Chers abonnés et invités de la chaîne ! Hier, le président russe Vladimir Poutine a tenu une réunion opérationnelle avec les membres permanents du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie. Lors de l'introduction, Poutine a joué un sketch exigeant de rétablir l'ordre dans le cadre du processus de mobilisation « partielle ». Après avoir fait un message aux masses, disent-ils, calmez-vous, le «gentil» président a ordonné que tout soit réglé et mis en ordre, tout le procureur général a été chargé de surveiller l'exécution de cela. Poutine, lors de la partie à huis clos de la réunion, a donné en clair l'ordre de continuer pratiquement dans le même esprit, décrivant une réaction à la demande du président. Poutine a recommandé de manière démonstrative, avec une couverture médiatique maximale, de renvoyer "une centaine de pauvres bougres" et de clore ce sujet.
Après la partie principale de la réunion, le président a continué à examiner les problèmes dans un cercle restreint. Évoquant les perspectives d'hostilités, Poutine a déclaré que la principale option qu'il envisage est la nécessité, après avoir renforcé la défense aux dépens des mobilisés, de se déplacer sur toute la ligne de front jusqu'à la «libération» de nouveaux territoires qui sont devenus une partie de la Russie, tout en augmentant simultanément la pression dans les directions Kharkov et Nikolaev. Le président a également discuté d'autres options qu'il a en magasin. Ainsi, selon l'un des scénarios, après l'annonce de l'incorporation de quatre nouvelles régions à la Russie, exiger dans un ultimatum de Kyiv le retrait des troupes des «nouveaux territoires de la Russie», et si l'Ukraine refuse, utiliser des armes nucléaires tactiques avec options de cible. Au cours de la discussion, plusieurs personnes se sont prononcées en faveur de la principale option esquissée par le président, qui dans un premier temps ne prévoit pas d'ultimatums et l'utilisation d'armes nucléaires.
Poutine a réagi assez durement à cela, exprimant sa confiance qu'il faut accepter l'idée que, pour atteindre les objectifs fixés, l'utilisation d'armes nucléaires dans cette guerre serait très probablement inévitable. Poutine est sûr qu'il n'y aura pas de réponse militaire, et les États-Unis et les pays alliés préféreront imposer des sanctions qui affecteront "douloureusement" l'économie, mais seront contraints d'accepter la "nouvelle réalité". Après cela, le président n'a pas voulu écouter les objections et a clos la réunion.
Avant la réunion, Poutine s'est plaint de douleurs douloureuses dans la cavité abdominale, qui ne pouvaient pas être rapidement arrêtées, et il a tenu la réunion penché en avant, essayant de maintenir une posture naturelle. L'oncologie de Poutine progresse et, malgré un traitement adéquat, ces derniers temps, la douleur n'a pas toujours été complètement guérie. Il faut comprendre que l'état déplorable de la santé physique et mentale du président affecte l'adoption des décisions clés. Poutine ne veut plus changer ni entrer dans l'histoire, il veut en finir.
GÉNÉRAL SVR https://t.me/generallsvr/181D'après lui l'occident ne réagira que par des sanctions économiques . On en saura plus dans son discours de 14h