[ALERTE] Pour contourner les SANCTIONS, la Russie vend maintenant des voitures SANS AIRBAG

MorSeul
2022-10-01 21:21:47

https://www.liberation.fr/international/europe/apres-sept-mois-de-guerre-et-sanctions-dans-quel-etat-est-leconomie-russe-20221001_YDUTIPVWEREGBAAJ5NUD564FQI/

Vu comme les russes savent déjà pas conduire ils vont perdre plus d'hommes qu'avec la guerre. Des questions? :rire:

MorSeul
2022-10-01 21:30:08

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COBIDEPakistan2
2022-10-01 21:31:04

La russie se rejouit de grandir son territoire

les eurocuck se rejouissent d'airbag

TAKE THAT PUTINhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/47/4/1637869590-d24a86d2-154c-49c3-ab85-728c4c927d8b.jpeg

DukeDuke
2022-10-01 21:31:44

La presse française au ordre de l'Otan :rire:

DukeDuke
2022-10-01 21:32:05

Le 01 octobre 2022 à 21:31:04 :
La russie se rejouit de grandir son territoire

les eurocuck se rejouissent d'airbag

TAKE THAT PUTINhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/47/4/1637869590-d24a86d2-154c-49c3-ab85-728c4c927d8b.jpeg

https://image.noelshack.com/fichiers/2022/39/6/1664652721-1645659196-zz-ple-copie-zoom.png

netsanaflix
2022-10-01 21:33:03

Le 01 octobre 2022 à 21:21:47 :
https://www.liberation.fr/international/europe/apres-sept-mois-de-guerre-et-sanctions-dans-quel-etat-est-leconomie-russe-20221001_YDUTIPVWEREGBAAJ5NUD564FQI/

Vu comme les russes savent déjà pas conduire ils vont perdre plus d'hommes qu'avec la guerre. Des questions? :rire:

ben, écoute, j'ai roulé 12 ans sans avoir besoin d'airbag, donc, c'est optionnel.

Et de toute façon les 3/4 de l'electronique c'est de la merde, cette guerre est peut-être une bonne chose de ce point de vue (et vu comme certains roule, j'vois même pas ce qu'ils font avec une bagnole, un vélo, un abonnement de bus suffirait largement).

MorSeul
2022-10-01 21:34:30

L'article complet vu qu'il est paywall:

Après sept mois de guerre et sanctions, dans quel état est l'économie russe?

Nelly Didelot
Si Moscou cherche à limiter la publication de statistiques sensibles, plusieurs études pointent la dégradation importante de certains secteurs. Les restrictions sur les composants technologiques ont mis au ralenti des pans entiers de l'économie et forcent le Kremlin à puiser dans ses réserves.

Sur le site de Rosstat, l'agence des statistiques russes, les chiffres des exportations sont restés bloqués à 2021, ceux des importations à mars 2022. Depuis le début de la guerre en Ukraine et les sanctions occidentales qui y ont répondu et qui pourraient encore s'alourdir en riposte aux référendums d'annexion fantoches organisés dans les territoires ukrainiens occupés, la plupart des indicateurs économiques russes ne sont plus rendus publics. Disparus les rapports mensuels sur la production de pétrole, le trafic aérien ou l'état de santé des banques. Seuls demeurent les chiffres relativement favorables, comme le taux de chômage, destinés à alimenter l'idée que la Russie ne résiste pas si mal aux sanctions.

Pour avoir une idée de l'état réel de l'économie, il faut se pencher sur son coeur : la production et l'exportation d'hydrocarbures. A lui seul, le pétrole représente en temps normal un tiers du PIB, la moitié des recettes fiscales et deux tiers des exportations. Mais quelle est aujourd'hui l'importance de ces exportations ? Sur cette question, deux réponses et deux groupes d'économistes s'opposent. Selon une projection de Bloomberg publiée en juin, basée sur les chiffres du ministère de l'Economie et sur les tendances à l'exportation du mois de mars, Moscou gagnerait plus avec le gaz et le pétrole cette année qu'en 2021. Soit 280 milliards d'euros, contre 232, grâce à l'envolée des prix.

