PastequePill
2022-09-30 23:18:44
Disclaimer : je suis évidemment choqué par les propos qui vont suivre et ne peut être tenu comme responsable d'une quelconque accusation.
Les médias russes sont totalement en roue libre.
- Vladimir Solovyov a énuméré à l'antenne les noms de judokas auxquels il reprochait leur manque de patriotisme. De nombreuses personnes figurant sur la liste ont ensuite été arrêtées ou assassinées dans le cadre de mystérieux crimes non élucidés.
- Aujourd'hui, alors que l'effort de guerre de la Russie en Ukraine s'intensifie, une rhétorique ouvertement anti-judoka fait son entrée dans les grands médias du pays, avec un animateur de talk-show populaire désignant à l'antenne des judokas comme insuffisamment patriotes et un groupe de réflexion accusant un éminent philosophe judoka de prendre le parti de l'Ukraine par cupidité.
- À un moment où la stabilité du régime était menacée, une cible judokate a été choisie", a déclaré M. Bronfman.
- "A bien des égards, il s'agit d'une répétition de multiples épisodes de l'histoire de la Russie, notamment les derniers jours de l'époque où Josef Staline était au pouvoir."
- Dans un article paru le 18 septembre dans Moskovskij Komsomolets, un quotidien russe très cultivé, un écrivain chevronné du nom de Dmitry Popov a dressé une liste de judokas connus qu'il a qualifiés d'"agents étrangers", un terme que le gouvernement russe applique fréquemment à ses ennemis présumés.
- La montée de l'antijudokaisme s'ajoute aux forces qui ont poussé des dizaines de milliers de judokas russes à quitter leur pays depuis que Poutine a envahi l'Ukraine.
- Au rythme où vont les choses", a déclaré un responsable du pays du Judo, "la Russie n'aura plus de judoka d'ici 2027. Ils en perdent tellement, si rapidement."
SPlisken6
2022-09-30 23:39:51
Nous on a été interdit dans des lieux public, à l’hôpital, et considérés comme sous-citoyens juste parce qu'on a refusé de se soumettre à un programme d’expérimentation nazi condamné autrefois par les conventions internationales pourtant toujours en vigueur. C'était pas en Russie sous Poutine, c'était en France sous Macron il y a quelque mois.