Russiawins
2022-05-20 17:32:12
bordel, je vais prier pour vous les golems mais je crois que vous êtes foutus
Une étude publiée le 15 avril 2022 dans ScienceDirect m'effraie au plus au point.
Selon ces résultats à paraître dans le Journal officiel de la Société chinoise de toxicologie (FCT), une revue de toxicologie de renommée internationale, les « vaccins » à ARNm du SARS-CoV-2 provoqueraient1 :
→ La création d’un ARNm modifié aux effets complexes mais surtout imprévisibles ;
→ La fabrication soutenue de protéines Spike (j’y reviens plus loin) ;
→ Une altération de l’immunité innée ;
→ Une altération des mécanismes de réparation de l’ADN (protéine Spike neurotoxique) ;
→ Potentiellement un risque accru de maladies infectieuses et de cancer.
Autrement dit, en cherchant à altérer l’ARN messager pour en faire un vaccin contre la Covid-19, les scientifiques auraient potentiellement créé un outil déréglant le fonctionnement de nos cellules.
Car, comme ces altérations sont intégrées directement à un vaccin, censé aider le système immunitaire, celles-ci passent outre le radar de ce dernier et ne sont donc pas éliminées.
Un vrai cheval de Troie !
Je vous rappelle que les vaccins de Pfizer et Moderna consistent à forcer nos cellules à produire, à partir d’ARN messager, un morceau du virus Sars-Cov2 (la protéine Spike).
Celle-ci ne doit pas nous rendre malade ; elle est destinée à entraîner notre organisme à se défendre.
Ainsi commandées de l’intérieur, les cellules produisent massivement des protéines Spike.
Le problème c’est que cela peut perturber au passage la synthèse d’autres protéines, nécessaires à notre organisme.
En effet, les auteurs de l’étude notent un potentiel lien de causalité des vaccins ARNm avec l'apparition de nombreuses maladies.
Ils évoquent des maladies neurodégénératives, des troubles du foie, des cancers, des myocardites (je vous en ai déjà parlé), de paralysie de Bell (paralysie de la moitié du visage) ou encore de thrombocytopénie immunitaire (pas assez de plaquettes dans le sang, il ne coagule plus)2.
Pire, les auteurs concluent que « des milliards de vies sont potentiellement en danger, étant donné le grand nombre de personnes auxquelles on a injecté les vaccins à ARNm ».
Ils appellent « les institutions de santé publique à démontrer, avec des preuves, pourquoi les questions abordées dans ce document ne sont pas pertinentes pour la santé publique, ou à reconnaître qu'elles le sont et à agir en conséquence ».