En juillet, une autre étude menée par un groupe de chercheurs de l'université de Yale , est arrivée à des conclusions très différentes. Elle estime que les tendances d'exportations d'hydrocarbures du mois de mars ne sont plus valables, en pointant la baisse des ventes en Europe, où les importations de GNL américain ont dépassé le gaz russe depuis le mois de juin. En parallèle, la «bascule vers l'Est» des ventes d'hydrocarbures voulue par Poutine ne donne pas les résultats espérés. Le manque de gazoducs partant vers l'Asie empêche une redirection rapide des flux, et les capacités pour le GNL sont très limitées. Signe intéressant, Gazprom ne distribuera pas de dividendes à ses actionnaires pour la première fois depuis trente ans.

Bascule limitée vers l'Asie

Même pour le pétrole, qui pose moins de contraintes logistiques, la bascule vers l'Asie donne des effets limités. La Chine et l'Inde ont augmenté leurs importations mais probablement sans compenser la baisse des ventes sur les marchés occidentaux. Surtout, le baril de brut leur est vendu en moyenne 35 euros moins cher, ce qui fait rentrer moins de devises dans les caisses russes. «La Russie peine à réorienter ses flux d'énergie, estime une source diplomatique française. En juillet, les revenus du pétrole se sont limités à 9 milliards d'euros contre 21 à la même époque l'an dernier. Si on cumule toutes les énergies, la Russie gagnait en moyenne 170 millions par jour en moins en juillet-août, par rapport à février-mars.» Avant même l'entrée en vigueur de l'embargo européen sur le pétrole russe , prévue pour décembre, la production a commencé à ralentir. La Russie pompe moins de barils de brut que ce qu'autorisent les quotas de l'Opep et le ministère des Finances estime que la production de pétrole pourrait diminuer de 9 à 17 % en 2022.

«Les sanctions frappent l'économie russe de plusieurs manières mais deux objectifs sont essentiels. Il faut diminuer la capacité de Poutine à redistribuer les roubles, ce qui dépend principalement du budget, et diminuer la capacité de la Russie à importer, qui dépend, elle, de la disponibilité des devises et des restrictions» , explique Janis Kluge du German Institute for International and Security Affairs. De fait, ces indicateurs ne sont pas très encourageants pour Moscou. Les revenus diminuent et les dépenses augmentent. «A la suite d'une vague massive de mesures de relance budgétaire et monétaire déclenchée après l'invasion, les dépenses de l'Etat russe sont d'une ampleur bien plus grande qu'auparavant» , note l'étude de Yale. En parallèle, le budget militaire explose. D'après les calculs de Janis Kluge, l'armée a reçu en janvier et juillet au moins 20 milliards d'euros de plus qu'en 2021 à la même période. Son budget total pour l'année devrait s'élever à 80 ou 100 milliards d'euros au lieu de 60. L'ensemble commence à peser. Depuis avril, le budget mensuel fédéral est déficitaire, obligeant l'Etat à puiser dans ses réserves.

Effondrement des importations

Les sanctions pèsent aussi lourdement sur les importations. Selon l'étude de Yale, elles pourraient s'être effondrées de 50 %, tirées vers le bas par les restrictions occidentales et la division par deux entre janvier et avril des échanges avec la Chine, premier partenaire commercial russe. Les conséquences en sont douces-amères. « Au deuxième trimestre 2022, la Russie a enregistré l'excédent de sa balance courante le plus élevé de son histoire, principalement en raison d'un excédent commercial record. Plus de la moitié de cet excédent est due à une baisse drastique des importations, ce qui pourrait à terme saper la capacité de production russe», note le think tank Bruegel dans un rapport publié début septembre .

Les sanctions bancaires, qui compliquent la participation des entreprises russes au commerce international, se sont combinées aux sanctions directes sur certains types de produits, notamment technologiques, pour mettre certains secteurs quasiment à l'arrêt. Faute de certains composants, la production de voitures, par exemple, s'est effondrée. Pour essayer de contourner les pénuries, les normes de sécurité ont été abaissées, et les nouveaux véhicules qui sortent des lignes de production n'ont plus d'airbag ou d'assistance au freinage.

