LES ONZE MILLE VERGES

Guillaume Apollinaire (celui qui a fait certaines des poésies qu'on apprend à l'école)

Mon cher Bandi,
J’en ai assez d’être enculé par toi, j’en ai assez des femmes de Bucharest, j’en ai assez de dépenser ici ma fortune avec laquelle je serais si heureux à Paris. Avant deux heures je serai parti. J’espère m’y amuser énormément et je te dis adieu.

Mony, Prince Vibescu,
Hospodar héréditaire.

https://fr.wikisource.org/wiki/Les_Onze_Mille_Verges_ou_les_Amours_d%E2%80%99un_Hospodar/1

https://fr.wikisource.org/wiki/Les_Onze_Mille_Verges_ou_les_Amours_d%E2%80%99un_Hospodar

De la littérature de haute volée , à n'en point douter

Tous les intellectuels depuis la révolution sont gay ou ont des problèmes graves, BTG ?

Très honnêtement je pense que c’était déjà le cas avant pendant l’époque médiéval ou empire romain, mais qu’on le cachait +https://image.noelshack.com/fichiers/2022/14/6/1649458657-risitas-big-smile-sticker.png

Les artistes etc sont des fous. Imaginer un hetero de base faire coiffeur ou invente une histoire, ça serait nul
Par contre leursbouvres doivent restées dans nos normes, sinon ça ne parle qu’à eux. C’est ce qui se passe aujourd’hui malheureusementhttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/14/6/1649458657-risitas-big-smile-sticker.png

Œuvres *

Un des livres qui m'a le plus horrifié.

L'intérêt de sa lecture est qu'il dévoile la réalité de l'horreur du monde qui se prétend civilisé.

Aujourd'hui, Apollinaire intégrerait les scènes barbares qui se déroulent dans les banlieues et les villes françaises, les tortures, massacres et attentats des organisations terroristes islamiques, la forfaiture des politiques, le scandale de la médecine qui mutile les corps au nom de la vanité existentielle.

Il en braqua le canon sur Mony qui tremblant, lui tendit le derrière en balbutiant : « Bandi, mon cher Bandi, tu sais que je t’aime, encule-moi, encule-moi. » Bandi en souriant fit pénétrer sa pine dans le trou élastique qui se trouvait entre les deux fesses du prince. Entré là, et tandis que les trois femmes le regardaient, il se démena comme un possédé en jurant : « N… de D…! Je jouis, serre le cul, mon joli giton, serre, je jouis. Serre tes jolies fesses. » Et les yeux hagards, les mains crispées sur les épaules délicates, il déchargea. Ensuite Mony se lava, se rhabilla et partit en disant qu’il reviendrait après dîner.

Je lis en diagonale mais c'est un délire total

alors folle d’excitation et de volupté elle mordit Mony à l’oreille si fort que le morceau lui resta dans la bouche. Elle l’avala en criant de toutes ses forces et remuant le cul magistralement. Cette blessure dont le sang coulait à flot, sembla exciter Mony, car il se mit à remuer plus fort et ne quitta le con de Culculine qu’après y avoir déchargé trois fois, tandis qu’elle même déchargeait dix fois.

Viens m’enculer, » cria Alexine. Mais Mony perdait tant de sang qu’il n’avait plus envie de bander

Le mec est un bisexuel assumé (bon encore ça c'est pas vraiment problématique) qui fantasme sur l'absence de consentement...
Je ne vois pas ce qu'il y'a d'excitant la dedans c'est juste ultra malsain comme ambiance.