Au commissariat de Saint-Quentin dans l’Aisne, Clément a été tabassé. L’un des policiers lui a même volontairement cassé le bras. Bilan : 60 jours d’ITT. Il a porté plainte mais subit depuis un véritable harcèlement policier.
« Je pensais que j’allais mourir ce jour-là. » La voix tremblante et les larmes aux yeux, Clément revient sur le calvaire vécu au sein du commissariat de Saint-Quentin (02) dans l’Aisne. Après un différend avec deux hommes le 13 avril 2019, ce trentenaire s’est fait interpeller et a subi selon lui de nombreux coups ainsi que des insultes par des policiers locaux. Au commissariat, alors qu’il est menotté dans le dos et plaqué au sol par deux policiers, un des agents lui aurait lancé : « Regarde comment on casse un bras », avant de le lui remonter volontairement jusqu’à ce que l’humérus droit craque.
Opéré dans la foulée, Clément se fait greffer une plaque de fer avec 35 agrafes, est immobilisé pendant plus d’un mois et reçoit 60 jours d’ITT. Mais son calvaire ne s’arrête pas là. Depuis deux ans, il se fait, dit-il, harceler par les policiers de Saint-Quentin, à coup de plaintes pour outrage, d’interpellations et de nouveaux coups. « C’est une petite ville. Maintenant, je suis connu comme le loup blanc. Je ne pensais jamais que j’allais vivre ça. Quand vous entrez dans un problème comme ça avec la police, vous n’en sortez pas », souffle Clément.
Les policiers l’emmènent dans une salle du dépôt des gardes à vue et le « jettent par terre sur le ventre ». Deux agents sont sur lui et le fouillent en le plaquant au sol. Ils enlèvent les vêtements de Clément et même son caleçon. Le trentenaire se retrouve quasi nu, le sexe apparent. Le pandore qui a son genou sur sa colonne vertébrale lui relève les bras jusqu’au milieu du dos. « Je n’étais pas agressif pourtant. Ils font ça devant tout le monde, des collègues à eux passaient. Je commence à avoir des douleurs de fou. J’ai commencé à pleurer », se rappelle Clément, les yeux embués.
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Rien à branler en Corée du Nord il aurait subit pire. Force à notre Gestapo !
[14:10:38] <ActionReflex>
Source : Streetpress
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Faut faire attention aux racailles mais aussi à la police, des gens l'oublient malheureusement
Les droitardé qui condamne pas
Le 09 décembre 2021 à 14:14:49 :
Faut faire attention aux racailles mais aussi à la police, des gens l'oublient malheureusement
Le 09 décembre 2021 à 14:07:14 :
Au commissariat de Saint-Quentin dans l’Aisne, Clément a été tabassé. L’un des policiers lui a même volontairement cassé le bras. Bilan : 60 jours d’ITT. Il a porté plainte mais subit depuis un véritable harcèlement policier.« Je pensais que j’allais mourir ce jour-là. » La voix tremblante et les larmes aux yeux, Clément revient sur le calvaire vécu au sein du commissariat de Saint-Quentin (02) dans l’Aisne. Après un différend avec deux hommes le 13 avril 2019, ce trentenaire s’est fait interpeller et a subi selon lui de nombreux coups ainsi que des insultes par des policiers locaux. Au commissariat, alors qu’il est menotté dans le dos et plaqué au sol par deux policiers, un des agents lui aurait lancé : « Regarde comment on casse un bras », avant de le lui remonter volontairement jusqu’à ce que l’humérus droit craque.
Opéré dans la foulée, Clément se fait greffer une plaque de fer avec 35 agrafes, est immobilisé pendant plus d’un mois et reçoit 60 jours d’ITT. Mais son calvaire ne s’arrête pas là. Depuis deux ans, il se fait, dit-il, harceler par les policiers de Saint-Quentin, à coup de plaintes pour outrage, d’interpellations et de nouveaux coups. « C’est une petite ville. Maintenant, je suis connu comme le loup blanc. Je ne pensais jamais que j’allais vivre ça. Quand vous entrez dans un problème comme ça avec la police, vous n’en sortez pas », souffle Clément.
