Jeremy, anéanti par le cauchemar interminable qui résumait son existence à partir du moment où sa mère l'avait mis au monde, allait accomplir le rituel quotidien, qui lui délivrerait un plaisir intense et gratuit, offert par sa nature même de primate, comme une compensation à la scélérate torture que lui faisait subir sans relâche cette vie qui le forçait à subsister dans sa mare boueuse. Pour expliquer les choses de manière prosaïque, il allait baisser son froc et se masturber jusqu'à s'en arracher le sexe si nécessaire. Il n'avait pas été à l'intérieur d'une femme depuis sa naissance, son job de développeur web était peu propice aux rencontres, il tapait tellement de code qu'il en rêvait la nuit, tout ses collègues lui marchait dessus, essuyait leurs pieds sur sa carcasse avilie à répéter les même tâches, les mêmes ordres lancés avec dédain, et ce, jours après jours.
- Quel enfer ! se plaignait-il en exécutant sa basse besogne. Esclave de ses pulsions animales, il lançait un regard coupable à son attribut sexuel, l'observait comme un étranger, il confrontait son âme à la matière tyrannique.
- Avec tout ces poils et mon nez épater, et maintenant ma bite en main, je ne vaux pas mieux qu'un gorille ! protestait-il en se libérant d'un pet bien gras, c'en était trop.
Il prit du recul, et après une brève crise de panique par un trop plein de lucidité, plutôt que d'aller s'écraser contre le sol après cinq étages de chute ou bien d'astiquer son manche tout seul comme un tocard, il allumait une clope sur le feu de sa cuisinière avant d'aller respirer l'air tiède d'une soirée d'été.
De jolies étudiantes se bousculaient joyeusement avec une gaieté venue de la bouteille que l'une tenait.
- Non c'est moi qui sucerait Julien ce soir ! puis elles rirent en chœur.
Ces fesses chamailleuses et seins bousculeurs, ce concert de fertilité qui jouait à l'intérieur des accoutrements de pétasses en chaleur qu'elles appelaient "avoir du style" soulevait en Jeremy l'appel à la satisfaction primaire. Chacun se doit d'assouvir ses bas instincts, tel l'a voulue cette perfide nature.
Son penis était maintenant sortis à travers sa braguette. La tiède brise du soir caressait son sexe avec volupté, aussi douce et chatouilleuse que les cheveux d'une femme, seulement il n'y en avait pas, alors il tirait encore et encore jusqu'à sentir son frein rompre, du sang et du sperme sur le trottoir en contre-bas, des cris et des jurons de sa part qui interpellaient les étudiantes. Toujours en train de scruter l'une des fesses, les plus généreuses, celles qui étaient pleines à craquer dans un mini-short qui en couvrait seulement la moitié, il fallait se finir là dessus ou mourir, coût que coût.
Des cris de répulsions fusèrent en harmonie, le sexe de Jeremy pendait à travers la balustrade, crachant ses petits jets à quelques mètres des jeunes filles. Soudain, une douleur intense se déclarait sur le gland, il avait fait tomber sa cigarette à l'intérieur de son prépuce, elle s'y était écrasée comme dans le récipient poudreux d'un cendrier. La cigarette était bloquée entre le gland et son prépuce, collée et difficile à retirer, puis elle continuait à se consumer à l'intérieur, le prépuce crachait une fumée épaisse qui avait une odeur de sperme. Victime d'une douleur atroce, au delà du supportable, Jeremy perdait tout contrôle de lui même. Après avoir tourné comme une toupie sur sa terrasse, une flaque de sperme lui fit perdre tout équilibre, et il glissa sur le rebord du balcon. Un bruit d'os broyés concluait sa chute, il s'était écrasé comme une crêpe dans ses gouttes de sperme et de sang répandus sur le trottoir. Aucun soupçon de tristesse ne naissait dans le cœur des étudiantes, quand elle partagèrent la scène sur les réseaux sociaux.
