Quelle est l'ECOLE IDEALE/PARFAITE pour vous ?

une école dans le style de Poudlard, de 12 ans à 18 ans. Comment serait-elle ?

Déjà, mettre en place une évaluation constructive

Le 23 septembre 2022 à 18:58:36 :
Déjà, mettre en place une évaluation constructive

Je pense qu'une concurrence saine avec respect est un bon stimulateur.

Dans l'école idéale, une des choses les plus importantes serait d'éduquer. Eleves souriants, gentils, qui s'entraident, pas de harcèlement...

Déjà le cadre :

Au bord d'un grand lac, ça met une ambiance autre. Possiblement en hauteur, un peu, ou des monts assez proches.
Localisation de sorte qu'il y ait les quatre saisons connues.
Reliée par train.
Grande classe, tapis partout. Les élèves et les profs sont en chaussettes.

Un mélange de travaux pratiques (artisanat, agriculture...) et de Philosophie (connexion des savoirs, ateliers d'échanges).

Avec des apprentissages théoriques en lien avec la réalisation, des travaux collaboratifs et socialisés entre les élèves.

Et à coté, une étude des différentes sciences formelles (mathématiques, grammaire...) en soutient aux ateliers philosophiques.

Avec possibilité de spécialisation, bien qu'il y ait toujorus une articulation entre les différents champs.

Je crois que la distinction des champs du savoir est l'un des plus gros drames intellectuels de nos jours, et l'école telle que divisée y est pour quelque chose...

Je ne suis pas favorable à la concurrence par contre, je pense qu'elle est source de conflits et qu'elle n'est pas optimale à la production, ni des savoirs, ni des innovations pratiques, contrairement à la collaboration bien menée.

Il suffit de voir comment se fait la science aujourd'hui : par constitution collective

Le 23 septembre 2022 à 19:05:23 :
Un mélange de travaux pratiques (artisanat, agriculture...) et de Philosophie (connexion des savoirs, ateliers d'échanges).

Avec des apprentissages théoriques en lien avec la réalisation, des travaux collaboratifs et socialisés entre les élèves.

Et à coté, une étude des différentes sciences formelles (mathématiques, grammaire...) en soutient aux ateliers philosophiques.

Avec possibilité de spécialisation, bien qu'il y ait toujorus une articulation entre les différents champs.

Je crois que la distinction des champs du savoir est l'un des plus gros drames intellectuels de nos jours, et l'école telle que divisée y est pour quelque chose...

Une école encourageant la polymathie donc. Je suis d'accord.

Le plus important est d'élever les esprits des élèves avec des mathématiques, de la philosophie voire une rigueur et une grande importance accordées à la langue.

Aussi, il faudrait rendre les élèves bilingues en anglais dès la fin de leur deuxième année, à 14 ans donc. C'est tout à fait possible dans un internat bien sûr.

En fait, deux langues n'est pas grand chose à cet âge. Les sultans ottomans parlaient plusieurs langues à 6 ans.

Le 23 septembre 2022 à 19:08:48 :
Je ne suis pas favorable à la concurrence par contre, je pense qu'elle est source de conflits et qu'elle n'est pas optimale à la production, ni des savoirs, ni des innovations pratiques, contrairement à la collaboration bien menée.

Il suffit de voir comment se fait la science aujourd'hui : par constitution collective

Je pensais cela et je me suis rendu compte du fonctionnement des écoles coraniques. Les élèves sont éduqués avant tout, c'est impressionnant franchement. Quand je me suis apprêté à rentrer dans l'école, les élèves de 13/14 ans m'ont accueilli avec sourire.

Et la concurrence n'y pose aucun problème, elle améliore même les liens d'amitié pour ces élèves.

Pour les langues, je suis plus d'avis qu'il faut former aux langues anciennes durant cette période de la scolarité : ce sont des bases nécessaires à la bonne compréhension de notre culture, qui n'ont aucun pareil dans une formation intellectuelle.

