StopAuxNegres
2022-11-24 13:14:57
Avant tout, exterminer les nègres c'est un projet, ça se prépare, vous ne pouvez pas vous contenter de dire "je vais les exploser ces sales nègres puants", vous n'êtes pas sérieux en disant ça et c'est comme une entreprise, si votre projet n'est pas sérieux, personne ne voudra vous écouter et encore moins y investir de l'argent
Je vais maintenant vous expliquer un scénario de fin des nègres
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On est en 2033, ça fait déjà un an que Macron a été réélu de très peu pour la quatrième fois d'affilé face à Éric Zemmour le modéré divers droite, qui était pourtant bien parti pour gagner du haut de ses 75 ans.
En 11 ans, le débat public a bien changé, être de gauche n'a plus la même signification, tous sont unanimes : l'immigration est un péril irréversible comme le répétait encore un présentateur de BFMTV à ceux qui n'auraient toujours pas compris.
Il faut dire que les blancs représentent 35% de la population Française, et pourtant, les choses sont en passe d'être reprises en main.
Alors que les deux candidats à la Présidentielle cherchaient à se vanter d'avoir des solutions contre l'immigration clandestine et pour durcir encore plus les conditions d'octroi de visa, un sujet continue de cristalliser : alors que l'on ne parle même plus de la délinquance qui est pourtant très présente, ni des attaques à l'acide, on ne parle plus que d'une chose, les nègres, en France et dans le monde.
Les débats s'éternisent mais reviennent toujours au point de départ, il en va du QI des nègres, du futur de l'humanité, de leur stérilisation, qu'ils travaillent plus pour un salaire amoindrie sur le marché de l'emploi, et même de la création de villes leur étant réservé ou encore de leur instaurer des couvre-feu.
Jusqu'au jour où, c'est l'agression de trop, un négroide a été filmé à Paris en train de planter mortellement au poignard une jeune femme blanche d'une trentaine d'années sur "Feeds", le nouveau réseau social à la mode.
La censure des médias est très omniprésente et ne se cache pas avec Macron, même le patron de BFMTV n'a pas été épargné, ayant été remplacé sur décret présidentiel, il fallait bien essayer de faire croire que l'herbe était plus verte que ce qu'elle n'était réellement pour sauver son électorat, mais l'information se répand comme une traînée de poudre.
C'est l'éclatement, les gilets jaunes, défendant leur pouvoir d'achat, mini groupuscule qui existait toujours depuis les évènements de 2018 mais qui a soudainement repris de l'ampleur 1 an avant le drame, décident qu'il faut passer à l'action, et vite.
Ils n'avaient pas grand-chose sur eux si ce n'est des armes par destination, alors que les militants de France Anti-Nègres et ses associés, comptant 3 millions de membres actifs, étaient plus réputés pour leur violence et leur illégalité, alors même qu'ils comptaient secrètement des membres de l'armée et de la police dans leurs rangs.
Comme s'il fallait ajouter du sel dans la soupe, ils sont rejoints par la mafia qui pense trouver un intérêt dans ce qui se prépare. La rumeur commence à se répandre sur les réseaux sociaux, pris de court, Macron est sur le point de quitter l'Élysée en urgence. Mais il était déjà trop tard.
Ni une ni deux, les manifestants révoltés, éclatés dans tout Paris, commencent à prendre le chemin de l'Élysée et se dirigent par groupes sur ordre des meneurs, l'encerclent pendant des heures sans que personne ne sache si Macron y est présent, puis décident de lancer ce qui sera appelé le "raid final", les meubles et les barrières sont renversées, ils innondent le bâtiment, certains descendent au sous-sol et tuent Macron, qualifié de dictateur par une courte majorité de la population.
Sa mort a fait polémique, mais tout le monde est unanime : la France ira mieux. France Anti-Nègres et la mafia, malgré leurs divergences, s'associent ensemble pour "détruire le gauchisme dans l'oeuf" en lançant un ultimatum : les gilets jaunes devront se convertir.
Il faut dire que leur force de persuasion et leur équipement ne donnaient pas envie de jouer, et c'est sans compter la mafia que la société ne connaît que trop bien. 70% des gauchistes acceptent d'abandonner leurs revendications, à savoir ce que France Anti-Nègres appelle la "fausse solution" pour se débarrasser des nègres, des propositions comme un couvre-feu, la création de villes leur étant réservé...