le premier Houellebecq que j'ai lu c'était Soumission, j'étais pas du tout au courant qu'il y avait ce genre de truc dedans j'étais comme ça devant les fameux passages :
Le 18 mai 2022 à 20:47:22 :
Alors c'est ça houellebecq
ouep
Le 18 mai 2022 à 20:48:37 :
le premier Houellebecq que j'ai lu c'était Soumission, j'étais pas du tout au courant qu'il y avait ce genre de truc dedans j'étais comme ça devant les fameux passages :https://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520255849-risitasse.png
il est complètement à la ramasse
Le 18 mai 2022 à 20:52:33 :
m'étonnerait qu'il y ait des fautes aussi grossières le desco
j'ai du recopier le bouquin n'est pas en pdf
Le 18 mai 2022 à 20:54:45 :
Le 18 mai 2022 à 20:52:33 :
m'étonnerait qu'il y ait des fautes aussi grossières le descoj'ai du recopier le bouquin n'est pas en pdf
jolie preuve de persévérance dans ce cas
Le 18 mai 2022 à 20:56:20 :
Le 18 mai 2022 à 20:54:45 :
Le 18 mai 2022 à 20:52:33 :
m'étonnerait qu'il y ait des fautes aussi grossières le descoj'ai du recopier le bouquin n'est pas en pdf
jolie preuve de persévérance dans ce cas
merci
La possibilité d'une île date de 2005. A la fin du texte il est question de réseaux sociaux. Ça n'existait pas à l'époque.
Ce texte n'est pas de Houellebecq
Le 18 mai 2022 à 20:43:17 :
Jeremy, anéanti par le cauchemar interminable qui résumait son existence à partir du moment où sa mère l'avait mis au monde, allait accomplir le rituel quotidien, qui lui délivrerait un plaisir intense et gratuit, offert par sa nature même de primate, comme une compensation à la scélérate torture que lui faisait subir sans relâche cette vie qui le forçait à subsister dans sa mare boueuse. Pour expliquer les choses de manière prosaïque, il allait baisser son froc et se masturber jusqu'à s'en arracher le sexe si nécessaire. Il n'avait pas été à l'intérieur d'une femme depuis sa naissance, son job de développeur web était peu propice aux rencontres, il tapait tellement de code qu'il en rêvait la nuit, tout ses collègues lui marchait dessus, essuyait leurs pieds sur sa carcasse avilie à répéter les même tâches, les mêmes ordres lancés avec dédain, et ce, jours après jours.
- Quel enfer ! se plaignait-il en exécutant sa basse besogne. Esclave de ses pulsions animales, il lançait un regard coupable à son attribut sexuel, l'observait comme un étranger, il confrontait son âme à la matière tyrannique.
- Avec tout ces poils et mon nez épater, et maintenant ma bite en main, je ne vaux pas mieux qu'un gorille ! protestait-il en se libérant d'un pet bien gras, c'en était trop.
Il prit du recul, et après une brève crise de panique par un trop plein de lucidité, plutôt que d'aller s'écraser contre le sol après cinq étages de chute ou bien d'astiquer son manche tout seul comme un tocard, il allumait une clope sur le feu de sa cuisinière avant d'aller respirer l'air tiède d'une soirée d'été.
De jolies étudiantes se bousculaient joyeusement avec une gaieté venue de la bouteille que l'une tenait.
- Non c'est moi qui sucerait Julien ce soir ! puis elles rirent en chœur.
Ces fesses chamailleuses et seins bousculeurs, ce concert de fertilité qui jouait à l'intérieur des accoutrements de pétasses en chaleur qu'elles appelaient "avoir du style" soulevait en Jeremy l'appel à la satisfaction primaire. Chacun se doit d'assouvir ses bas instincts, tel l'a voulue cette perfide nature.
Son penis était maintenant sortis à travers sa braguette. La tiède brise du soir caressait son sexe avec volupté, aussi douce et chatouilleuse que les cheveux d'une femme, seulement il n'y en avait pas, alors il tirait encore et encore jusqu'à sentir son frein rompre, du sang et du sperme sur le trottoir en contre-bas, des cris et des jurons de sa part qui interpellaient les étudiantes. Toujours en train de scruter l'une des fesses, les plus généreuses, celles qui étaient pleines à craquer dans un mini-short qui en couvrait seulement la moitié, il fallait se finir là dessus ou mourir, coût que coût.
