Revanche_Newton
2021-12-28 17:14:54
par puissance de modélisation :
sensations empiriques -> rêve (neurophysiologique), symboles -> synesthésies, perceptions infraconscientes -> mathématiques, perceptions mathématiques
Le sexe tient dans les rêves et ses symboles, les rêves tiennent dans les synesthésies et ses perceptions infraconscientes, les synesthésies tiennent dans les mathématiques et ses perceptions mathématiques (le cube de géodésiques quantiques que montrent les extraterrestres lorsqu'on fume la DMT pure)
Revanche_Newton
2021-12-28 17:42:07
Le monde moderne est constitué sur l'écrasement des rêves, des symboles, des synesthésies et des perceptions infraconscientes. Le monde moderne trace entre les sensations empiriques et les mathématiques un continuum événementiel. L'économie, les machines techniques et technologiques alimentées par le pétrole forme une temporalité galiléenne (et relativiste) close. Non seulement nous vivons par notre intelligence efficiente dans le temps thermique et dans un espace de positions multifractal mais en plus de cela notre temporalité symbolique est radiale. Nous pouvons sans cesse nous souvenir et demain encore nous pourrons nous souvenir d'hier, le temps est pour nous symboliquement non pas une boucle mais une sphère discontinue dont l'énergie ondoyante du souvenir s'étend radialement pour revenir à son origine.
Revanche_Newton
2021-12-28 17:59:57
L'orthogonalité intègre le n'importe quoi a priori et réalise ses objectifs parce que les sélections naturelles sont des constantes logiques adaptatives. L'espace-temps n'existe pas indépendamment des masses qui le compose mais les conditions initiales de tous les objets sont identiques et commutatives (de conditions initiales nécessaires s'ensuit des lois nécessaires et inversement) dans le rapport de leur accélération et de leur masse. l'espace invariant d'échelle n'existe pas indépendamment des conditions initiales et des objets qui le compose mais les conditions initiales de tous les objets (et les objets eux-mêmes) ne sont pas identiques et commutatives, en d'autres termes les objets thermodynamiques et phylogénétiques sont absolument contingents et mutuellement contingents dans leurs rapport deux à deux. Les sélections naturelles seront au mieux des constantes logiques, des invariants algébriques comme les invariants de Noether mais contrairement à la gravitation, l'algèbre et la géométrie pure impossible d'imaginer un ordre nécessaire, ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas d'ordre et encore moins pas d'ordre mathématique car heureusement que les mathématiques appliquées existent depuis longtemps, c'est une ramification négative oubliée de l'histoire des sciences comme l'est la géométrie procédurale (Kepler, Mandelbrot). La contingence absolue décrit l'ordre spontané et la contingence mutuelle, deux à deux (au moins) décrit l'ordre log-périodique. Grossièrement ordre spontané et ordre log-périodique décrivent la même chose : la contingence thermodynamique et phylogénétique d'une majorité des conditions initiales et des objets de l'univers.
AideOsamu
2021-12-28 19:12:38
Ou alors le sens temporel de la séquence d'aperception de l'énergie est inversement proportionnelle au rapport poids/puissance et cela est caractérisé par des régularités progressives (mais pas forcément graduelles) liés à différentes boucles de rétroactions.
Le sens logique est :
sensations empiriques -> rêve (neurophysiologique), symboles -> synesthésies, perceptions infraconscientes -> mathématiques, perceptions mathématiques
Le sexe tient dans les rêves et ses symboles, les rêves tiennent dans les synesthésies et ses perceptions infraconscientes, les synesthésies tiennent dans les mathématiques et ses perceptions mathématiques (le cube de géodésiques quantiques que montrent les extraterrestres lorsqu'on fume la DMT pure)
Le sens chronologique est :
non-commutativité des formes-énergies <- sérendipité <- topologie fractale <- complexergie quantique
Le sens logique des non-commutativité est :
non-commutativité des gestes -> non-commutativité des emplois des mots -> non-commutativité du rapport au monde égocentrique et d'animisme des conditions initiales -> non-commutativité de Heisenberg entre vitesse, temps, accélération et position, énergie, morphogénèse.
Les sélections naturelles sont des invariants logiques, algébriques tels les gonds d'une porte qu'on ouvre puis traverse mais par rapport à quelle porte exactement et précisément ? Par rapport au déroulement de la séquence complète de non-commutativité composée de différentes boucles de rétroactions. Cette séquence est toujours imprévisible et contingente (repose sur la nature mathématique même de la non-commutativité et de l'existence en acte de cette non-commutativité et contingence énergétique par de l'énergie de qualité hors-équilibre vis-à-vis de systèmes complexes ouverts et non isolés) mais la prédictibilité de cette séquence repose sur l'élimination des séquences de non-sens, des séquences ambiguës où il y a beaucoup de transfini, d'entropie, de hasard lent et de désordre.
Pour résumer : toute condition initiale/objet thermodynamique et phylogénétique est imprévisible mais elle/il est imprédictible dans la mesure où du hasard lent et de l'entropie se trouvent en proportion importante dans sa séquence complète de non-commutativité par rapport aux invariants algébriques et logiques des sélections naturelles.
invariants algébriques-logiques des sélections naturelles :
1. itération de sélection naturelle + variants = sélection d'Adn
2. itération de sélection naturelle + cellules, organes = sélection d'osmose
3. itération de sélection naturelle + perception infraconsciente = sélection de percepts --> empathie, peur ; résolution d'échelle consciente
4. itération de sélection naturelle + gamètes = sélection sexuelle
5. itération de sélection naturelle + volonté tactile-moteur = sélection de kinesthése
6. itération de sélection naturelle + neurones = sélection d'analogon --> joie, haine ; espoir, désespoir ; résolution d'échelle infraconsciente
7. itération de sélection naturelle + thermodynamique à l'équilibre (équation de Boltzmann) = flèche du temps des systèmes isolés
8. itération de sélection naturelle + thermodynamique hors-équilibre (équation de Vlasov-Landau) = flèche du temps des systèmes complexes --> conatus, néant ; plaisir, douleur ; sérénité, angoisse ; résolution d'échelle physique