Les policiers l’emmènent dans une salle du dépôt des gardes à vue et le « jettent par terre sur le ventre ». Deux agents sont sur lui et le fouillent en le plaquant au sol. Ils enlèvent les vêtements de Clément et même son caleçon. Le trentenaire se retrouve quasi nu, le sexe apparent. Le pandore qui a son genou sur sa colonne vertébrale lui relève les bras jusqu’au milieu du dos. « Je n’étais pas agressif pourtant. Ils font ça devant tout le monde, des collègues à eux passaient. Je commence à avoir des douleurs de fou. J’ai commencé à pleurer », se rappelle Clément, les yeux embués.
Si c'est vrai chaud, et je peux y croire, j'ai faillit me battre avec 2 policiers, une embrouille, ils arrivent et au lieu d’apaiser ils voulait aggraver les choses, l'un me colle la tête et me dit vas-y ! vas-y ! tout en me poussant, j'ai envie de lui éclater la gueule à ce pucelin, mais ils cherchent ça, avec le bleu ils sont trop en confiance avec les gars bien et après ça fuit devant 3 ksos.
Le 09 décembre 2021 à 14:18:49 :
Le 09 décembre 2021 à 14:07:14 :
Au commissariat de Saint-Quentin dans l’Aisne, Clément a été tabassé. L’un des policiers lui a même volontairement cassé le bras. Bilan : 60 jours d’ITT. Il a porté plainte mais subit depuis un véritable harcèlement policier.« Je pensais que j’allais mourir ce jour-là. » La voix tremblante et les larmes aux yeux, Clément revient sur le calvaire vécu au sein du commissariat de Saint-Quentin (02) dans l’Aisne. Après un différend avec deux hommes le 13 avril 2019, ce trentenaire s’est fait interpeller et a subi selon lui de nombreux coups ainsi que des insultes par des policiers locaux. Au commissariat, alors qu’il est menotté dans le dos et plaqué au sol par deux policiers, un des agents lui aurait lancé : « Regarde comment on casse un bras », avant de le lui remonter volontairement jusqu’à ce que l’humérus droit craque.
Opéré dans la foulée, Clément se fait greffer une plaque de fer avec 35 agrafes, est immobilisé pendant plus d’un mois et reçoit 60 jours d’ITT. Mais son calvaire ne s’arrête pas là. Depuis deux ans, il se fait, dit-il, harceler par les policiers de Saint-Quentin, à coup de plaintes pour outrage, d’interpellations et de nouveaux coups. « C’est une petite ville. Maintenant, je suis connu comme le loup blanc. Je ne pensais jamais que j’allais vivre ça. Quand vous entrez dans un problème comme ça avec la police, vous n’en sortez pas », souffle Clément.
Les policiers l’emmènent dans une salle du dépôt des gardes à vue et le « jettent par terre sur le ventre ». Deux agents sont sur lui et le fouillent en le plaquant au sol. Ils enlèvent les vêtements de Clément et même son caleçon. Le trentenaire se retrouve quasi nu, le sexe apparent. Le pandore qui a son genou sur sa colonne vertébrale lui relève les bras jusqu’au milieu du dos. « Je n’étais pas agressif pourtant. Ils font ça devant tout le monde, des collègues à eux passaient. Je commence à avoir des douleurs de fou. J’ai commencé à pleurer », se rappelle Clément, les yeux embués.
Si c'est vrai chaud, et je peux y croire, j'ai faillit me battre avec 2 policiers, une embrouille, ils arrivent et au lieu d’apaiser ils voulait aggraver les choses, l'un me colle la tête et me dit vas-y ! vas-y ! tout en me poussant, j'ai envie de lui éclater la gueule à ce pucelin, mais ils cherchent ça, avec le bleu ils sont trop en confiance avec les gars bien et après ça fuit devant 3 ksos.
Ben voyons, Célestin
Le 09 décembre 2021 à 14:16:30 :
Les droitardé qui condamne pashttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1493933263-fou-rire-jesus.png
Extrême droite, j'aime la police et je condamne si c'est vrai, on devrait leur faire la même chose.
