosme.
Mais malheureusement, il n’en a pas été ainsi. Lorsque nous sommes entrés dans l’époque moderne au 14ème siècle avec l’humanisme et son refus de l’intellectualité au profit de la raison humaine (puis, bien plus tard, avec Galilée et sa mathématisation du réel dont il souhaitait orgueilleusement se servir pour subvertir et réinterpréter la métaphysique bien comprise en l’aliénant aux contingences intra-mondaines -- seule et unique raison pour laquelle il s’est fait bolossé par l’Église, qui n’a jamais eu aucun souci à ce qu’un scientifique produise une théorie sans pour autant marcher sur ses plates-bandes), il s’est produit ce fait qui allait trouver concordance dans tous les autres domaines de l’esprit éclairé : c’est qu’on l’a délesté de tout ce qui n’avait pas ses deux pieds dans le monde sensible, aliéné, dispersé, soumis à la causalité, au temps et à la mort.
Le plus grand des schismes musicaux, le plus abject et abominable est celui de la seconde école viennoise, avec la naissance sous la pression du diable juif de l’atonalité, accompagnée par la popularisation inévitable et consécutive du blues, du jazz et du rock, de toute cette musique nègre dont l’essence, la raison d’être primitive, fut d’arrêter de faire de la forme, du concept, un élément central du processus de composition, pour ne privilégier que d’infantiles sottises telles que “l’intensité” sonore, l’énergie déployée, la « poudre aux yeux », le rythme, etc. Ce n’est pas une coïncidence ; c’est là l’air du temps, notre Weltanschauung contemporaine.
La musique de Debussy représente, à ce titre, une figure exceptionnelle, à la fois unique et symptomatique de ce changement épokal, de cette lente et longue kénose de l’esprit dans la matérialité et la dispersion, de moins en moins unifiée et tendue à une forme, une structure, un système. Il faut avoir été mollusque sans colonne vertébrale et plongé dans le flux dans une vie antérieure (ce qui est le cas, certes) pour prendre plaisir à ces successions de transitions sans conclusion, ces avants-propos sans discours, à cette absence d’architecture formelle finie au profit de la jouissance des timbres pour eux-mêmes, des textures, etc. J’y prends pour ma part un très vif plaisir ; molle oreille d’animal marin dirait l’autre.
Mais je ne blâme pas plus que cela les musiciens, après tout cette tendance vers la dispersion, la matérialisation, le flux est le propre de tous les domaines de l’esprit de notre monde moderne depuis des siècles -- et les musiciens, comme les écrivains, n’ont jamais été que les putes et les promoteurs des valeurs de leur époque. Mais je pense que si ces derniers reprenaient conscience de leur rôle, s’ils composaient des morceaux respectant les principes mathématiques et avec la mentalité du divin plutôt que de se laisser aller à toutes leurs expérimentations et négations de petits enfants jouisseurs qui vivent à horizon 24h, ils seraient les thaumaturges les plus efficaces, car l’oreille est le plus supérieur des sens par lequel l’émotion et la science pénètrent à la foi l’âme et l’esprit.
Les petits blancs négrifiés de la France de 2022, alors, arrêteraient de jouir en souffrant de manger cette soupe au caca culturel visant à les anesthésier de cette société dispersée, dissoute et atomisée jusque dans ses référents les plus stables, société dont même la notion-phare de “liberté” ne parvient plus à masquer le furoncle crevé sur le pif crochu qu’elle incarne, société dont le seul but est de fournir des drogues abrutissantes de plus en plus puissantes pour mieux faire passer la pilule
je connais aucun titres cités
Cette redpill
Et t'oublies de dire l'op qu'aujourd'hui toutes les petites françaises de 12-20 ans fantasment sur ninho ou koba la d
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/52/6/1608985319-vy97rk4ncg441.jpg
suicidaxez le
Le 12 décembre 2022 à 14:52:02 ThomBjork a écrit :
bmg j'en ai jamais entendu aucun
ayaaaoooo on est démodé, totalement hassbeen bientot boomer
Le 12 décembre 2022 à 14:52:36 :
Le 12 décembre 2022 à 14:52:02 ThomBjork a écrit :
bmg j'en ai jamais entendu aucunayaaaoooo on est démodé, totalement hassbeen bientot boomer
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/25/5/1529665903-1468425221-issou.png
Nous devons entrer en sécession intérieure avec le monde moderne.
"Combien de rappeurs dise en off, que tout ça mérite des gifles mais la vérité chute face à la musique des chiffres"
"Qu'ils fassent leur pitreries au bled ce sera la peine de mort"
"Bienveillant envers leur maitres c'est pour ça qu'ils incitent au crime"
J'en connais aucun
La jeunesse soutient l’art français ça fait plaisir, c’est pas avec les Célestin qui bloquent sur leurs groupes allemands de metal que ce pays avance.
Et ça fait clic
Clic clic pan pan pan