Le 23 décembre 2021 à 01:12:16 :
Sur quel sujet ?
el famoso vaccin qui tue
Bill gâtes est tellement puissant qu’il pourrait t’obliger à lui faire un footjob même si t’as pas de pieds
Quand votre identité est définie par la société, vous ne pouvez pas y résister. Vous n'avez pas les ressources, vous n'avez pas la connaissance pour comprendre quand quelque chose vous est imposé. Vous ne pouvez rien faire d'autre que croire que vous êtes libres. Mais vous pensez être libre à cause du fait de ne pas l'être.
Il y a une raison pour laquelle l'éducation est mauvaise, c'est la même raison pour laquelle elle ne sera jamais changée, jamais réparée. Ca ne changera jamais, n'y pensez pas une seconde, soyez contents de ce que vous avez. Parce que les dirigeants de ce pays ne veulent pas la changer. Je parle des vrais dirigeants, des gros businessmans très riches.
Réfléchissez aux politiciens sont là pour vous faire croire que vous avez la possibilité de choisir. Vous ne l'avez pas. Vous n'avez pas de choix. Vous avez des dirigeants, ces dirigeants vous possèdent. Ils possèdent tous, les terres les plus importantes, ils sont
aux commandes d'énormes corporations, ça fait longtemps qu'ils ont acheté le sénat le congrès, ils ont les juges dans leurs poches arrières, et ils possèdent tous les gros médias pour qu'ils contrôlent toutes les nouvelles et informations que vous pouvez entendre.
Ils vous ont par les bourses. Ils dépensent des milliards chaque année, lobbying pour avoir ce qu'ils veulent. Ce qu'ils veulent c'est plus pour eux moins pour tout le reste. Mais je vais vous dire ce qu'ils ne veulent pas. Ils ne veulent pas d'une population capable d'esprit critique. Ils ne sont pas intéressés par ça, c'est contre leurs intérêts. Ils ne veulent pas de gens assez intelligents capable de s'asseoir autour d'une table et comprendre l'état aussi critique du système qui les a lancé par dessus bord il y a trente ans. Ils ne veulent pas de ça.
Vous savez ce qu'ils veulent ? Ils veulent des travailleurs obéissants. Des gens juste assez intelligents pour s'occuper des machines et remplir leurs papiers de taxe et des gens assez stupides pour accepter passivement tous ces travails de plus en plus merdiques avec la moins bonne paie, plus d'heures de travails, les bénéfices plus réduits, la disparition de la pension dès que tu vas pour la collecter et maintenant ils viennent pour l'argent de votre sécurité sociale, ils viennent pour votre retraite, ils veulent la récupérer pour leurs amis criminels à Wall Street. Et vous savez quoi ? Ils l'auront, ils prendront tous de vous tôt ou tard parce qu'ils POSSEDENT tout.
C'est un gros club, et vous n'êtes pas dedans. Ni vous ni moi ne sommes dans le gros club. C'est le même gros club qui vous assomme pendant qu'ils vous disent qui croire, quoi croire, quoi acheter. Le jeu est truqué les gars. Et personne n'a l'air de s'en apercevoir, personne n'a l'air d'en avoir quelque chose à foutre.
De bonnes personnes, honnêtes, travailleurs, des gens aux revenus modestes, continuent d'élire ces riches qui n'en ont rien à faire de vous. Ils n'en n'ont absolument rien à faire, ils ne se préoccupent pas de vous. Et personne ne s'en rend compte, c'est exactement ce qu'ils veulent. C'est pourquoi les américains resteront volontairement ignorants du gros rouge blanc et bleu qui fait des allez-retours dans le c*l.
Parce que les dirigeants connaissent la vérité, ça s'appelle l'american dream, car vous devez être endormis pour y croire.
Salut, et bien non toujours pas
Selon le site officiel du gouvernement 9 fois plus de décès chez les novax que les vax https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/communique-de-presse/neuf-fois-plus-dentrees-en-soins-critiques-parmi-les-personnes-non-vaccinees
"52 décès pour 1 million de vax" et "6 décès pour 1 million de vax"
Effectivement ça fait 9 fois plus
CEPENDANT
Deux choses, la première :
- C'est la lecture des chiffres, car oui on peut avoir la lecture qu'on souhaite des données en fonction de ce que l'on veut faire croire
Je pourrai très bien lire les chiffres de cette manière également :
52 de 1 million = 0.052%
6 de 1 million = 0.006%
Je peux donc selon ces chiffres également conclure qu'entre les vax et les novax il n'y a qu'un écart de 0.0044% en terme de mortalité
Tout de suite c'est pas le même effet que "9 fois plus de novax sont morts que les vax" n'est ce pas ?
Ça c'est le premier élement, et le deuxième :
- Comme indiqué sur le lien "on comptabilise 52 décès pour 1 million de personnes non vaccinées de 20 ans ou plus contre 6 pour les personnes complètement vaccinées"
Complètement vaccinés = 3 doses, ce qui veut donc dire que parmi les 52 décès de "novax" il y a en réalité aussi les primo et double dosed, mais ça ils oublient de le préciser
Une réaction à chaud ?
