Il faut arrêter de croire que les viols ne sont que dans un sens, surtout qu'en ce qui concerne les hommes violés par des femmes, il y a souvent une dimension psychologique et une relation de dominé - dominante qui s'installe. N'hésitez-pas si vous avez des témoignages, levons le tabou!
Signe ma petion anti kheyette et anti attention whore l'op sinon cancer
Je me suis fait violer par trois femmes et j’en garde un très bon souvenir
J’exagère mais ce n’était pas un traumatisme
Je pense qu'il faut sortir du paradigme des médias: hommes = méchants, femmes = gentilles
Il y a des gens biens et des enfoirés chez les deux sexes, et à priori, il n'y a aucune raison pour que ce soit plus le cas d'un sexe / genre que l'autre
Honte aux médias de merde qui véhiculent une pensée misandre.
Le 30 novembre 2021 à 04:11:34 :
Je me suis fait violer par trois femmes et j’en garde un très bon souvenirJ’exagère mais ce n’était pas un traumatisme
En même temps?!
J'ai eu 2 exs qui me tapaient des crises d'hystérie si je voulait pas faire l'amour.
Cris, engueulades, vaisselle cassée, des coups même, en traitre, dans le dos, quand je faisais pas attention... menaces, humiliation (tu bandes pas, t'es pas un homme).
2 exs sur des dizaines, certes, c'est pas beaucoup, mais c'est celles qui marquent psychologiquement.
Le 30 novembre 2021 à 04:18:28 :
J'ai eu 2 exs qui me tapaient des crises d'hystérie si je voulait pas faire l'amour.
Cris, engueulades, vaisselle cassée, des coups même, en traitre, dans le dos, quand je faisais pas attention... menaces, humiliation (tu bandes pas, t'es pas un homme).2 exs sur des dizaines, certes, c'est pas beaucoup, mais c'est celles qui manquent psychologiquement.
Bordel c chaud khey
Le 30 novembre 2021 à 04:19:25 :
Le 30 novembre 2021 à 04:18:28 :
J'ai eu 2 exs qui me tapaient des crises d'hystérie si je voulait pas faire l'amour.
Cris, engueulades, vaisselle cassée, des coups même, en traitre, dans le dos, quand je faisais pas attention... menaces, humiliation (tu bandes pas, t'es pas un homme).2 exs sur des dizaines, certes, c'est pas beaucoup, mais c'est celles qui manquent psychologiquement.
Bordel c chaud khey
Hélas, c'est impossible d'en parler dans la société.
Vu que ce genre d'altercations amène des tensions dans le couple, si ça devient publique, l'homme sera toujours coupable, et la femme la victime.
La société ne cherche pas plus loin.
Une majorité de femme va se ranger du côté du boureau (qui est une femme ici) car dans leur conceptions personnelles, elles ne s'imagine pas qu'il soit possible de tenir tête à un homme sans se mettre en danger.
Et une majorité d'homme va choisir de nous occulter, car nous ne reproduisons par leur schéma de virilité protectrice qui est demandée à l'homme.
Et je dis bien ça sur des dizaines de relations.
J'ai toujours tenu mon rôle protecteur, on sort au resto, je me tiens fort dans la rue, je protège ma compagne d'un lourdeau si ça dégénère.
Je suis très féministe. Fier de ma compagne si elle s'émancipe, réussi professionnellement. Partage des tâches ménagères. Respect du consentement.
Mais face à une tarée hystérique (on ne peut pas les appeler autrement) insecure, qui choisit la violence pour occulter ses faiblesses (boulot qui l'emmerde, sécurité financière insuffisante, regard d'autrui sur sa propre féminité), on se retrouve seul et mis au ban si le couple bat de l'aile.
Et les femmes produisent les même excuses que les hommes violents. Ne me quite pas, je suis désolé, je vais changer, tu ne mérite pas, (je ne te mérite pas) mais je suis triste sans toi...
Une femme qui fais vivre l'enfer à son compagnon, parce qu'elle se sent grosse, que ses collègues l'emmerde... on ne peux pas la quitter.
Si on le fait, là aussi, on passe pour le méchant qui abandonne la pauvre et frêle creature en souffrance...
