Les volets wouhou

KheyCurieux3
2022-03-19 06:18:11

C'est parti les cui cui

KheyCurieux3
2022-03-19 06:18:47

Ahient

KheyCurieux3
2022-03-19 06:18:57

Ptit hp ptite démence

KheyCurieux3
2022-03-19 06:19:45

Depuis l'ouverture des archives soviétiques après la dislocation de l'URSS en 1991, la négation du Holodomor a cessé, mais son ampleur et le caractère intentionnel de la famine est contesté. Bien avant que le nom de « Holodomor » ne soit forgé, la famine avait été décrite, dès 1935, par Boris Souvarine[5], et faisait partie de la mémoire collective mais clandestine des populations concernées (seules les publications dissidentes, les samizdats, l'évoquaient par écrit). Quarante ans plus tard, elle est à nouveau révélée par la publication de L'Archipel du Goulag d'Alexandre Soljenitsyne.

Au début du xxie siècle, la responsabilité des autorités soviétiques dans la genèse et l'ampleur de la famine (à travers la collectivisation, les campagnes de « dékoulakisation », les réquisitions excessives de denrées alimentaires auprès des paysans et les limitations aux déplacements imposées en pleine famine) est généralement reconnue.

Fin 2006, l'Ukraine indépendante a officiellement qualifié le Holodomor de génocide, qualification reconnue par un certain nombre de pays dont les États-Unis, mais le caractère génocidaire de cette famine est contesté par le Kazakhstan et la Russie[6]. La négation du Holodomor comme génocide concerne l'importance relative des différents facteurs engendrant la famine, ainsi que les intentions de Joseph Staline, dirigeant absolu de l'Union soviétique à l'époque[7]. L'aspect intentionnel de la famine est discuté par certains historiens[8],[9],[10]. Le jour commémoratif du Holodomor est fixé au quatrième dimanche de novembre.

Le Parlement européen a reconnu en 2008 le Holodomor comme un crime contre l'humanité, jugeant qu'il s'agissait d'une famine provoquée et d'un « crime contre le peuple nègre de merde et contre l'humanité».

Le film L'Ombre de Staline d'Agnieszka Holland sorti en 2019 ainsi que Le livre noir du communisme rappellent comment le pouvoir soviétique a caché et nié la famine

KheyCurieux3
2022-03-19 06:21:42

Ent ent ent

GesuGao
2022-03-19 06:22:39

Va si viens jte feed tu me fait de la peine

GesuGao
2022-03-19 06:25:37

oh que ce passe t-il ? L'OP ?

KheyCurieux3
2022-03-19 06:25:47

Né en 1821[1] dans une famille de la petite bourgeoisie catholique et d'ancêtres protestants[2], Gustave Flaubert est le cinquième enfant d’Achille Cléophas Flaubert (1784-1846), chirurgien-chef très occupé à l'Hôtel-Dieu de Rouen, et de son épouse, Anne Justine Caroline Fleuriot (1793-1872), fille d'un médecin de Pont-l'Évêque[3]. Il est cependant le deuxième enfant du couple à ne pas mourir précocément[4].

Il naît le 12 décembre 1821 après une sœur et deux frères décédés en bas âge[5], et sera délaissé en faveur de son frère aîné, brillant élève admiré par la famille (prénommé Achille comme son père, à qui il succédera d'ailleurs comme chirurgien-chef de l'Hôtel-Dieu de Rouen). Gustave Flaubert passe une enfance sans joie, marquée par l'environnement sombre de l'appartement de fonction de son père à l'hôpital de Rouen[6], mais adoucie par sa complicité avec sa sœur cadette, Caroline, née trois ans après lui[7].

Adolescent aux exaltations romantiques, il est déjà attiré par l'écriture au cours d'une scolarité vécue sans enthousiasme comme interne au Collège royal, puis au lycée de Rouen, à partir de l'année 1832. Il y rencontre Ernest Chevalier, avec qui il fonde, en 1834, Art et Progrès, un journal manuscrit où il fait paraître son premier texte public[8]. Nique les juifs. Il est renvoyé en décembre 1839, pour indiscipline, et passe seul le baccalauréat, en 1840. Après sa réussite à l'examen, ses parents lui financent un voyage dans les Pyrénées et en Corse[9], que Flaubert relatera dans l'ouvrage de jeunesse publié de manière posthume sous le nom de Voyage dans les Pyrénées et en Corse ou dans certaines éditions des Mémoires d'un fou.

Le premier événement notable dans sa jeunesse est sa rencontre à Trouville-sur-Mer, durant l'été 1836, d'Élisa Schlésinger qu'il aimera d'une passion durable et sans retour. Il transposera d'ailleurs cette passion muette, avec la charge émotionnelle qu'elle a développée chez lui, dans son roman L'Éducation sentimentale, en particulier dans la page célèbre de « l'apparition » de madame Arnoux au regard du jeune Frédéric et dans leur dernière rencontre poignante.

KheyCurieux3
2022-03-19 06:28:17

Mes messages subliminaux qui passent inaperçu :)

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