AntoineForum152
2022-09-05 00:50:28
Il faut créer une base de données qui pourrait être partagée entre les entreprises, et chaque entreprise peux inscrire des données sur la fiche de ses clients, consultables par d'autres, qui traiteraient ces informations comme bon leur semble
Tout le monde serait identifié par reconnaissance faciale, empreintes digitales, reconnaissance de l'iris ou ADN (chacun pouvait choisir ses méthodes les plus appropriées)
Exemple pour un magasin :
Chaque entrée se fait par deux portiques séparés d'un sas (il peux y avoir autant de portiques qu'il le faudra)
Ils sont équipés d'une caméra pour la reconnaissance faciale et de reconnaissance de l'iirs, ainsi, cela permet d'identifier le client parmi des milliards d'humains avec une confidence proche de 100%.
Lorsqu'une personne est identifiée à son arrivée, son visage est transmis de la base de donnée internationalisée à une "base de données temporaire" appartenant au magasin, pendant toute la durée de la session, afin de faciliter les recherches à partir du visage, notamment la latence ou le taux de précision.
Les critères d'exclusion sont vérifiés, si c'est le cas, et que la personne a malgré tout réussi à passer, il y aura deux anomalies, (1) deux personnes sont passées en même temps par le portique, (2) le visage est exclu. Le deuxième portique ne s'ouvre pas, la personne n'a pas accès au magasin, et partira d'elle-même (le cas échéant, elle pourrait être expulsée manu militari.)
Si les critères d'exclusion ne sont pas remplis, le magasin vérifie la fiche du client et décide ou non de l'afficher sur l'écran de la honte (s'il est un voleur par exemple, dans ce cas, une image ou une vidéo l'affichant en train de voler.)
Une fois rentré dans le magasin, les gens font leurs courses, scannent les produits sur leurs smartphones, payent dessus, puis prennent la direction de la sortie, où ils sont susceptibles d'être contrôlés par des vigiles, que ce soit un contrôle aléatoire ou à cause d'une anomalie repérée par les caméras (un système pas très différent de ce qu'il existe déjà aujourd'hui)
Les contrôles aléatoires sont ordonnés par un logiciel, le vigile reçoit la photo du visage et un flux en live (basé sur les caméras) de la personne qu'elle devra contrôler. Les contrôles concernent tout le monde, mais ils sont extraordinairement moins fréquents pour les personnes qui n'ont pas un historique de vols.
Lors d'un contrôle, si quelqu'un a "oublié" ou volé un article, le numéro de crédit social peux aisément être obtenu, grâce aux caméras faisant de la reconnaissance faciale, et car le vigile porte sur lui un scanner d'iris, permettant de matcher avec la base de données temporaire du magasin avec une confidence proche de 100%. Cet incident sera ensuite retranscrit sur la base de données internationalisée.
Cette personne devra payer 100€ + le prix du produit oublié ou volé (qui ne sera pas rendu.)
Si des gens ont, par exemple, des troubles graves de la mémoire, cela pourrait être inscrit sur leur fiche de crédit social, avec autorisation, dès qu'un médecin de confiance l'aura reconnu, et permettra ainsi d'être systématiquement contrôlé à la sortie sans qu'il n'y ait de préjudice en cas d'oubli de scan. Cela serait par contre différent si l'article a été volontairement caché.Selon la récurrence, la gravité des vols et/ou le comportement de la personne, et selon les critères de chaque magasin, elle pourrait se voir inscrite sur l'écran de la honte ou exclue.
Quelques pistes
Faire payer pour être retiré de l'écran de la honte
Quiconque ne payant pas une amende sera exclu
Les personnes avec un bon score social devraient payer moins cher, ainsi, les personnes qui volent payeraient pour les honnêtes gens
Le crédit social ne devrait pas fonctionner par points, qui est un fonctionnement trop arbitraire, mais il s'agirait d'une base de données regroupant des informations pertinentes sur une personne, avec par exemple des sous-catégories
Il y aura autant de possibilité d'entrées dans la base de données que nécessaire, tout en permettant un traitement automatisé
Si, par exemple, quelqu'un fait un don à une association, ou a une activité de bénévolat, cette association devrait pouvoir lui donner un jeton chiffré qu'il peux ensuite revendiquer sur sa fiche de crédit social, et des entreprises partenaires pourraient décider de lui accorder des avantages (d'autres partenariats associations - entreprises basées sur le crédit social pourraient même être possibles)