[FAITS DIVERS] Un couple bute son enfant malgré 5 AVERTISSEMENTS

La famille qui a tenté de sauver Star Hobson a été qualifiée d'"homophobes racistes". Les services sociaux ont ignoré les blessures de la petite fille CINQ FOIS après que la belle-mère, une lesbienne gitane, ait convaincu les ouvriers que les arrière-grands-parents qui avaient donné l'alerte n'étaient que des fauteurs de troubles. Les services sociaux ont été appelés au moins cinq fois à cause des agissements du couple tueur.

Mais ils ont cru les mensonges de Frankie Smith, 20 ans, et Savannah Brockhill, 28 ans. Smith - la mère de Star - et Brockhill ont présidé au règne de la cruauté envers la fillette.
Ils ont trompé les travailleurs sociaux en leur faisant croire que ses blessures étaient dues à des accidents maladroits. Lors d'une visite, Star était si étourdie qu'elle s'est cognée contre un canapé, sous les yeux de l'assistante sociale. Mark Douglas, chef des services de l'enfance du conseil municipal de Bradford, a démissionné. Un examen des pratiques locales de sauvegarde de l'enfance sera publié au cours de la nouvelle année.

https://www.dailymail.co.uk/news/article-10307849/Social-workers-investigating-couple-beat-Star-Hobson-death-missed-five-chances-save-her.html

Au total, deux amis et trois parents - dont le père de Star - les ont dénoncés aux services sociaux, mais ils ont été autorisés à la garder.

L'arrière-grand-père de Star, David Fawcett, 61 ans, a déclaré : "L'absence de réponse des services sociaux était incroyable, ils n'ont rien fait et nous avons été considérés comme des fauteurs de troubles qui ont porté plainte parce que nous n'aimions pas les gitans ou les relations homosexuelles.

Quelle insulte d'entendre que notre plainte avait été qualifiée de malveillante alors que c'était le contraire.

Ils ont bien visité l'appartement, mais Savannah Brockhill a pris le relais et nous a traités de "cinglés" et de fauteurs de troubles qui détestaient les gitans et les lesbiennes - et ils ont tout gobé.

Alors que Brockhill est aujourd'hui condamnée pour l'avoir assassinée et Smith pour avoir permis sa mort, de sérieuses questions se posent aux autorités.

Il y a deux mois, Mark Douglas, le directeur des services de l'enfance du conseil municipal, a démissionné.

L'Ofsted a qualifié le service d'"inadéquat" en 2018 et a averti que "certains enfants couraient un risque sérieux de préjudice". En juin de cette année, le service a reçu une " instruction d'amélioration " en raison de la " lenteur des changements ".

J'ai rien compris

Les services sociaux sont intervenus pour la première fois dans le traitement de Star le 23 janvier 2020, après un signalement de Holly Jones, amie de Smith et parfois baby-sitter.

Elle a signalé des problèmes potentiels de violence domestique et le fait que Star était de plus en plus souvent confiée à ses soins.

Trois jours plus tard, la police s'est rendue sur place, mais aucune inquiétude n'a été soulevée. Les services sociaux ont essayé de rendre visite à Mme Smith le 28 janvier, mais elle n'était pas chez elle.

Ils ont parlé à sa famille, qui n'a soulevé aucun problème. Le dossier a donc été clos le 27 février.

Le 5 mai, les services sociaux ont été contactés par l'arrière-grand-mère de Star, Anita Smith, qui s'inquiétait de la façon dont le bébé était traité.

Ils se sont rendus sur place, mais le bébé et sa mère ne présentaient aucune contusion.

Les services sociaux ont parlé à Frankie Smith et à Brockhill et cette dernière leur a donné l'autorisation de procéder à des vérifications policières sur elle.

Après avoir fait cette demande, Mme Smith a déclaré qu'elle avait été traitée de "cinglée" et de "monstre", et que M. Fawcett et elle avaient désormais un accès limité à Star, qu'ils n'ont vue que quelques fois avant sa mort en septembre.

Son partenaire David Fawcett a déclaré que l'enfant semblait "déprimé" après son retour chez sa mère.

Il a déclaré qu'elle avait rapidement développé des ecchymoses sur le visage et le corps, et qu'elle semblait avoir "perdu l'étincelle qu'elle avait" lorsqu'elle était chez eux. Il a déclaré à la Cour : "Je n'avais jamais vu un bébé aussi déprimé de ma vie".