«Avant la guerre, la Russie était dépendante des Etats-Unis à 45 % et de l'Union européenne à 21 % pour les produits de haute technologie. La Chine lui en fournissait 11 % mais elle ne peut pas faire beaucoup plus. Moscou n'a pas les moyens de contourner ces sanctions comme en 2014» , estime la même source diplomatique. «Les sanctions pèsent déjà mais elles vont surtout avoir un effet graduel, cumulatif, à plus long terme. Dans le domaine de l'énergie, la Russie va avoir besoin de construire de nouveaux champs gaziers pour remplacer ceux qui arrivent à maturité. Sans investissements étrangers et sans technologie occidentale, ce sera impossible et cela risque d'asphyxier un secteur économique clé», complète Agathe Demarais, directrice des prévisions mondiales de l'Economist Intelligence Unit.

Forte récession

Avec les restrictions et la guerre, plus de 1 200 entreprises étrangères ont quitté la Russie, ramenant les investissements étrangers trente ans en arrière. Ensemble, les investissements de ces multinationales représentaient 40 % du PIB national. Certaines, comme McDonald's ou Starbucks pour citer les plus connues, ont été remplacées par des ersatz russes, mais la plupart ont complètement cessé d'opérer.

Mis bout à bout, ces effets en cascade de la guerre et des sanctions minent la croissance. Si la récession sera moins forte que ce qui avait été estimé au printemps, elle devrait tout de même atteindre 6 % cette année, soit un écart de neuf points par rapport aux prévisions du FMI avant guerre. «C'est une récession très importante. En 1998, quand la Russie avait connu une importante crise financière, son PIB ne s'était contracté que de cinq points. En 2014 suite à l'annexion de la Crimée, les sanctions occidentales n'avaient pas produit de récession, il avait fallu attendre 2015 et la baisse des prix de l'énergie pour voir le PIB reculer de 1,9 %» , rappelle Agathe Demarais. Et en 2012, quand l'Iran avait été visé par une nouvelle vague de sanctions et ses banques déconnectées de Swift, la récession avait été limitée à 3,8 %. Moscou ne pourra pas le cacher longtemps, les effets économiques des sanctions sont bien là.

MorSeul
2022-10-01 21:36:36

Le 01 octobre 2022 à 21:33:03 :

Le 01 octobre 2022 à 21:21:47 :
https://www.liberation.fr/international/europe/apres-sept-mois-de-guerre-et-sanctions-dans-quel-etat-est-leconomie-russe-20221001_YDUTIPVWEREGBAAJ5NUD564FQI/

Vu comme les russes savent déjà pas conduire ils vont perdre plus d'hommes qu'avec la guerre. Des questions? :rire:

ben, écoute, j'ai roulé 12 ans sans avoir besoin d'airbag, donc, c'est optionnel.

Et de toute façon les 3/4 de l'electronique c'est de la merde, cette guerre est peut-être une bonne chose de ce point de vue (et vu comme certains roule, j'vois même pas ce qu'ils font avec une bagnole, un vélo, un abonnement de bus suffirait largement).

ok papy :) les airbags sont obligatoires depuis 79 donc t'as 72 ans?

netsanaflix
2022-10-01 22:06:09

Le 01 octobre 2022 à 21:36:36 :

Le 01 octobre 2022 à 21:33:03 :

Le 01 octobre 2022 à 21:21:47 :
https://www.liberation.fr/international/europe/apres-sept-mois-de-guerre-et-sanctions-dans-quel-etat-est-leconomie-russe-20221001_YDUTIPVWEREGBAAJ5NUD564FQI/

Vu comme les russes savent déjà pas conduire ils vont perdre plus d'hommes qu'avec la guerre. Des questions? :rire:

ben, écoute, j'ai roulé 12 ans sans avoir besoin d'airbag, donc, c'est optionnel.

Et de toute façon les 3/4 de l'electronique c'est de la merde, cette guerre est peut-être une bonne chose de ce point de vue (et vu comme certains roule, j'vois même pas ce qu'ils font avec une bagnole, un vélo, un abonnement de bus suffirait largement).

ok papy :) les airbags sont obligatoires depuis 79 donc t'as 72 ans?

Non, juste sans accidents.

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