Le racisme est stupide et ridicule

Le racisme, dans sa définition la plus communément utilisée, consiste à observer un comportement chez une personne et à généraliser à toute une population.

C'est complètement absurde. Ridicule même.

Il faut être un sacré crétin pour tirer des généralités à partir de quelques exemples !

D'autre part, j'ai lu un article d'un scientifique qui disait que la race est un concept pseudo scientifique.

donc c'est raciste selon toi de dire que "les français mangent du fromage" ?

Le 04 septembre 2022 à 08:28:37 :
donc c'est raciste selon toi de dire que "les français mangent du fromage" ?

Non mais c'est pas ça que je veux dire.

Tu es courageux l’auteur

La vérité éclate enfinhttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/21/1/1589758570-nagui-en-colere.png

[08:29:33] <Jacky-Jackard>

Le 04 septembre 2022 à 08:28:37 :
donc c'est raciste selon toi de dire que "les français mangent du fromage" ?

Non mais c'est pas ça que je veux dire.

Bah exprimes toi mieux alors !

https://image.noelshack.com/fichiers/2020/16/6/1587178511-ahi-desco-kekeh.png

qui t'as dit que les racistes généralisent a 100%?
évidemment que certains sortent du lot, mais quand 80% d 'une ethnie font de la merde, alors oui on peut tirer des conclusions

si t'avais un débat avec un vrai raciste l 'op, tu tiendrais pas 2 minutes

Les groupes ethniques sont-ils des « espèces » biologiques pour le cerveau humain ?
L'essentialisme dans notre cognition de certaines catégories sociales

Si les acteurs ethniques représentent les ethnies comme des groupes naturels essentialisés malgré le fait que les essences ethniques n'existent pas, il faut comprendre pourquoi. Cet article présente une hypothèse et des preuves que les humains traitent les groupes ethniques (et quelques autres catégories sociales apparentées) comme s'ils étaient des espèces parce que leurs similitudes superficielles avec les espèces en font des entrées dans le module mental des espèces vivantes qui a initialement évolué pour traiter les catégories au niveau de l'espèce. Les principales similitudes responsables sont (1) l'endogamie basée sur la catégorie et (2) l'appartenance basée sur la descendance. L'évolution a encouragé cela parce que le traitement des groupes ethniques comme des espèces au moins dans l'environnement ancestral a résolu les problèmes d'adaptation liés aux discriminations interactionnelles et à la prédiction comportementale. Les coethniques (comme les congénères) partagent de nombreuses propriétés fortement corrélées qui ne sont pas évidentes à première vue. Étant donné que l'interaction avec les membres de l'exogroupe est coûteuse en raison d'un échec de coordination dû à des normes différentes entre les groupes ethniques, le fait de considérer les groupes ethniques comme des espèces favorise de manière adaptative les discriminations interactionnelles envers l'endogroupe (y compris l'endogamie). Il favorise également les généralisations inductives, qui permettent l'acquisition de connaissances fiables pour la prédiction comportementale sans trop d'interaction coûteuse avec les membres de l'exogroupe. La littérature pertinente en sciences cognitives est passée en revue, et des expériences cognitives sur le terrain et des preuves ethnographiques de la Mongolie sont avancées pour étayer l'hypothèse.

Le racisme a une définition claire et précise qu'il est nécessaire de rappeler pour éviter les TALC : racisme =hiérarchie des races

Le 04 septembre 2022 à 08:32:10 :
Le racisme a une définition claire et précise qu'il est nécessaire de rappeler pour éviter les TALC : racisme =hiérarchie des races

laisse tomber khey les mots n'ont plus de sens la communication est impossible

Le 04 septembre 2022 à 08:32:02 :
Les groupes ethniques sont-ils des « espèces » biologiques pour le cerveau humain ?
L'essentialisme dans notre cognition de certaines catégories sociales