Des cris de répulsions fusèrent en harmonie, le sexe de Jeremy pendait à travers la balustrade, crachant ses petits jets à quelques mètres des jeunes filles. Soudain, une douleur intense se déclarait sur le gland, il avait fait tomber sa cigarette à l'intérieur de son prépuce, elle s'y était écrasée comme dans le récipient poudreux d'un cendrier. La cigarette était bloquée entre le gland et son prépuce, collée et difficile à retirer, puis elle continuait à se consumer à l'intérieur, le prépuce crachait une fumée épaisse qui avait une odeur de sperme. Victime d'une douleur atroce, au delà du supportable, Jeremy perdait tout contrôle de lui même. Après avoir tourné comme une toupie sur sa terrasse, une flaque de sperme lui fit perdre tout équilibre, et il glissa sur le rebord du balcon. Un bruit d'os broyés concluait sa chute, il s'était écrasé comme une crêpe dans ses gouttes de sperme et de sang répandus sur le trottoir. Aucun soupçon de tristesse ne naissait dans le cœur des étudiantes, quand elle partagèrent la scène sur les réseaux sociaux.
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png c'est dans "la possibilité d'une île"
le combo caféine + pastilles de nicotines pour protéger les neurones de la schizophrénie, dépression, parkinson
On a un échantillon d'essai et d'erreur sur la molécule tellement imposant
des millénaires qu'on consomme de la nicotine et caféine et qu'on connait l'effet
faudrait être zinzin pour pas en profiter
aujourd'hui on pourrait en profiter sans les effets négatifs, on pourrait avoir la nicotine sans les effets de la combustion du tabac
de même pour l'alcool, seul le vin à petites doses en mangeant avec un titrage le plus bas possible est bénéfique car de petites doses de fruit fermenté est bénéfique, surtout si vous êtes un homme costaud car si vous êtes une femme petite il faut éviter l'alcool absolument où minimiser les doses (et manger un gros plat de nuggets avec pour dissiper l'alcool)
En gros fumer du tabac + les alcools sans fruits fermentés avec un titrage super fort c'est de la maxi daube
notre religion de secours tient sur ces trois propositions élémentaires :
1) croire en Dieu parce qu'elle existe
2) géodésie tactile-moteur de secours
3) négation.tenues élégantes mais sobres + négation.anti-classicisme autoritaire + négation.pyrotechnique territoriale sans couleurs qui vise des civils
osef ducon j'ai l'esprit de Léonard avec me va jouer avec ton dog russe
Le 18 mai 2022 à 20:59:09 :
La possibilité d'une île date de 2005. A la fin du texte il est question de réseaux sociaux. Ça n'existait pas à l'époque.Ce texte n'est pas de Houellebecq
Il est en avance sur son temps
Putain je me disais, ça peut pas être aussi naze Houellebecq quand même.
Le 18 mai 2022 à 20:59:54 :
Le 18 mai 2022 à 20:43:17 :
Jeremy, anéanti par le cauchemar interminable qui résumait son existence à partir du moment où sa mère l'avait mis au monde, allait accomplir le rituel quotidien, qui lui délivrerait un plaisir intense et gratuit, offert par sa nature même de primate, comme une compensation à la scélérate torture que lui faisait subir sans relâche cette vie qui le forçait à subsister dans sa mare boueuse. Pour expliquer les choses de manière prosaïque, il allait baisser son froc et se masturber jusqu'à s'en arracher le sexe si nécessaire. Il n'avait pas été à l'intérieur d'une femme depuis sa naissance, son job de développeur web était peu propice aux rencontres, il tapait tellement de code qu'il en rêvait la nuit, tout ses collègues lui marchait dessus, essuyait leurs pieds sur sa carcasse avilie à répéter les même tâches, les mêmes ordres lancés avec dédain, et ce, jours après jours.
- Quel enfer ! se plaignait-il en exécutant sa basse besogne. Esclave de ses pulsions animales, il lançait un regard coupable à son attribut sexuel, l'observait comme un étranger, il confrontait son âme à la matière tyrannique.
- Avec tout ces poils et mon nez épater, et maintenant ma bite en main, je ne vaux pas mieux qu'un gorille ! protestait-il en se libérant d'un pet bien gras, c'en était trop.
