MeYamaCocinero
2022-08-18 02:47:05
me feront bader très très sévèrement
Vous aussi vous vous dites ça ?
Quand on sera plus vieux, réentendre les thèmes de John Williams, repenser à notre enfance, au moment où tout semblait possible et en fait adultes on voit bien que tout est une boucle
Repenser aussi aux gens avec qui tu as découvert les films, etc.
Ce sont des bombes à retardement ces trucs
Azlok625
2022-08-18 02:54:15
L'intro de Harry Potter et de Star wars donne des frissons.
Malheureusement ont nentendra plus jamais Luke je suis ton père quand ont regarde star wars mais Non je suis ton père.
RedAstaire3
2022-08-18 02:58:01
La nuit est terrible parfois, la nostalgie nous envahi, ce sentiment est exacerbé par l'effet apaisant et silencieux de la pénombre, une musique un peu calme et reposante dans le casque, nous rappelle à nos bons souvenirs d'antan. Il suffit, comme dit l'auteur, de regarder un film, comme Harry Potter, ou Star Wars, qu'on l'ait vu pour la première fois à 8 ans.
Aujourd'hui à presque 29 ans, tout à changé, cette magie, cette branche qu'on ramassait pour faire des baguettes, ce balais fabriqué, cette épée de merde en plastique qui faisait les bruitages des sabres lasers, notre enfance, notre innocence, mon dieu cette mélancolie m'envahi, car je ne serais, je pense, jamais aussi heureux, mais je l'ignorais à ce moment là, qu'à cette époque.
MeYamaCocinero
2022-08-18 03:03:25
Le 18 août 2022 à 02:58:01 :
La nuit est terrible parfois, la nostalgie nous envahi, ce sentiment est exacerbé par l'effet apaisant et silencieux de la pénombre, une musique un peu calme et reposante dans le casque, nous rappelle à nos bons souvenirs d'antan. Il suffit, comme dit l'auteur, de regarder un film, comme Harry Potter, ou Star Wars, qu'on l'ait vu pour la première fois à 8 ans.
Aujourd'hui à presque 29 ans, tout à changé, cette magie, cette branche qu'on ramassait pour faire des baguettes, ce balais fabriqué, cette épée de merde en plastique qui faisait les bruitages des sabres lasers, notre enfance, notre innocence, mon dieu cette mélancolie m'envahi, car je ne serais, je pense, jamais aussi heureux, mais je l'ignorais à ce moment là, qu'à cette époque.
C'est beau mon clé