Si les acteurs ethniques représentent les ethnies comme des groupes naturels essentialisés malgré le fait que les essences ethniques n'existent pas, il faut comprendre pourquoi. Cet article présente une hypothèse et des preuves que les humains traitent les groupes ethniques (et quelques autres catégories sociales apparentées) comme s'ils étaient des espèces parce que leurs similitudes superficielles avec les espèces en font des entrées dans le module mental des espèces vivantes qui a initialement évolué pour traiter les catégories au niveau de l'espèce. Les principales similitudes responsables sont (1) l'endogamie basée sur la catégorie et (2) l'appartenance basée sur la descendance. L'évolution a encouragé cela parce que le traitement des groupes ethniques comme des espèces au moins dans l'environnement ancestral a résolu les problèmes d'adaptation liés aux discriminations interactionnelles et à la prédiction comportementale. Les coethniques (comme les congénères) partagent de nombreuses propriétés fortement corrélées qui ne sont pas évidentes à première vue. Étant donné que l'interaction avec les membres de l'exogroupe est coûteuse en raison d'un échec de coordination dû à des normes différentes entre les groupes ethniques, le fait de considérer les groupes ethniques comme des espèces favorise de manière adaptative les discriminations interactionnelles envers l'endogroupe (y compris l'endogamie). Il favorise également les généralisations inductives, qui permettent l'acquisition de connaissances fiables pour la prédiction comportementale sans trop d'interaction coûteuse avec les membres de l'exogroupe. La littérature pertinente en sciences cognitives est passée en revue, et des expériences cognitives sur le terrain et des preuves ethnographiques de la Mongolie sont avancées pour étayer l'hypothèse.

C'est pour ça que les maghrébins sont plus populaire que les noirs et asiatiques avec les femmes, les visages maghrébins étant semblable aux visages européens, et leurs physiques n'étant pas atypique et exotique, ils ne sont pas catégorisé comme ethnie différente par le cerveau

Le 04 septembre 2022 à 08:29:59 :

[08:29:33] <Jacky-Jackard>

Le 04 septembre 2022 à 08:28:37 :
donc c'est raciste selon toi de dire que "les français mangent du fromage" ?

Non mais c'est pas ça que je veux dire.

Bah exprimes toi mieux alors !

Dire que les français mangent du fromage n'est pas raciste dans le sens où ce n'est pas une généralité péjorative ! Mais ça reste faux car il y a aussi pas mal de français qui ne mangent pas de fromage

Le 04 septembre 2022 à 08:32:02 :
Les groupes ethniques sont-ils des « espèces » biologiques pour le cerveau humain ?
L'essentialisme dans notre cognition de certaines catégories sociales

Si les acteurs ethniques représentent les ethnies comme des groupes naturels essentialisés malgré le fait que les essences ethniques n'existent pas, il faut comprendre pourquoi. Cet article présente une hypothèse et des preuves que les humains traitent les groupes ethniques (et quelques autres catégories sociales apparentées) comme s'ils étaient des espèces parce que leurs similitudes superficielles avec les espèces en font des entrées dans le module mental des espèces vivantes qui a initialement évolué pour traiter les catégories au niveau de l'espèce. Les principales similitudes responsables sont (1) l'endogamie basée sur la catégorie et (2) l'appartenance basée sur la descendance. L'évolution a encouragé cela parce que le traitement des groupes ethniques comme des espèces au moins dans l'environnement ancestral a résolu les problèmes d'adaptation liés aux discriminations interactionnelles et à la prédiction comportementale. Les coethniques (comme les congénères) partagent de nombreuses propriétés fortement corrélées qui ne sont pas évidentes à première vue. Étant donné que l'interaction avec les membres de l'exogroupe est coûteuse en raison d'un échec de coordination dû à des normes différentes entre les groupes ethniques, le fait de considérer les groupes ethniques comme des espèces favorise de manière adaptative les discriminations interactionnelles envers l'endogroupe (y compris l'endogamie). Il favorise également les généralisations inductives, qui permettent l'acquisition de connaissances fiables pour la prédiction comportementale sans trop d'interaction coûteuse avec les membres de l'exogroupe. La littérature pertinente en sciences cognitives est passée en revue, et des expériences cognitives sur le terrain et des preuves ethnographiques de la Mongolie sont avancées pour étayer l'hypothèse.

Source.https://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494165992-tyler-3.png

Je viens de passer 15j à Madagascar.
Sans mentir ce pays te rend raciste
Rien n’est fiable. Et je parle pas des biens matériels, mais des gens. Ils t’embrouillent tout le temps tu peux jamais avoir confiance. Pas par mesquinerie, mais par incompétence de leur part

Le 04 septembre 2022 à 08:38:37 :

Le 04 septembre 2022 à 08:32:02 :
Les groupes ethniques sont-ils des « espèces » biologiques pour le cerveau humain ?
L'essentialisme dans notre cognition de certaines catégories sociales

