Le 10 juin 2022 à 21:46:22 :
Tu te raccroches à une illusion.
En lisant ça, ça tu penseras :
« Qu’est-ce qu’il déblatère, ce c*nnard ? »
On va réfléchir deux petites secondes.
Si tu avais été capable de la voir pour ce qu’elle est réellement, tu n’aurais pas pu agir de la sorte. Tu aurais agis en adéquation avec ce qu’elle est réellement. En adéquation avec ses attentes, ses aspirations, ses désirs. Parce que, quand on aime quelqu’un, on aime la vérité de cette personne. Quand on aime la vérité d’une personne, on fait avec. On élude ses propres lubies égoïstes. Si tu avais été capable de voir qui elle était réellement, il y aurait eu un semblant d’harmonie entre vous ou, au moins, une stabilité.
Donc tu te raccroches à un simulacre, une image qui ne renvoie pas à elle puisqu’elle n’est elle-même pas conforme à cette image. Tu es, en quelque sorte, amoureux d’un idéal fomenté par tes caprices et tes désirs narcissiques. T’es à mi-chemin entre Narcisse et Pygmalion.
N’est-ce pas une bonne nouvelle ? Durant tout ce temps, tu te raccrochais à un mirage ! Un spectre ! Il ne s’agissait pas d’elle mais de ta propre incapacité à te défaire d’un paradis perdu, absolument imaginaire. Tu as été ton propre ennemi.
Donc, tu peux te défaire de ce mensonge que tu te racontais à toi-même. Tu peux te libérer de tout ça. Tu peux arrêter de te vautrer de ta propre merde.
Il ne s’agissait pas d’elle. Il n’était pas question d’elle. Il s’agissait encore une fois de ta propre incapacité à voir le réel.
Le 10 juin 2022 à 21:46:22 :
Tu te raccroches à une illusion.
En lisant ça, ça tu penseras :
« Qu’est-ce qu’il déblatère, ce c*nnard ? »
On va réfléchir deux petites secondes.
Si tu avais été capable de la voir pour ce qu’elle est réellement, tu n’aurais pas pu agir de la sorte. Tu aurais agis en adéquation avec ce qu’elle est réellement. En adéquation avec ses attentes, ses aspirations, ses désirs. Parce que, quand on aime quelqu’un, on aime la vérité de cette personne. Quand on aime la vérité d’une personne, on fait avec. On élude ses propres lubies égoïstes. Si tu avais été capable de voir qui elle était réellement, il y aurait eu un semblant d’harmonie entre vous ou, au moins, une stabilité.
Donc tu te raccroches à un simulacre, une image qui ne renvoie pas à elle puisqu’elle n’est elle-même pas conforme à cette image. Tu es, en quelque sorte, amoureux d’un idéal fomenté par tes caprices et tes désirs narcissiques. T’es à mi-chemin entre Narcisse et Pygmalion.
N’est-ce pas une bonne nouvelle ? Durant tout ce temps, tu te raccrochais à un mirage ! Un spectre ! Il ne s’agissait pas d’elle mais de ta propre incapacité à te défaire d’un paradis perdu, absolument imaginaire. Tu as été ton propre ennemi.
Donc, tu peux te défaire de ce mensonge que tu te racontais à toi-même. Tu peux te libérer de tout ça. Tu peux arrêter de te vautrer de ta propre merde.
Il ne s’agissait pas d’elle. Il n’était pas question d’elle. Il s’agissait encore une fois de ta propre incapacité à voir le réel.
Je ne me raccroche pas un simulacre.
Je me raccroche à ce qui est objectivement la période la plus douce et agréable de ma vie.
Je sais qu'elle est devenue un idéal abstrait pour moi. Je la perds en amnésie dans une mémoire pleine de nos souvenirs ensemble et je me rattache à un amour schizophrène.
Pas ma faute si toutes les filles sont fades en comparaison et malgré mes nombreuses tentatives de passer à autre chose, je n'ai fait face qu'à des déconvenues.
C'est hideux de vouloir la remplacer quand au fond de toi tu sais que ça ne sera que vaine tentative de la retrouver.