Il prit du recul, et après une brève crise de panique par un trop plein de lucidité, plutôt que d'aller s'écraser contre le sol après cinq étages de chute ou bien d'astiquer son manche tout seul comme un tocard, il allumait une clope sur le feu de sa cuisinière avant d'aller respirer l'air tiède d'une soirée d'été.
De jolies étudiantes se bousculaient joyeusement avec une gaieté venue de la bouteille que l'une tenait.
- Non c'est moi qui sucerait Julien ce soir ! puis elles rirent en chœur.
Ces fesses chamailleuses et seins bousculeurs, ce concert de fertilité qui jouait à l'intérieur des accoutrements de pétasses en chaleur qu'elles appelaient "avoir du style" soulevait en Jeremy l'appel à la satisfaction primaire. Chacun se doit d'assouvir ses bas instincts, tel l'a voulue cette perfide nature.
Son penis était maintenant sortis à travers sa braguette. La tiède brise du soir caressait son sexe avec volupté, aussi douce et chatouilleuse que les cheveux d'une femme, seulement il n'y en avait pas, alors il tirait encore et encore jusqu'à sentir son frein rompre, du sang et du sperme sur le trottoir en contre-bas, des cris et des jurons de sa part qui interpellaient les étudiantes. Toujours en train de scruter l'une des fesses, les plus généreuses, celles qui étaient pleines à craquer dans un mini-short qui en couvrait seulement la moitié, il fallait se finir là dessus ou mourir, coût que coût.
Des cris de répulsions fusèrent en harmonie, le sexe de Jeremy pendait à travers la balustrade, crachant ses petits jets à quelques mètres des jeunes filles. Soudain, une douleur intense se déclarait sur le gland, il avait fait tomber sa cigarette à l'intérieur de son prépuce, elle s'y était écrasée comme dans le récipient poudreux d'un cendrier. La cigarette était bloquée entre le gland et son prépuce, collée et difficile à retirer, puis elle continuait à se consumer à l'intérieur, le prépuce crachait une fumée épaisse qui avait une odeur de sperme. Victime d'une douleur atroce, au delà du supportable, Jeremy perdait tout contrôle de lui même. Après avoir tourné comme une toupie sur sa terrasse, une flaque de sperme lui fit perdre tout équilibre, et il glissa sur le rebord du balcon. Un bruit d'os broyés concluait sa chute, il s'était écrasé comme une crêpe dans ses gouttes de sperme et de sang répandus sur le trottoir. Aucun soupçon de tristesse ne naissait dans le cœur des étudiantes, quand elle partagèrent la scène sur les réseaux sociaux.
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png c'est dans "la possibilité d'une île"le combo caféine + pastilles de nicotines pour protéger les neurones de la schizophrénie, dépression, parkinson
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png
On a un échantillon d'essai et d'erreur sur la molécule tellement imposanthttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png
des millénaires qu'on consomme de la nicotine et caféine et qu'on connait l'effethttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png
faudrait être zinzin pour pas en profiterhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png
aujourd'hui on pourrait en profiter sans les effets négatifs, on pourrait avoir la nicotine sans les effets de la combustion du tabachttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png
de même pour l'alcool, seul le vin à petites doses en mangeant avec un titrage le plus bas possible est bénéfique car de petites doses de fruit fermenté est bénéfique, surtout si vous êtes un homme costaud car si vous êtes une femme petite il faut éviter l'alcool absolument où minimiser les doses (et manger un gros plat de nuggets avec pour dissiper l'alcool)https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png
En gros fumer du tabac + les alcools sans fruits fermentés avec un titrage super fort c'est de la maxi daubehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png notre religion de secours tient sur ces trois propositions élémentaires :
1) croire en Dieu parce qu'elle existehttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/20/3/1652895912-1.png
2) géodésie tactile-moteur de secourshttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/20/3/1652895912-1.png
3) négation.tenues élégantes mais sobres + négation.anti-classicisme autoritaire + négation.pyrotechnique territoriale sans couleurs qui vise des civilshttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/20/3/1652895912-1.png
dès la 1ère phrase je suis mitigé