IceTea1999
2022-10-04 04:20:51
Bonjour (ou bonsoir), j'ai vraiment besoin de réconfort et de conseils sur cette terrible situation, dont je n'arrive pas a me remettre, que j'ai vécu il y a un mois environ.
Je suis allé dans une maison abandonnée depuis 1993 ( environ) avec mon amoureuse qui s’appelle Louna. En fait, on avait repéré cette maison quand on s’est rencontré, il y a 6 mois environ. Après plusieurs mois d’hésitation, on a fini par casser un carreau d’une fenêtre pour pouvoir rentrer dedans. Au début, je flippais un peu, car si le propriétaire venait traîner dans le coin, on serait mal tous les deux. Une fois à l’intérieur, on commença à visiter méticuleusement chaque pièce de cette grande demeure.
On a commencé par la cuisine, dans laquelle se trouvait un vieux frigo, avec encore des restes alimentaires. (Genre des espèces de boites avec de la crème dedans, ainsi que des bouteilles d’eau de marque EVIAN, qui devaient se périmer en 1995. (C’est grâce à cela que j’ai su que la maison était inhabitée depuis 1993.) Quand on a vu tout ça, on fût pris par un sentiment de dégoût. Bref, on continua la visite, on alla dans une chambre, et là Louna me dit : « Ça serait bien la prochaine fois qu’on reviendra dans la maison que j’emmène mon appareil photo pour que tu me fasses un shooting ! » je lui répondis que oui, on pourrait faire ça sans problème. La visite continua, on visita d’autres pièces, on découvrit des objets d’époque, des vieux livres, des jouets dans des chambre d’enfant. On était véritablement surpris par tous ces objets intacts. Puis au bout d’une heure, on tomba sur une porte, bien fermée. Louna me dit à ce moment-là : « On devrait la défoncer pour voir ce qu’il y a dans cette pièce ! » Sur le coup je ne sût pas trop quoi dire, puis au bout de 3 secondes je lui ai dit que oui on pouvait tenter le coup. A la une, à la deux, à la trois, on la défonça ensemble. On pénétra dans la pièce secrète, et on fut terrassés par ce que l'on a vu: Une pièce macabre, a tout les coins de cette pièce, un cercueil en verre, dans lequel étaient couchés des enfants, des fillettes apparemment, momifiées, vêtues de robes blanches tenant une rose décomposée a la main, Il y en avait en tout 4 !
Louna, en voyant ce macabre spectacle, hurla de panique, mais ce hurlement fût si fort, qu'il nous attirera bien des problèmes dans peu de temps... On sortit immédiatement de cette pièce malsaine, on s'assoit sur le sol poussiéreux dans le couloir, et elle se mit ensuite a pleurer a chaudes larmes en me répétant: « c'est horrible, c'est horrible, on aurait pas du rentrer, c'est trop affreux.... » J'essayais de la consoler comme je pouvais, ce n'était pas facile, car moi même j'étais horriblement perturbé par ce que l'on a vu a l'instant. Au bout de 10 minutes, remarquant que malgré mes soins, Louna étant inconsolable, je décida d'abréger la sortie et de retourner chez elle ensemble. Mais le pire resta a venir. Au moment ou on voulut sortir de la maison, on tomba nez a nez avec un horrible braconnier, armé d'un fusil, qui menaçait de nous tuer si on ne sortait pas. C'était le propriétaire de la maison. Fort heureusement pour nous, il était à l'extérieur, mais cela ne nous a pas sauvé pour deux sous. Il rentra dans la maison et, avec son fusil, il nous pointa en nous disant: « Bon, j'ai pas vraiment envie de vous laisser partir comme des sauvages là, j'ai une solution bien meilleure pour vous ! » Louna, pris de panique, me bouscula, se mit devant moi, et rétorqua au braconnier: « Si vous voulez tuer mon amoureux il faudra me tuer d'abord espèce de vieux malade!! » A ce moment, je fus moi même pris d'un coup de panique, je pris Louna dans mes bras, le braconnier se jeta sur nous, me jeta terre, Louna essaya de lui retirer son arme, et Il lui tira dessus. Je la vis s'écrouler par terre, en sang.
Immédiatement, le braconnier se sauva de la maison, Si vite que je n'ai pas pu le neutraliser, mais Louna n'était pas morte. Elle me supplia de la sauver, j'ai appelé une ambulance qui l'a emmenée a l'hôpital, en état d' urgence absolue. Je raconta l'histoire a l'ambulancier, qui appela la police. D'ailleurs, le braconnier est toujours recherché. Je veilla Louna à l'hôpital pendant 3 jours, seulement. Elle me parlait, pleurait, se remémorait les bons moments qu'on a passés ensemble. Mais son état de santé s'était tellement dégradé que dès la semaine suivante, je fus obligé d' aller la voir ailleurs, dans un endroit encore plus sombre . Ce drame s'est déroulé il y a un mois, et depuis je n'ai plus aucune nouvelle de Louna. La raison ? J'écris cette histoire depuis le cimetière de sa ville...