La Mort.

Elle nous entoure, omniprésente,
Omnisciente, douce mais parfois violente,
Quand Ses caressent effleurent, arrive la délivrance,

La Finalité touche tous ce qui est vivant,
Des Astres aux Humains, son répertoire est surprenant,
Et pourtant, beaucoup la voie effrayante,

Sanglante, Sanguinaire moult Hommes la déteste,
Alors que de la Vie elle nous déleste,
Et nous ramène près des Astres Céleste,

La grande Fatalité s’est personnifiée,
Dans l’Art et la Culture, sa Faux s’est éffilée,
Atropos l’Inflexible à coupée le fil tissée,

Tissus de mensonges que la Vie nous offre,
Les Autres ont peur de la Mort, moi j’aime ce qu’elle apporte,
Le repos éternel, après une Vie difficile et parfois morne,

Et après une Vie bien remplie, de hauts et de bas,
Je serais heureux de me reposer, ne le méritait-je pas ?
Je vais enfin pouvoir dormir, dans ma cage de bois,

Et des fois Elle est triste, poignets tranchés, Larmes de l’Âme sur le Fil,
Elle pleure et maudit sa sœur, la Vie, responsable de cet acte Horrible,
Qui a t’il de pire qu’un Homme, persuadé que sa Mort serait l’aboutissement de sa Vie ?

Merci mes clés.