Mes écrits (prose et poésie)

Bonjour à vous,

Je voudrais partager avec vous mes quelques expériences dans l'écriture. Donnez moi votre avis, d'accord ?

Tes influences et auteurs préférés?https://image.noelshack.com/fichiers/2021/11/2/1615919766-image-removebg-preview.png

Ce forum te dira que c’est de la merde même quand c’est pas le cas. Trouve plutôt un forum de passionnés ou va sur le topic des auteurs en herbe.

Go

Très varié. Je lisais tout le temps quand j'étais enfant et ado. Donc je dirais pour les romans, Hugo, Chrétien de Troyes, Tolkien, Asimov, etc.

En poésie, le symbolisme et Rimbaud en particulier.

Maintenant je lis plutôt des essais.

Le 07 janvier 2022 à 20:24:55 :
Ce forum te dira que c’est de la merde même quand c’est pas le cas. Trouve plutôt un forum de passionnés ou va sur le topic des auteurs en herbe.

Oh je suis prêt à subir la critique, ça ne me dérange pas. Je suis pas un gars super intelligent non plus.

Bon je vais commencer par mon premier poème. Ça date d'une grosse quinzaine d'année.

Ode à un doux écrin

Quand j’entends ton appel, tapi dans mes broussailles
Je ne puis m’empêcher d’approcher, Ô Déesse
J’entre dans ton temple et t’implore avec tendresse
Et me redresse fièrement de ma majestueuse taille

Quand ils me voient sortir aussitôt de ton logis
Mes acolytes, curieux, m’interrogent : « D’où viens-tu ?
Que faisais-tu, cher frère, en ce lieu sombre et inconnu
Dont la chaleur et la moiteur sont loués par tant d’amis. »

Mais à peine t’ai-je quittée, déjà je suis de retour
En un éternel va-et-vient, ma tête lourde frappe le mur
De ta grotte aux parois humides, tendre alcôve obscure
Puis reviens à la lumière, fiévreux et empli d’amour

Et quand je sens le moment final arrivé
Reviens une ultime fois, les bras chargés de présents
Pose l’offrande à tes pieds au terme d'un doux moment
Et t’abandonne frémissante à l’heure où repose le guerrier.

C'est pas ce que j'ai écrit de mieux mais c'était mes débuts dans l'écriture. J'espère avoir fait mieux depuis.

Bon. Pas de réaction. Je passe au second poème. Assez dans la même veine que le premier.

L'oiseau rouge

Elle se penche et ouvre les portes, de ses mains délicates
Laissant sortir le bel étourneau aux couleurs chatoyantes
L’oiseau s’envole toujours plus haut vers sa chère amante
Doucement la belle pose ses lèvres sur le front écarlate

Le serpent rouge, vif et agile, tel une langue, remontera
Lentement le long de l’arbre de vit, guettant le moment
Où Eve viendra curieuse croquer ce fruit tentant,
Avide de sensations et pour mieux le goûter, se courbera

A l’heure où le chevalier dresse hampe sur son coursier
Tour à tour foudre, lance, de l’humanité le premier agent,
Sa dame, assise à la tribune, le regard fier et ardent,
Rêve au lac où elle aimait tant avec son amant se baigner

Tu goûteras à mon nectar sucré, douce fée Morgane
Dans ce verger où pousse le fruit dont l'on tire la plus divine
Des liqueurs. Le moment est venu, ma tendre elfe câline
De recueillir l’ambroisie du plus hardi des organes…

Bon je continuerai demain. Aujourd'hui, y a pas personne.

Le 07 janvier 2022 à 20:40:34 :
Bon je continuerai demain. Aujourd'hui, y a pas personne.

A demain, merci

Tu écris bien khey c’est fin est ça a un certain style

Le 07 janvier 2022 à 20:51:39 :
Tu écris bien khey c’est fin est ça a un certain style

Merci.

J'écris aussi des nouvelles érotico-pornographiques.

Le 07 janvier 2022 à 21:00:01 Elaha a écrit :
J'écris aussi des nouvelles érotico-pornographiques.

Post avant foule de "mp"

Le 07 janvier 2022 à 21:00:42 :

Le 07 janvier 2022 à 21:00:01 Elaha a écrit :
J'écris aussi des nouvelles érotico-pornographiques.

Post avant foule de "mp"

Je les publierai une autre fois...

Un nouveau pour ceux qui apprécient le genre. Ça s'appelle "l'ourson". On est toujours à mes débuts, pas très aboutis.

L'ourson

Assise sur son lit, la dame délaissée pleure devant son écran
Rien ne pourra la consoler de la perte de l’être tant aimé
Sauf Teddy, ourson de son enfance à présent oubliée
Qu’elle tiendra contre elle cette nuit encore, serré tendrement

La lucarne éteinte, couvrant d’un léger foulard la lampe bleue
Elle s’étend sur la douce literie, blottie dans les draps glacés
Et étreint contre elle le doudou qui jamais ne l’a quittée
D’un doigt timide, se met à explorer le plus secret des lieux

Epanouissement de l’intimité, faisant, elle se prend à rêver :
L’ours qu’elle agrippe fermement se met à grandir et grossit
La douce peluche en bel étalon se transforme en cours de nuit
Et pesant de son poids sur sa promise, commence à la caresser

Et follement éprise, sans la moindre pudeur, elle le guide
Celui qui remplace son Romeo fait preuve d’une telle adresse
Qu’oubliant tout complexe, elle parcourt les petites fesses
De l’ourson, et éclate de mille feux pour son amant avide