Alectrona378
2022-04-12 20:22:45
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Mon téléphone était dans la poche de mon manteau donc on entend moyennement
Y a des gens qui ont râlé dans le premier métro, une femme de 45 ans a essayé de m'arracher mes feuilles et m'a accusé de faire la promotion du fascisme
Dans le second tram une grosse bouboule aux cheveux rasés a essayé de s'en prendre à moi aussi
Le discours écrit :Mesdames messieurs bonsoir,
Le dimanche 24 avril le second tour de la présidentielle opposera Emmanuel Macron à Marine Le Pen.
Avec un écart serré dans les sondages, 2 voies s’ouvrent pour notre pays : celle du mondialisme et celle du patriotisme.
Vous devez réaliser que l’abstention n’est pas un acte dissident. Le vainqueur pourrait être élu avec 80% d’abstention, ça ne lui poserait aucun problème de légitimité.
S’abstenir, c’est laisser les autres décider à votre place. Notamment les retraités, en surnombre dans notre société vieillissante, qui eux ne s’abstiennent pas.
Au 1er tour, les + de 65 ans ont voté à 41% pour Macron, leur chouchou gérontophile. Les plus jeunes eux ont voté à 55% pour Mélenchon ou pour Le Pen, avec une forte abstention.
Il ne faut pas s’étonner après de vivre en gérontocratie.
Une gérontocratie qui s’est illustré par la dictature sanitaire : confinements généralisés au lieu de confiner les plus vulnérables, pass sanitaire, masque en extérieur. Ces mesures ont eu pour conséquences d’anéantir plusieurs secteurs activités, dont l’hôtellerie, la restauration, les cafés, les salles de sports et bien d’autres. Des carrières ont été ruinées.
Notre pays s’est surendetté pendant cette crise, nous avons fait tourner la planche à billets au risque de provoquer une inflation. Nous avons sacrifié notre économie et notre avenir pour sauver 3 vieillards qui seraient morts à la prochaine canicule.
Cette gérontocratie se manifeste également par un recours à l’immigration massive pour financer les retraites.
Les acquis sociaux des jeûnes sont érodés au profit des rentiers : baisse des APL, fin de la gratuité des université, fin de la taxe foncière.
Fin de la gratuité des universités qui pourrait enfoncer le clou du cercueil de la méritocratie et de l’ascenseur social déjà bloqué en France.
Au second tour, Marine ferait 55% chez les actifs, les 25-65 ans, mais les boomers, les retraités, perfusés par la télévision, inversent la tendance en votant massivement Macron.
Je vous parle de lutte des âges mais on observe également une lutte des classes.
Marine a fait 35% chez les employés et les ouvriers alors que Macron a fait 50% chez les patrons.
Marine Le Pen n’est pas l’ennemi de la gauche. Elle défendra notre pouvoir d’achat, notamment avec une baisse des taxes sur les énergies à 5,5%, une exonération d’impôts pour les moins de 30 ans, une baisse du prix des péages autoroutiers. Les salaires seront revalorisés en proposant une exonération de la hausse des cotisations aux entreprises qui augmenteront les salaires de leurs employés.
Marine viendra au secours de l’hôpital public délaissé par Macron et ses prédécesseurs en revalorisant le salaire des soignants, en lutant contre les déserts médicaux et en créant de nouveaux lits plutôt que d’en supprimer, comme ce fut le cas pendant la crise sanitaire.
Nos acquis sociaux seront défendus, alors qu’ils sont menacés par le libéralisme de Macron qui souhaite américaniser notre société.
Marine accueillera des figures de gauche souverainiste dans son mouvement. Des gens comme Arnaud Montebourg et des chevènementistes.
Enfin, le rassemblement national n’est ni raciste ni xénophobe. Il faut en finir avec les procès d’intention. Marine Le Pen n’a tenu aucun propos raciste au cours des carrière, et le RN ne souhaite pas renvoyer les immigrés chez eux. La lutte contre l’immigration n’est pas un thème d’extrême-droite, le parti communiste de George Marchais dénonçait déjà en 1981 l’immigration massive alors que le pays comptait 6 millions de chômeurs.