Etant donné qu'apprendre une langue est un jeu intellectuel qui se comprnd et s'apprend, le fait de maitriser très bien Français, Latin et Grec (ou une langue régionale à la place de l'un des deux) donne de très bonnes dispositions à apprendre une langue vivante comme l'anglais passé le cycle secondaire

Mais je suis tout à fait d'accord, maitriser plusieurs langues est très important, ça ouvre tellement de perspectives...

Le 23 septembre 2022 à 19:13:31 :
Pour les langues, je suis plus d'avis qu'il faut former aux langues anciennes durant cette période de la scolarité : ce sont des bases nécessaires à la bonne compréhension de notre culture, qui n'ont aucun pareil dans une formation intellectuelle.

Etant donné qu'apprendre une langue est un jeu intellectuel qui se comprnd et s'apprend, le fait de maitriser très bien Français, Latin et Grec (ou une langue régionale à la place de l'un des deux) donne de très bonnes dispositions à apprendre une langue vivante comme l'anglais passé le cycle secondaire

Mais je suis tout à fait d'accord, maitriser plusieurs langues est très important, ça ouvre tellement de perspectives...

Oui, je regrette de ne pas avoir latin perso.

Le 23 septembre 2022 à 19:13:13 :

Le 23 septembre 2022 à 19:08:48 :
Je ne suis pas favorable à la concurrence par contre, je pense qu'elle est source de conflits et qu'elle n'est pas optimale à la production, ni des savoirs, ni des innovations pratiques, contrairement à la collaboration bien menée.

Il suffit de voir comment se fait la science aujourd'hui : par constitution collective

Je pensais cela et je me suis rendu compte du fonctionnement des écoles coraniques. Les élèves sont éduqués avant tout, c'est impressionnant franchement. Quand je me suis apprêté à rentrer dans l'école, les élèves de 13/14 ans m'ont accueilli avec sourire.

Et la concurrence n'y pose aucun problème, elle améliore même les liens d'amitié pour ces élèves.

Ce postulat est basé sur l'expérience, mais en terme sociologique, j'ai vraiment des doutes, j'ai l'impression que c'est la compétition (sous toutes ses formes : sociale, intra sexuelle etc) qui mène au harcèlement par exemple.

Et je ne suis pas du tout pour un enseignement religieux qui soit disciplinaire de façon à contrer la spontanéité des étudiants. J'aurais plutôt tendance à mettre en avant une spontanéité du non-conflit et un réflexe de la collaboration

Le 23 septembre 2022 à 19:15:47 :

Le 23 septembre 2022 à 19:13:13 :

Le 23 septembre 2022 à 19:08:48 :
Je ne suis pas favorable à la concurrence par contre, je pense qu'elle est source de conflits et qu'elle n'est pas optimale à la production, ni des savoirs, ni des innovations pratiques, contrairement à la collaboration bien menée.

Il suffit de voir comment se fait la science aujourd'hui : par constitution collective

Je pensais cela et je me suis rendu compte du fonctionnement des écoles coraniques. Les élèves sont éduqués avant tout, c'est impressionnant franchement. Quand je me suis apprêté à rentrer dans l'école, les élèves de 13/14 ans m'ont accueilli avec sourire.

Et la concurrence n'y pose aucun problème, elle améliore même les liens d'amitié pour ces élèves.

Ce postulat est basé sur l'expérience, mais en terme sociologique, j'ai vraiment des doutes, j'ai l'impression que c'est la compétition (sous toutes ses formes : sociale, intra sexuelle etc) qui mène au harcèlement par exemple.

Et je ne suis pas du tout pour un enseignement religieux qui soit disciplinaire de façon à contrer la spontanéité des étudiants. J'aurais plutôt tendance à mettre en avant une spontanéité du non-conflit et un réflexe de la collaboration

Je crois donc qu'une bonne éducation et la transmission d'un certain état d'esprit permettrait une concurrence saine. Mais je comprends ce que tu dis.

Au fait, je reviens sur ce que je disais concernant la compétition : on peut la canaliser sous une forme positive, comme celle du sport et du jeu par exemple.

