Chacune dresse un portrait effarant de ce «vieil homme à lunettes», «répugnant», qui, une fois démasqué, cachait son visage en répétant, craintif, «non, non, non». La plupart évoquent un même sentiment de révulsion, l'une dit avoir eu «envie de vomir et s'est lavée à l'eau de javel», une seconde confie avoir été «effrayée, humiliée, salie et grandement détruite par cette histoire.». «Il a l'âge de mon père», s'horrifie une troisième. D'autres avouent au contraire être tombées sous l'emprise de l'avatar d'Anthony Laroche et avoir continué à le fréquenter malgré le mensonge.