L’immigration est utilisée par le patronat pour faire du dumping social, pour baisser les salaires avec une main d’œuvre corvéable à merci.
Les emplois aujourd’hui assurés par les nouveaux immigrés, pourraient être occupés par les jeunes déjà issus de l’immigration, qui subissent un chômage de masse, ainsi que par les étudiants, en situation de précarité.
En dehors de l’emploi, l’immigration pose un problème d’identité. Personne n’est opposé à la présence d’une minorité étrangère en France, mais 70% des français sont inquiets au sujet du grand remplacement. Un grand remplacement qui est loin d’être un fantasme : le dépistage de la drépanocytose à révélé qu’aujourd’hui 42% des naissances étaient africaines, un chiffre en constante augmentation. Les français ne sont pas raciste mais ils ont le droit de refuser d’être dissout dans l’Afrique.
On nous demande souvent pourquoi vouloir réduire l’immigration. Je pourrais vous rétorquer : pourquoi la maintenir ? La raison est que les pays occidentaux traversent une crise démographique, la natalité est en déficit dans tous les pays développés. Une natalité inférieure au seuil de renouvellement de 2 enfants par femmes. Cela pose un problème dans nos société vieillissante pour financer les retraites.
Les gouvernements occidentaux choisissent alors de faire recours à l’immigration pour palier à cette faible natalité. Mais l’on pourrait à la place mener une politique nataliste. Les immigrés ont une plus forte natalité car ils s’appuient sur des mœurs plus traditionnelles. C’est une fausse solution. Il faut repenser notre société pour conjuguer famille et modernité, pour que faire des enfants ne soit pas obsolète, pour que l’Europe retrouve sa vitalité.
L’immigration ne contribue pas non plus à réduire la misère dans le monde. La part des immigrés que l’on accueille, bien qu’elle semble nous submerger, est très négligeable à l’échelle de la planète. Nous aspirons la force vitale de l’Afrique, et nous soutenons des dictatures qui pillent les peuples africains et exploitent leurs ressources sans en redistribuer les bénéfices.
Marine Le Pen souhaite également dé fendre la souveraineté française, alors que les mondialistes tels que Macron et ses prédécesseurs, sacrifient notre souveraineté au profit des instances supranationales qui dictent nos lois et notre politique.
L’Europe doit rester une zone de libre-échange des peuples européens. Au lieu de cela nous nous dirigeons vers une gouvernance mondiale anti-démocratique qui pourrait dans 10 ans s’attaquer au droit de propriété et à une dictature climatique.
Face au chômage de masse, nous devons réindustrialiser notre pays en relocalisant les entreprises.
Dernier point, depuis 50 ans, la France n’a fait que se soumettre au pouvoir de la banque. De Pompidou à Macron, tous deux issus de Rothschild, la France s’est endettée massivement en empruntant aux banques centrales avec des intérêts. Chaque nouveau français qui nait sur notre sol nait avec une dette de 50 000 €. Il est vital de mettre les banques privées sous contrôle de l’état, et d’emprunter aux banques centrales sans leurs verser d’intérêts.
Mélenchon dénonce l’opulence démesurée des milliardaires, qui n’a fait que s’accroitre aux cours des dernières décennies certes, mais le capitalisme bancaire est bien plus puissant que le capitalisme industriel. Pour donner un ordre de grandeur, les bénéfices annuels d’Apple sont estimés à 50 milliards de dollars. La réserve fédérale américaine, qui est un cartel des 12 familles de banquiers les plus puissantes du monde, les Rothschild, les Rockefeller, Goldman Sachs et d’autres, enregistre 1500 milliards de bénéfice sur les seuls intérêts perçus.
Pire que la noblesse avant la révolution, les grands banquiers sont une caste parasitaire qui ne produit rien et exploite les travailleurs par l’usure.
Il n’y a qu’un seul parti auquel les banques refusent de prêter de l’argent, c’est le RN. Même Zemmour le gobelin obsédé par l’islam était financé par les Rothschild et JP Morgan. Alors le 24 avril, faites le bon choix entre la gauche du travail et la droite des valeurs incarnée par Marine Le Pen la patriote, et son opposé, droite financière et gauche des valeurs, le mondialiste et laquais de la finance internationale, Emmanuel Macron.