Dans des activités de type : Lutte, Sport collectif, Sports de combats...

Jeu : Activités physiques (type ceux qu'on retrouve en animation), jeux de société, compétition d'apprentissage (apprendre le plus de poésies possibles en un temps donné par exemple).

La lecture pourra être imposée aux plus jeunes sans en donner l'air. On pourrait par exemple leur proposer plusieurs livres dont ils doivent en lire un selon leur préférence.

Le 23 septembre 2022 à 19:21:34 :
Au fait, je reviens sur ce que je disais concernant la compétition : on peut la canaliser sous une forme positive, comme celle du sport et du jeu par exemple.

Dans des activités de type : Lutte, Sport collectif, Sports de combats...

Jeu : Activités physiques (type ceux qu'on retrouve en animation), jeux de société, compétition d'apprentissage (apprendre le plus de poésies possibles en un temps donné par exemple).

Oui cela va de soi pour le sport

Je pense à des sports obligatoires : lutte, tir à l'arc, natation, course.

La lutte développe le corps, le tir à l'arc, l'esprit, la natation, le contrôle de soi, la course, le souffle...

En sixième j'étais découragé du sport, il faut montrer à tous les élèves qu'ils peuvent être bons.

Pas de boxe, ce serait détruire leurs précieuses neurones.

Le 23 septembre 2022 à 19:21:49 :
La lecture pourra être imposée aux plus jeunes sans en donner l'air. On pourrait par exemple leur proposer plusieurs livres dont ils doivent en lire un selon leur préférence.

La lecture n'a pas besoin d'être imposée, il vaut même mieux l'éviter le plus possible ! Par contre, l'exemple que tu donne est très efficace

J'avais lu une étude sur le sujet qui enquêtait sur les habitudes et pratiques de lectures chez les lycéens, et on se rendait compte que le plus efficace pour encourager la lecture était :

1 - Donner l'exemple par un cercle qui la valorise (parents qui lisent et le valorisent, enseignants qui félicitent, amis qui lisent etc)
2 - Créer des ateliers ludiques (concours de livres à ficher etc)
3 - Maintenir l'encouragement jusqu'au lycée car c'est à ce moment que l'on cimente les habitudes de lecture.

C'est la création d'un milieu propice qui détermine le plus les individus à se créer des habitudes de lecture !

La lecture imposée doit donc être vraiment, vraiment très camouflée !

Et encore une fois, ton exemple est très efficace dans la deuxième catégorie

Le 23 septembre 2022 à 19:25:00 :

Le 23 septembre 2022 à 19:21:34 :
Au fait, je reviens sur ce que je disais concernant la compétition : on peut la canaliser sous une forme positive, comme celle du sport et du jeu par exemple.

Dans des activités de type : Lutte, Sport collectif, Sports de combats...

Jeu : Activités physiques (type ceux qu'on retrouve en animation), jeux de société, compétition d'apprentissage (apprendre le plus de poésies possibles en un temps donné par exemple).

Oui cela va de soi pour le sport

Je pense à des sports obligatoires : lutte, tir à l'arc, natation, course.

En sixième j'étais découragé du sport, il faut montrer à tous les élèves qu'ils peuvent être bons.

Pas de boxe, ce serait détruire leurs précieuses neurones.

Il faut que ce soit fait avec envie, avec amour de la pratique, pas qu'on les pousse au cul en leur disant "cours" comme c'est fait actuellement

Le 23 septembre 2022 à 19:26:41 :

Le 23 septembre 2022 à 19:21:49 :
La lecture pourra être imposée aux plus jeunes sans en donner l'air. On pourrait par exemple leur proposer plusieurs livres dont ils doivent en lire un selon leur préférence.