France Anti-Nègres prend le pouvoir et construit un palais à deux pas de ce qui reste de l'Élysée, conservé comme monument historique.
Les annonces d'initiatives s'enchaînent pour "éradiquer les nègres" : création d'un nouvel aéroport de déportation, formulaire de dénonciation, construction d'une dizaine de camps dans toute la France pour une capacité totale de 5 millions de nègres par mois. Beaucoup d'argent est récolté en soutien, et les caisses de l'ancien gouvernement sont remplies malgré ce que Macron avait prétendu.
Alors qu'environ la moitié des 30% de gauchistes restant dans le rang des gilets jaunes étaient bien décidés à en découdre dans la rue, un évènement vient tout bousculer : la Révolte des nègres, avec un grand R car cet évènement n'est pas anecdotique.
Dans la nuit, 10 bâtiments appartenant à France Anti-Nègres sont incendiés par des nègres, des centaines de femmes blanches sont violées, et même des militants de ce qui restait de la gauche moderne se retrouvent attaqués, parfois mortellement.
Plus les nuits passent, plus la situation se dégrade. Les critiques ne manquent pas, même au sein de France Anti-Nègres accusé de laxisme et de manque de prévoyance. Une métaphore marquera fortement les esprits : "Ils ont laissé le gaz ouvert, qui s'accumule, sans prendre de précautions, jusqu'à risquer de faire péter la baraque"
Mais la situation commence à se calmer au bout d'un mois, alors que les camps de concentration sortent de terre, que les aéroports temporaires prennent forme, les nègres, extrêmement peu armés, comprennent qu'ils gagneraient à prendre la fuite, surtout que des rumeurs de torture dans les prisons commencent à se faire entendre, afin d'extorquer aux nègres des informations sur leurs commanditaires.
Un décret fait du nègre un bien sous l'autorité de l'État et un délit de complicité de perte est créé, destiné à lutter contre les "facilitateurs de fuite" (gauchistes d'antan)
Les formulaires de dénonciation pleuvent et même les voisins, les maires, se sont transformés en policiers pour "capturer du nègre", quelque part, on pense que sans cet épisode de violence qui a dégoûté une écrasante majorité de la population, beaucoup moins de gens n'auraient participé à cet effort, et beaucoup de nègres auraient pu prendre la fuite.
Car le projet de France Anti-Nègres est mondial, en visant d'abord l'éradiquation des nègres en France, puis de tous les nègres francophones et enfin du monde. Pour beaucoup, même au sein du gouvernement, cela est une utopie qu'il faut cependant s'efforcer de se rapprocher, pour d'autres, ce n'est qu'une question de temps, citant l'homme de Néandertal, dont une théorie voudrait qu'il ait été exterminé par homo sapiens à cause de son intelligence et de sa mocheté.
Les avions s'enchaînent à un rythme effrené, la vie dans les camps est rythmée par le travail effrené à la sueur du nègre, car il est bien connu que le nègre dispose d'une grande force physique, comme le commerce triangulaire l'a prouvé.
À mesure que le plan progresse, les nègres disposent de plus d'espace dans les camps, paradoxalement, on constate une diminution de la mortalité au travail (les nègres ne mangent pas), ce qui aboutit à long terme à une surconcentration avec les nouveaux arrivants, et pousse des supérieurs à effectuer des transfert de camp à la dernière minute.
Les passages au crématoire du camp dès l'arrivée est réservé aux femmes, aux vieillards, et aux bébés. C'est un très grand tube qui chauffe dans de l'eau bouillante.
Un an plus tard, on estime que 90% des nègres de France ont été tués ou qu'ils sont en voie de mourir, que moins de 4% ont réussi à fuir et que 6% attendent toujours dans des prisons, commissariats et même des mairies aménagées, d'être amené jusqu'à l'aéroport le plus proche afin de les y acheminer dans un camp.
La France reprend son train de vie, mais sans les nègres. La délinquance a chuté, nous sommes en voie de devenir la 1ère puissance mondiale et France Anti-Nègres pense déjà à l'avenir.
Parmi les avantages à un monde sans nègres, lequel préféreriez-vous ?
La beauté
L'intelligence
L'absence d'odeurs nauséabondes
Ne pas être confronté à un couteau
La sensation de partager les mêmes gènes