nicelol_sad
2022-03-18 02:43:38
Alors les kheys, c'est 100 % nofake, et je suis encore sous le choc.
Voyez-vous, je tolère mal la nourriture très épicée, et quand j'en mange, il y a presque tout le temps une diarrhée qui s'ensuit.
Les maux de ventre que j'ai sont horribles, mais putain que je me sens libéré une fois que toute la merde est sortie mon corps. J'ai l'impression d'être passé au travers d'un exorcisme.
Du coup, j'ai dévéloppé un délire un peu chelou. Le voici.
Le vendredi soir, je mange comme déjeuner 3 à 5 burritos. Puis, je sors de chez moi afin de prendre une marche. Après environ une heure, alors que je suis à 5 ou 6 km de chez moi, mon ventre s'agite : je commence à avoir envie de chier. Je fais donc demi-tour et mon défi est le suivant : je dois retourner chez moi sans me chier dessus.
Et putain les kheys, c'est pas facile ! En temps normal, je parviens à faire 90 % du trajet son trop de difficulté, c'est-à-dire tant et aussi longtemps que je contrôle bien ma respiration et que j'ignore mes maux de ventre. Mais le dernier 500 m est une torture et je dois serrer mon sphincter de toutes mes forces pour pas chier en public. Parfois, je dois même courir jusque chez moi tant la pression est insounetable. Et quand je suis enfin devant la toilette, j'ai à peine le temps de baisser mon caleçon que la merde est propulsée hors de mon anus et je salis tout.
Mais la libération que je ressens, PUTAIN ! En vrai, les kheys, je ressens une telle sensation de sérénité que rien ne parvient à l'égaler.
Or, vendredi dernier, j'ai décidé de pousser le délire plus loin et au lieu de m'arrêter après 5 ou 6 km de chez moi, j'ai marché jusqu'à être à 15 km de mon appartement. J'avais même mangé un burrito de plus. J'ai été trop ambitieux : alors qu'il me restait encore 4 km à marcher, j'ai chié partout sur moi. Les gens, bouche bées, m'ont pointé du doigt. Certains ne parvenaient pas à détourner leur regard de ma jambe, où la merde coulait à flot. J'ai eu un orgasme si puissant que je me suis écroulé au sol. Des gens avaient sorti leur portable afin de me filmer.
Après un moment, je me suis levé et je me suis traîné jusque chez moi. Tout le long du trajet, j'entendais les gens murmurer à mon sujet. « Putain, il s'est chié dessus », entendais-je régulièrement. Quand je suis arrivé chez moi, je me suis écroulé sur mon lit, sans même prendre la peine de changer mon pantalon. J'étais sous le choc. Ce n'est qu'il y a quelques heures que j'ai trouvé la force de vous partager ma mésaventure.
Que faire, les kheys ?