Si les acteurs ethniques représentent les ethnies comme des groupes naturels essentialisés malgré le fait que les essences ethniques n'existent pas, il faut comprendre pourquoi. Cet article présente une hypothèse et des preuves que les humains traitent les groupes ethniques (et quelques autres catégories sociales apparentées) comme s'ils étaient des espèces parce que leurs similitudes superficielles avec les espèces en font des entrées dans le module mental des espèces vivantes qui a initialement évolué pour traiter les catégories au niveau de l'espèce. Les principales similitudes responsables sont (1) l'endogamie basée sur la catégorie et (2) l'appartenance basée sur la descendance. L'évolution a encouragé cela parce que le traitement des groupes ethniques comme des espèces au moins dans l'environnement ancestral a résolu les problèmes d'adaptation liés aux discriminations interactionnelles et à la prédiction comportementale. Les coethniques (comme les congénères) partagent de nombreuses propriétés fortement corrélées qui ne sont pas évidentes à première vue. Étant donné que l'interaction avec les membres de l'exogroupe est coûteuse en raison d'un échec de coordination dû à des normes différentes entre les groupes ethniques, le fait de considérer les groupes ethniques comme des espèces favorise de manière adaptative les discriminations interactionnelles envers l'endogroupe (y compris l'endogamie). Il favorise également les généralisations inductives, qui permettent l'acquisition de connaissances fiables pour la prédiction comportementale sans trop d'interaction coûteuse avec les membres de l'exogroupe. La littérature pertinente en sciences cognitives est passée en revue, et des expériences cognitives sur le terrain et des preuves ethnographiques de la Mongolie sont avancées pour étayer l'hypothèse.

Source.https://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494165992-tyler-3.png

https://www.journals.uchicago.edu/doi/10.1086/321802

Le 04 septembre 2022 à 08:31:06 :
qui t'as dit que les racistes généralisent a 100%?
évidemment que certains sortent du lot, mais quand 80% d 'une ethnie font de la merde, alors oui on peut tirer des conclusions

si t'avais un débat avec un vrai raciste l 'op, tu tiendrais pas 2 minutes

Aucune ethnie ne fout la merde à 80%.

Le 04 septembre 2022 à 08:36:28 :

Le 04 septembre 2022 à 08:29:59 :

[08:29:33] <Jacky-Jackard>

Le 04 septembre 2022 à 08:28:37 :
donc c'est raciste selon toi de dire que "les français mangent du fromage" ?

Non mais c'est pas ça que je veux dire.

Bah exprimes toi mieux alors !

Dire que les français mangent du fromage n'est pas raciste dans le sens où ce n'est pas une généralité péjorative ! Mais ça reste faux car il y a aussi pas mal de français qui ne mangent pas de fromage

Tous les français mangent du frommage

Le 04 septembre 2022 à 08:35:57 :

Le 04 septembre 2022 à 08:32:02 :
Les groupes ethniques sont-ils des « espèces » biologiques pour le cerveau humain ?
L'essentialisme dans notre cognition de certaines catégories sociales

Si les acteurs ethniques représentent les ethnies comme des groupes naturels essentialisés malgré le fait que les essences ethniques n'existent pas, il faut comprendre pourquoi. Cet article présente une hypothèse et des preuves que les humains traitent les groupes ethniques (et quelques autres catégories sociales apparentées) comme s'ils étaient des espèces parce que leurs similitudes superficielles avec les espèces en font des entrées dans le module mental des espèces vivantes qui a initialement évolué pour traiter les catégories au niveau de l'espèce. Les principales similitudes responsables sont (1) l'endogamie basée sur la catégorie et (2) l'appartenance basée sur la descendance. L'évolution a encouragé cela parce que le traitement des groupes ethniques comme des espèces au moins dans l'environnement ancestral a résolu les problèmes d'adaptation liés aux discriminations interactionnelles et à la prédiction comportementale. Les coethniques (comme les congénères) partagent de nombreuses propriétés fortement corrélées qui ne sont pas évidentes à première vue. Étant donné que l'interaction avec les membres de l'exogroupe est coûteuse en raison d'un échec de coordination dû à des normes différentes entre les groupes ethniques, le fait de considérer les groupes ethniques comme des espèces favorise de manière adaptative les discriminations interactionnelles envers l'endogroupe (y compris l'endogamie). Il favorise également les généralisations inductives, qui permettent l'acquisition de connaissances fiables pour la prédiction comportementale sans trop d'interaction coûteuse avec les membres de l'exogroupe. La littérature pertinente en sciences cognitives est passée en revue, et des expériences cognitives sur le terrain et des preuves ethnographiques de la Mongolie sont avancées pour étayer l'hypothèse.

C'est pour ça que les maghrébins sont plus populaire que les noirs et asiatiques avec les femmes, les visages maghrébins étant semblable aux visages européens, et leurs physiques n'étant pas atypique et exotique, ils ne sont pas catégorisé comme ethnie différente par le cerveau

le pire c'est que les maghrebois ne sont pas populaires du tout chez les femmes. tjrs zero couples avec des arbres et plein de couples mixtes avec des noix. je le constate tous les jours dans la rue