Si tu es vax sache que ton corps argileux grouillent d'hydre
Inutile de savoir pour toi, tu n'es pas prêt
Si tu crois à la dichotomie vax/antivax je t'invite à lire ce pavé.
Pour couper court aux fausses divisions vax/ antivax, complotix et golem, qui de la poule ou l’oeuf, je te livre ici une synthèse des origines et enjeux futurs de la crise présente. A partager, augmenter, affiner, contredire comme chacun le souhaite.
Il s’agit d’un état des lieux et d’une mise en perspective se basant sur la situation géopolitique, économique et sociologique. Le pavé en dissuadera qquns, mais il ne peut en être autrement si l’on veut prendre un peu de hauteur. C'est dit!
Nous commençons à avoir assez de recul pour mettre en perspective et mieux comprendre la crise présente du covid.
Il faut d’abord brosser l’arrière plan géopolitique de ces dernières années : Echecs successifs de l’Occident au Moyen-Orient et à la périphérie eurasiatique avec un retour inattendu de la Russie (en Syrie notamment), création de nouvelles routes de la soie, dédollarisation progressive du monde (Pétroyuan) visant notamment à se débarrasser de la fatigante extra-territorialité du droit US, et des conséquences des sanctions sur les pays non-alignés…
L’endiguement de la Russie a produit un volte-face de celle-ci vers la Chine. Russie qui n’espère plus rien des européens et dont le discours officiel se positionne aujourd’hui clairement dans une rupture civilisationnelle avec un Occident qu’elle juge fou.
De plus, la stratégie US des « regime change » menée dans la 1ère décennie des années 2000 semble au point mort. Avec le développement de nouvelles armes stratégiques très performantes dévoilées par les armées Russes et Iraniennes ( S-400 Russe ou Khordad-3) face à un bouclier antimissile patriot qui s’est révélé inefficace, depuis 2015 (notamment lors de l’intervenions Russe en Syrie) l’hégémonie occidentale à opéré un repli stratégique, la guerre avec l’Orient devenue impossible. Ceci a résulté d’abord par des abus spéculatifs via la titrisation à outrance des produits financiers. Abus favorisés dès les années 90 avec la politique de libéralisation des capitaux et des taux de change. Ce phénomène a eu pour résultat en 2008 la crise des surprimes et la destruction de la confiance entre les banques. Celles-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et négatifs, afin de lutter contre la déflation causée par la décroissance démographique des boomers.
Dans ce contexte, l’espace euro-atlantiste s’est replié sur son propre marché intérieur. Ici 3 secteurs clé :
industrie du numérique, énergies renouvelables, et l’énorme marché du soin qui émerge de ses populations vieillissantes.
Le programme de « Great reset » annoncé à Davos ne se cache pas d’instrumentaliser la crise sanitaire pour forcer le passage au tout numérique, au télétravail, à la télésanté, au développement de l’IA dans une logique de contrôle, et le tout, perçu à l’horizon d’une crise écologique.
La médiation est importante ici pour comprendre la relation entre base matérielle et son chapeautage idéologique nécessaire : celui d’un humain à l’activité destructrice de la nature, devenu espèce nuisible dans cette nature, et potentiellement surnuméraire. La virtualisation quasi intégrale de l’activité économique du secteur tertiaire est donc ainsi "justifiée écologiquement". Il s’agit de faire accepter 1/ la baisse générale du niveau de vie 2/ la disparition d’une large partie des couches moyennes 3/ contenir et gérer ces inactifs futurs via un revenu universel et créer la possibilité de gestion de leur santé comme ressource à profit.
Un mixte idéologique entre positivisme radical des plus riches (religion « transhumaniste » et son délire d’immortalité), écologisme et techno-scientisme (IA, contrôle) donne le fond dans lequel s’opèrent dorénavant des réformes systémiques puissantes.
Ici, le terreau propice était celui d’une génération vieillissante, les boomers, qui ont jouit des 30 glorieuses, de l’idéologie du désir et de la consommation. Génération qui aura le mieux profité du système, avec de bonnes retraites, et à présent proche de la mort, sans réel rapport philosophique ou spirituel à celle-ci (contrairement à leur parents qui avaient connu la guerre). Cette typologie psychologique produit une génération qui a peur de mourir.
Elle fut donc le levier idéal pour le « choc pandémique » qui permettrait le coup de pouce nécessaire à un dépassement du capitalisme dans sa crise présente et fatale (crise des débouchés, baisse tendancielle du taux de profit). Dans un système en développement maximal et sans antagonisme, surgit la crise inhérente à ses contradictions internes. Pour surmonter cette crise, il lui reste à investir le dernier secteur non encore vampirisé par le marché : celui des corps. Essor des biotechnologies et gestion d’un cheptel qu’il est nécessaire de conformer préalablement à ce futur marché : en le constituant juridiquement comme potentiel malade (rôle du pass sanitaire, identité numérique). C’est donc ici l’occasion d’une gigantesque réforme de privatisation à venir de la Santé, où santé et maladie deviendront les contours d’une nouvelle identité. Cycle maladie-rémission, abondance-austérité, saisonnalité basée sur une naturalisation achevée du capital et des échanges, marchandisation totale du vivant et sa péremption à terme en tant qu’objet comme un autre.
