cigarette2545
2021-12-14 18:58:10
Franchement c'est chaud mais je préfère en parler sur ce forum pour me soulager la conscience. En fait hier j'étais au marché d'Aubusson et, pris d'appétit, j'ai décidé d'aller au stand de churros acheter de quoi satisfaire ma satiété. Néanmoins, pendant que la 6/10 au stand préparait les churros, je me suis mis à me perdre dans des pensées oniriques, à penser à des scènes tirées de films érotiques, dont une impliquait la femme qui insérait innocemment des churros dans ma barquette. Elle m'a demandé « ça ira comme quantité de sucre où je vous en mets un peu plus ? ». Et moi le problème c'est que j'étais dans mes réminiscences érotiques, et, pour une raison que j'ignorerai à tout jamais, j'ai machinalement répondu : « c’est pour me les mettre dans le trou de balle ». Je crois que s'il y a bien une image qui restera gravée dans la roche à tout jamais, c'est celle de cette vendeuse qui m'a préparé mes churros, après avoir entendu ça, le visage semi-déformé par un sourire ô combien gêné, les churros dans une main
J'ai bien entendu réagit comme un alpha en saisissant dans quelle tourbe sociale je venais de m’empêtrer et ai déguerpi comme un sale lâche. J'ai couru une distance incroyable, à tel point que lorsque je décidai de reprendre mon souffle, j'étais bien loin du centre de la ville, sous un arrêt de bus désert, si ce n'était un type bizarre qui s'est approché de moi lorsque je me suis assis pour reprendre mon souffle. Mais alors que je tournai ma tête vers cet homme, je pouvais sentir que quelque chose clochait avec lui, de type maghrébin, il était torse-nu, portait un short aux couleurs psychédéliques et des tongs au motif du drapeau brésilien. Il avait un sac en carton avec lui, qu'il collait contre lui. Il m'a dit : « Hey euh... je viens d'aller à la boulangerie acheter des baguettes, tu veux voir ? ». Avant même que je ne comprenne, il a ouvert le sac et ce fut l'horreur : il avait percé un trou dans le sac pour insérer son pénis, je fus glacé d'effroi et pris mes jambes à mon cou. Le truc c'est que si je n’avais pas « merdé » devant la serveuse de churros, je n’aurais pas vécu cet enfer méphistophélique