La lecture n'a pas besoin d'être imposée, il vaut même mieux l'éviter le plus possible ! Par contre, l'exemple que tu donne est très efficace

J'avais lu une étude sur le sujet qui enquêtait sur les habitudes et pratiques de lectures chez les lycéens, et on se rendait compte que le plus efficace pour encourager la lecture était :

1 - Donner l'exemple par un cercle qui la valorise (parents qui lisent et le valorisent, enseignants qui félicitent, amis qui lisent etc)
2 - Créer des ateliers ludiques (concours de livres à ficher etc)
3 - Maintenir l'encouragement jusqu'au lycée car c'est à ce moment que l'on cimente les habitudes de lecture.

C'est la création d'un milieu propice qui détermine le plus les individus à se créer des habitudes de lecture !

La lecture imposée doit donc être vraiment, vraiment très camouflée !

Et encore une fois, ton exemple est très efficace dans la deuxième catégorie

Oui généralement j'aimerais que rien ne soit imposé (y compris les sports) mais cela semble difficile pour les élèves de première année si on veut les prendre de milieux tout à fait divers.

Ces trois points sont très intéressants d'ailleurs. C'est sûr que l'ambiance générale de l'école sera le vecteur principal des étudiants.

Le 23 septembre 2022 à 19:27:59 :

Le 23 septembre 2022 à 19:25:00 :

Le 23 septembre 2022 à 19:21:34 :
Au fait, je reviens sur ce que je disais concernant la compétition : on peut la canaliser sous une forme positive, comme celle du sport et du jeu par exemple.

Dans des activités de type : Lutte, Sport collectif, Sports de combats...

Jeu : Activités physiques (type ceux qu'on retrouve en animation), jeux de société, compétition d'apprentissage (apprendre le plus de poésies possibles en un temps donné par exemple).

Oui cela va de soi pour le sport

Je pense à des sports obligatoires : lutte, tir à l'arc, natation, course.

En sixième j'étais découragé du sport, il faut montrer à tous les élèves qu'ils peuvent être bons.

Pas de boxe, ce serait détruire leurs précieuses neurones.

Il faut que ce soit fait avec envie, avec amour de la pratique, pas qu'on les pousse au cul en leur disant "cours" comme c'est fait actuellement

Je fus traumatisé au collège. Je me souviens de certains évènements, je réalise que mes profs de sports étaient horribles et injustes.

Le 23 septembre 2022 à 19:31:24 :

Le 23 septembre 2022 à 19:26:41 :

Le 23 septembre 2022 à 19:21:49 :
La lecture pourra être imposée aux plus jeunes sans en donner l'air. On pourrait par exemple leur proposer plusieurs livres dont ils doivent en lire un selon leur préférence.

La lecture n'a pas besoin d'être imposée, il vaut même mieux l'éviter le plus possible ! Par contre, l'exemple que tu donne est très efficace

J'avais lu une étude sur le sujet qui enquêtait sur les habitudes et pratiques de lectures chez les lycéens, et on se rendait compte que le plus efficace pour encourager la lecture était :

1 - Donner l'exemple par un cercle qui la valorise (parents qui lisent et le valorisent, enseignants qui félicitent, amis qui lisent etc)
2 - Créer des ateliers ludiques (concours de livres à ficher etc)
3 - Maintenir l'encouragement jusqu'au lycée car c'est à ce moment que l'on cimente les habitudes de lecture.

C'est la création d'un milieu propice qui détermine le plus les individus à se créer des habitudes de lecture !

La lecture imposée doit donc être vraiment, vraiment très camouflée !

Et encore une fois, ton exemple est très efficace dans la deuxième catégorie

Oui généralement j'aimerais que rien ne soit imposé (y compris les sports) mais cela semble difficile pour les élèves de première si on veut les prendre de milieux tout à fait divers.

Ces trois points sont très intéressants d'ailleurs. C'est sûr que l'ambiance générale de l'école sera le vecteur principal des étudiants.

Je crois que la ligne doit se résumer ainsi :

"Apprendre à aimer apprendre."

Alors, tout le reste peut se dérouler depuis cette idée simple, même la discipline; car c'est elle qui nous permettra d'optimiser l'apprentissage sous toutes ses formes, et ainsi épanouir encore plus celui qui étudie