Le 09 décembre 2021 à 14:18:49 :
Le 09 décembre 2021 à 14:07:14 :
Au commissariat de Saint-Quentin dans l’Aisne, Clément a été tabassé. L’un des policiers lui a même volontairement cassé le bras. Bilan : 60 jours d’ITT. Il a porté plainte mais subit depuis un véritable harcèlement policier.« Je pensais que j’allais mourir ce jour-là. » La voix tremblante et les larmes aux yeux, Clément revient sur le calvaire vécu au sein du commissariat de Saint-Quentin (02) dans l’Aisne. Après un différend avec deux hommes le 13 avril 2019, ce trentenaire s’est fait interpeller et a subi selon lui de nombreux coups ainsi que des insultes par des policiers locaux. Au commissariat, alors qu’il est menotté dans le dos et plaqué au sol par deux policiers, un des agents lui aurait lancé : « Regarde comment on casse un bras », avant de le lui remonter volontairement jusqu’à ce que l’humérus droit craque.
Opéré dans la foulée, Clément se fait greffer une plaque de fer avec 35 agrafes, est immobilisé pendant plus d’un mois et reçoit 60 jours d’ITT. Mais son calvaire ne s’arrête pas là. Depuis deux ans, il se fait, dit-il, harceler par les policiers de Saint-Quentin, à coup de plaintes pour outrage, d’interpellations et de nouveaux coups. « C’est une petite ville. Maintenant, je suis connu comme le loup blanc. Je ne pensais jamais que j’allais vivre ça. Quand vous entrez dans un problème comme ça avec la police, vous n’en sortez pas », souffle Clément.
Les policiers l’emmènent dans une salle du dépôt des gardes à vue et le « jettent par terre sur le ventre ». Deux agents sont sur lui et le fouillent en le plaquant au sol. Ils enlèvent les vêtements de Clément et même son caleçon. Le trentenaire se retrouve quasi nu, le sexe apparent. Le pandore qui a son genou sur sa colonne vertébrale lui relève les bras jusqu’au milieu du dos. « Je n’étais pas agressif pourtant. Ils font ça devant tout le monde, des collègues à eux passaient. Je commence à avoir des douleurs de fou. J’ai commencé à pleurer », se rappelle Clément, les yeux embués.
Si c'est vrai chaud, et je peux y croire, j'ai faillit me battre avec 2 policiers, une embrouille, ils arrivent et au lieu d’apaiser ils voulait aggraver les choses, l'un me colle la tête et me dit vas-y ! vas-y ! tout en me poussant, j'ai envie de lui éclater la gueule à ce pucelin, mais ils cherchent ça, avec le bleu ils sont trop en confiance avec les gars bien et après ça fuit devant 3 ksos.
J'ai un pote qui s'est fait frapper par des flics (rien de grave mais bon), l'OPJ a couvert ses collègues, ceux pour qui ça n'est pas crédible ne connaissent pas les flics
Le 09 décembre 2021 à 14:19:59 :
Le 09 décembre 2021 à 14:18:49 :
Le 09 décembre 2021 à 14:07:14 :
Au commissariat de Saint-Quentin dans l’Aisne, Clément a été tabassé. L’un des policiers lui a même volontairement cassé le bras. Bilan : 60 jours d’ITT. Il a porté plainte mais subit depuis un véritable harcèlement policier.« Je pensais que j’allais mourir ce jour-là. » La voix tremblante et les larmes aux yeux, Clément revient sur le calvaire vécu au sein du commissariat de Saint-Quentin (02) dans l’Aisne. Après un différend avec deux hommes le 13 avril 2019, ce trentenaire s’est fait interpeller et a subi selon lui de nombreux coups ainsi que des insultes par des policiers locaux. Au commissariat, alors qu’il est menotté dans le dos et plaqué au sol par deux policiers, un des agents lui aurait lancé : « Regarde comment on casse un bras », avant de le lui remonter volontairement jusqu’à ce que l’humérus droit craque.
Opéré dans la foulée, Clément se fait greffer une plaque de fer avec 35 agrafes, est immobilisé pendant plus d’un mois et reçoit 60 jours d’ITT. Mais son calvaire ne s’arrête pas là. Depuis deux ans, il se fait, dit-il, harceler par les policiers de Saint-Quentin, à coup de plaintes pour outrage, d’interpellations et de nouveaux coups. « C’est une petite ville. Maintenant, je suis connu comme le loup blanc. Je ne pensais jamais que j’allais vivre ça. Quand vous entrez dans un problème comme ça avec la police, vous n’en sortez pas », souffle Clément.