M. Fawcett a déclaré qu'il avait confronté Brockhill au sujet des bleus de Star et qu'on lui avait répondu que "tous les enfants ont des bleus".

Lorsqu'il a demandé comment elle n'en avait pas eu alors qu'elle vivait avec lui, il a dit qu'elle avait raccroché le téléphone et qu'il avait posté sur Facebook des photos comparatives de Star avec et sans bleus. Frankie Smith l'a alors bloqué après les avoir vues.

Jordan Hobson, le père de Star, a adressé Smith et Brockhill aux services sociaux le 21 juin après avoir vu les photos que le couple avait partagées du visage meurtri de sa fille.

La police s'est à nouveau rendue à leur domicile et a vu les marques sur la tête du bébé.

Smith leur a dit que Star s'était cogné la tête sur la poignée d'une table basse.

Un examen médical a révélé deux ecchymoses sur sa joue et quatre sur l'arrière de sa jambe.

On a cru à l'explication de Smith et de Brockhill selon laquelle elles provenaient du fait qu'elle jouait avec un chiot.

Les services sociaux ont de nouveau été contactés le 23 juin par Rachel Whiteley, une amie proche de la mère de Smith, Yvonne Spendley.

Elle était préoccupée par la façon dont Smith avait traité Star lors d'un barbecue, la prenant brutalement dans ses bras.

Mme Whiteley a déclaré à l'époque : "J'ai pensé que c'était dégoûtant de lui donner à manger au barbecue et de la façon dont elle la traitait".

Les services sociaux ont classé le dossier en juillet, sans que l'on sache exactement ce qui a été fait.

Le 2 septembre, Frank Smith - l'arrière-grand-père paternel de Star - a alerté les services sociaux en leur montrant une vidéo de Star avec des bleus sur le visage.

Lorsqu'ils lui ont rendu visite, il a été dit que sa mère était en Écosse.

Le lendemain, ils y sont retournés à l'improviste et l'ont trouvée à la maison avec Brockhill.

Ils ont remarqué que Star était si instable sur ses pieds qu'elle s'était cognée contre un canapé pendant leur visite.

Elle avait également des bleus sur la joue et le tibia droit, mais Brockhill leur a dit qu'elle était tombée dans les escaliers.

Le meurtrier a raconté plus tard à la police ce que l'assistante sociale avait dit, ajoutant : Les services sociaux sont venus voir Star, elle a examiné son corps, sa chambre, elle a discuté avec nous de Star, elle a dit que le rapport était malveillant.

Le 15 septembre, les services sociaux ont classé le dossier, concluant en effet que le signalement était "malveillant".

Une semaine plus tard, Star est assassinée et retrouvée avec des fractures au tibia, aux côtes et au crâne.

Elle avait également subi des lacérations d'une veine transportant du sang entre sa jambe et ses organes, qui s'est écoulée dans sa cavité abdominale.

Le procureur Alistair MacDonald QC a déclaré que les blessures avaient été causées par un ou plusieurs coups graves et violents, "sous la forme de coups de poing, de coups de pied ou de coups de pied à l'abdomen".

Smith et Brockhill ont attendu 15 minutes après l'incident au cours duquel Star a été blessé avant d'appeler le 999.

Pendant ce temps, ils ont fait des recherches en ligne sur "Comment sortir un bébé du choc".

Le jury a pu voir des séquences vidéo de Star se faisant crier dessus à son domicile, ce qui, selon M. MacDonald, montre "qu'il y avait également un degré de cruauté et de préjudice psychologique" infligé à la jeune fille.

Dans l'une des séquences, on voit une Star bouleversée être brutalement manipulée par Frankie Smith et une tentative soutenue de la faire se tenir dans un coin.

M. MacDonald a déclaré : "Il est inconcevable qu'un soignant ait attendu 15 minutes pour appeler à l'aide un professionnel alors que son enfant de 16 mois présentait les symptômes d'une catastrophe médicale.

N'importe quel soignant innocent aurait pris le téléphone en quelques secondes, pas en 15 minutes".

Il a déclaré qu'il y avait également eu deux fractures à la jambe droite de Star "causées par une torsion violente" qui s'étaient refracturées en guérissant.

Il a également décrit une fracture à l'arrière du crâne et des contusions sur Star, "dont la plupart sont considérées comme n'étant pas d'origine accidentelle".

Le procureur a déclaré : "Il est également vrai que les services sociaux, qui étaient au courant du cas de Star, ont été tenus à l'écart de Star, tout comme une grande partie de sa famille dans la dernière période de sa vie".

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