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Sur les muqueuses naissent de nombreuses histoires
Sur fond rouge pétillent les Kaléidoscopes
La pensée est un mantra
Les formes sont géométriques

Embrassons les avant qu'elles ne s'effritent
Les couleurs dansent et s'entrelacent
Rions! L'œil jaune est moqueur
Le temps des vers viendra!

Une eau poissonneuse, emplie de parfum nauséabond
Trouble
Y Nage des carpes
En surface, un canard attends le pain

L'enfant
Bâton battant
La surface qui ondule
Echos, souvenir navrant

10 juin 2022 à 00:36:32
La pensée est bornée
Félicité la voici que je l'embrasse
N'ayant conscience de mon étreinte
Dénué d'être et de raison

Il ne me reste que quelques souvenirs hasardeux
De certains jours qui s'effacent
Superficielle est l'existence
Nous sommes l'abime

Buveur
Œil jaune et teint livide
Etre pensif, songeant
le breuvage qui enivre

Vous êtes perdus
Ames itinérantes
Sans chemins, sans quête
A jamais l'abime

Le christ cosmique

Les plaisirs se simplifient
Les joies deviennent d'avantage médiocre
Les pensées mécaniques
La jouissance est facile

Puis un jour cet équilibre que l'on croyait intangible
Fond
Tout s'écroule
Pour ensuite renaitre

C'est dans ces cours instants alors que l'ame vagabonde
Entrave à cette étreinte
Ces moments ou le se sent loup, ou lézard
Puis, ce souvenir s'efface

Les plantes ne sont pas pudiques
Elles s'exhibent
Nous offres ainsi de la couleur
Et des parfums alors insoupçonnés

L'immobilisme du buveur est vain
Les rotations incessantes auront raison de lui

La haut tout est divin: le vin les jeux
l'amour des images
elles s'embrassent! Vous devriez le voir!
Mais l'éther est bleu, froid

Ecoutez, C'est de la musique qui résonne dans nos cœurs!

Une pensée, le délice de l'instant.
L'image est grande: on pourrait s'y perdre
Peut importe

La beauté de l'éther t'es plus grande,
Mais tout est si risible, il faut que tu le comprennes
C'est ainsi!

Accoudé
A la manière d'un buveur pensif, songeant à je ne sais quoi je ne sais rien
Je souffle, gonfle une bulle de savon
Voila; Eclat fugitif insensé!

There ain’t no photographs of earth somebody tell me why

C'est l'histoire d'une rencontre
Celle du malhabile qui, en secret embrasse
Des vœux murmurés à peine audible;
Il est question d'éternité

Ce baiser vous plonge en abime
Certains périssent pour ces instants de joie
Veillez à ce qu'elle ne vous laisse pas tomber
Vous voilà avertis

Rapide est la balle qui rompt le silence
Du rouge, du sang qui gicle
Un tableau
Les rotations cessent

La face troué
Assoupi, Tranquillement
Tout n'est qu'amour
Il ne vous reste à présent plus qu'a pourrir