Les policiers l’emmènent dans une salle du dépôt des gardes à vue et le « jettent par terre sur le ventre ». Deux agents sont sur lui et le fouillent en le plaquant au sol. Ils enlèvent les vêtements de Clément et même son caleçon. Le trentenaire se retrouve quasi nu, le sexe apparent. Le pandore qui a son genou sur sa colonne vertébrale lui relève les bras jusqu’au milieu du dos. « Je n’étais pas agressif pourtant. Ils font ça devant tout le monde, des collègues à eux passaient. Je commence à avoir des douleurs de fou. J’ai commencé à pleurer », se rappelle Clément, les yeux embués.
Si c'est vrai chaud, et je peux y croire, j'ai faillit me battre avec 2 policiers, une embrouille, ils arrivent et au lieu d’apaiser ils voulait aggraver les choses, l'un me colle la tête et me dit vas-y ! vas-y ! tout en me poussant, j'ai envie de lui éclater la gueule à ce pucelin, mais ils cherchent ça, avec le bleu ils sont trop en confiance avec les gars bien et après ça fuit devant 3 ksos.
Ben voyons, Célestin
Libre à toi de croire que j'en suis un, t'as oublié que t'avais pas que des puceaux de 40kg ici je crois.
Le 09 décembre 2021 à 14:18:49 :
Le 09 décembre 2021 à 14:07:14 :
Au commissariat de Saint-Quentin dans l’Aisne, Clément a été tabassé. L’un des policiers lui a même volontairement cassé le bras. Bilan : 60 jours d’ITT. Il a porté plainte mais subit depuis un véritable harcèlement policier.« Je pensais que j’allais mourir ce jour-là. » La voix tremblante et les larmes aux yeux, Clément revient sur le calvaire vécu au sein du commissariat de Saint-Quentin (02) dans l’Aisne. Après un différend avec deux hommes le 13 avril 2019, ce trentenaire s’est fait interpeller et a subi selon lui de nombreux coups ainsi que des insultes par des policiers locaux. Au commissariat, alors qu’il est menotté dans le dos et plaqué au sol par deux policiers, un des agents lui aurait lancé : « Regarde comment on casse un bras », avant de le lui remonter volontairement jusqu’à ce que l’humérus droit craque.
Opéré dans la foulée, Clément se fait greffer une plaque de fer avec 35 agrafes, est immobilisé pendant plus d’un mois et reçoit 60 jours d’ITT. Mais son calvaire ne s’arrête pas là. Depuis deux ans, il se fait, dit-il, harceler par les policiers de Saint-Quentin, à coup de plaintes pour outrage, d’interpellations et de nouveaux coups. « C’est une petite ville. Maintenant, je suis connu comme le loup blanc. Je ne pensais jamais que j’allais vivre ça. Quand vous entrez dans un problème comme ça avec la police, vous n’en sortez pas », souffle Clément.
Les policiers l’emmènent dans une salle du dépôt des gardes à vue et le « jettent par terre sur le ventre ». Deux agents sont sur lui et le fouillent en le plaquant au sol. Ils enlèvent les vêtements de Clément et même son caleçon. Le trentenaire se retrouve quasi nu, le sexe apparent. Le pandore qui a son genou sur sa colonne vertébrale lui relève les bras jusqu’au milieu du dos. « Je n’étais pas agressif pourtant. Ils font ça devant tout le monde, des collègues à eux passaient. Je commence à avoir des douleurs de fou. J’ai commencé à pleurer », se rappelle Clément, les yeux embués.
Si c'est vrai chaud, et je peux y croire, j'ai faillit me battre avec 2 policiers, une embrouille, ils arrivent et au lieu d’apaiser ils voulait aggraver les choses, l'un me colle la tête et me dit vas-y ! vas-y ! tout en me poussant, j'ai envie de lui éclater la gueule à ce pucelin, mais ils cherchent ça, avec le bleu ils sont trop en confiance avec les gars bien et après ça fuit devant 3 ksos.
ils savent qui va rien leurs arriver avec les gens biens, si ils font les fou au comicos avec les "ksos" ils ce font brule le comico le lendemain, agression etc... mais c'est des sale cons pour la plupart la police, les opj comissaires relevent le niveau, mais doivent gerer une bande de gorille dont la moitié non meme pas le bac