Ici enfin il faut se demander, au-delà des débats sapés sur les thérapies précoces, l’innocuité ou le danger des vaccins ... à quoi peut bien servir une campagne de vaccination massive si 99,9% des gens atteints du covid guérissent spontanément ? Il s’agit donc bien d’un coup de pouce, d’une stratégie du choc pour créer les conditions réelles du nouveau marché bio-sanitaire. Que le système ait profité d’une pandémie, qu’il l’ai amplifié ou même produite sciemment est secondaire, et nous perd en conjectures vaines.
La première séquence de cette crise début 2020 a révélé ici l’état de délabrement avancé de l’hôpital public, sous les coups de boutoirs des réformes libérales. C’est uniquement cette situation qui explique les confinements successifs, et non la gravité intrinsèque du covid. Le système produit les causes du problème qu’il veut ensuite résorber, en logique de vase clos. De la même façon, la privatisation de la santé et des corps sera sa réponse au terrain de délabrement qu’il a lui-même produit. C’est ce qu’il faut entendre par le nouveau sésame du champ social, «l’inclusif », autre nom de l’hétéronomie des sujets, dans une logique totalisante qui va par crans d’inclusion successives, et qui ne peut dépasser ses crises que par des crises plus grandes. Discours d’inclusion des corps qui va paradoxalement croissant avec l’exclusion en acte et l’atomisation des individus.
Il faut comprendre que la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la crise économique systémique, au bord de l’explosion depuis 2008. Les quantitative easing et la politique des taux d’intérêt négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Mais cela ne pouvait plus durer. De même ce que nous vivons actuellement est la mise en place de cet après-explosion, afin de permettre aux oligarchies de garder la mainmise sur les banques centrales et les politiques de contrôle monétaire.
Perspectives...
Les mouvement sociaux récents ont révélé une nouveauté, imprévue et très difficilement récupérable par les discours dominants de clivage et division : les enjeux ressentis (privatisation de la vie, liberté, atteinte aux enfants) sont tels que nous avons vu ces derniers jours des profils de tout horizon défiler côte à côte : de la gauche à la droite, libéraux, croyants, modérés, libertaires, anars, gilets jaunes, apolitiques, personnel soignant et mères de famille .... Cela nous dit la hauteur de ce qui se joue maintenant, ressenti profondément, comme une problématique eschatologique.
On ne voit en l’état que 3 issues, sachant que tout est absolument imprévisible.
1/ La 1ère et la plus souhaitable serait un soulèvement massif conduisant à une révolution : si cela se produisait en France, le phénomène s’étendrait très sûrement à d’autres pays européens (Italie d’abord, Allemagne ensuite...). Pour cela, un jalon n’est pas encore franchi, qui est l’acceptation de perdre beaucoup, y compris au risque de sa vie (cette attitude est possible si prise de conscience que le processus en cours nous fera, effectivement et plus sûrement, TOUT perdre). Il lui faut aussi une avant-garde organisée et prête à prendre le pouvoir.
2/ La seconde est la réussite (doucement, par recul concessions et avancées successives des gouvernements) de ce nouvel ordre bio-capitaliste. C’est la fin de l’Homme tel qu’on l’a connu jusqu’à présent. Elle est possible par le maintien d’une division interne des populations, par effet mimétique (vax vs antivax, délation, intériorisation pour une partie de la population du narratif sanitaire...) Mais cette séquence historique continue à faire coexister des blocs inégaux au niveau mondial, et concernerait en premier chef les pays occidentaux. On y retrouvera des antagonismes externes (Occident vs Eurasie) avec une poussée du réel géopolitique qui se maintiendrait comme lors de la guerre froide, mais non nécessaire à la tenue d’un corps social biopolitique occidental. Pour cela la triple crise (écologique, terroriste et sanitaire) peut être réemployée et modulée à loisir. Ici il faut bien comprendre que la gestion numérique du corps social qui est nécessaire à cette gouvernance, est fragile : trop sensible aux catastrophes ou variations naturelles, et très vulnérable en cas de conflit militaire. Sans liens électroniques pour faire les transactions numériques, alors les simples échanges de base afférents à la survie des individus et de la société sont détruits. Ce pourquoi cette perspective n’est pas durable. Pour accomplir cette post-humanité rénovée, il faudrait un monde unis (au moins sur les principes essentiels) sans antagonisme.
3/ La guerre conventionnelle de l’occident contre l’Eurasie (Chine et/ ou Russie), qui effacerait instantanément la séquence sanitaire et biopolitique en cours. Elle est toujours un horizon possible.