Le 30 novembre 2021 à 04:34:25 :
Une femme qui fais vivre l'enfer à son compagnon, parce qu'elle se sent grosse, que ses collègues l'emmerde... on ne peux pas la quitter.
Si on le fait, là aussi, on passe pour le méchant qui abandonne la pauvre et frêle creature en souffrance...
ET alors? Mieux vaut la quitter si on souffre trop, la santé mentale n'a pas de prix.
Le 30 novembre 2021 à 04:31:28 :
Le 30 novembre 2021 à 04:19:25 :
Le 30 novembre 2021 à 04:18:28 :
J'ai eu 2 exs qui me tapaient des crises d'hystérie si je voulait pas faire l'amour.
Cris, engueulades, vaisselle cassée, des coups même, en traitre, dans le dos, quand je faisais pas attention... menaces, humiliation (tu bandes pas, t'es pas un homme).2 exs sur des dizaines, certes, c'est pas beaucoup, mais c'est celles qui manquent psychologiquement.
Bordel c chaud khey
Hélas, c'est impossible d'en parler dans la société.
Vu que ce genre d'altercations amène des tensions dans le couple, si ça devient publique, l'homme sera toujours coupable, et la femme la victime.
La société ne cherche pas plus loin.Une majorité de femme va se ranger du côté du boureau (qui est une femme ici) car dans leur conceptions personnelles, elles ne s'imagine pas qu'il soit possible de tenir tête à un homme sans se mettre en danger.
Et une majorité d'homme va choisir de nous occulter, car nous ne reproduisons par leur schéma de virilité protectrice qui est demandée à l'homme.Et je dis bien ça sur des dizaines de relations.
J'ai toujours tenu mon rôle protecteur, on sort au resto, je me tiens fort dans la rue, je protège ma compagne d'un lourdeau si ça dégénère.
Je suis très féministe. Fier de ma compagne si elle s'émancipe, réussi professionnellement. Partage des tâches ménagères. Respect du consentement.Mais face à une tarée hystérique (on ne peut pas les appeler autrement) insecure, qui choisit la violence pour occulter ses faiblesses (boulot qui l'emmerde, sécurité financière insuffisante, regard d'autrui sur sa propre féminité), on se retrouve seul et mis au ban si le couple bat de l'aile.
Et les femmes produisent les même excuses que les hommes violents. Ne me quite pas, je suis désolé, je vais changer, tu ne mérite pas, (je ne te mérite pas) mais je suis triste sans toi...
Oui en gros tu prônes le vrai féminisme de base, qui d'ailleurs devrait s'appeler humanisme. Comment un homme peut-il gérer ce genre de situation? Peut-on filmer la femme en question en pleine crise d'hystérie? Faut-il faire venir des témoins? Ou bien faut-il fuir tout simplement, si tant est que ce soit possible?
Et je ne parlerais même pas des violences au sein des couples gays / lesbiennes, mais bon c tabou askip
Le 30 novembre 2021 à 04:37:05 :
Le 30 novembre 2021 à 04:34:25 :
Une femme qui fais vivre l'enfer à son compagnon, parce qu'elle se sent grosse, que ses collègues l'emmerde... on ne peux pas la quitter.
Si on le fait, là aussi, on passe pour le méchant qui abandonne la pauvre et frêle creature en souffrance...ET alors? Mieux vaut la quitter si on souffre trop, la santé mentale n'a pas de prix.
Oui, mais alors on subit le jugement de nos proches, tu ne peux pas la laisser, c'est une gentille fille, elle va se retrouver toute seule. Tu as fait des efforts de ton côté ? Tu l'aides à faire le ménage ? Elle m'as téléphoné, elle t'aime, elle est prête à te pardonner, fais aussi un effort de ton côté...
Je ne dis pas que c'est impossible, mais c'est terriblement compliqué.
Au début de la relation, il y a déjà des signes avant coureurs que ça pourrait dégénérer.
Mais en vérité (sur ces deux expériences que j'ai vécu) les choses dégénèrent vraiment quand on a beaucoup à perdre. Un appart en commun, des ancrages sociaux forts avec la famille, les amis proches. C'st généralement à ce moment que la manipulation et la violence arrivent de manière quasi quotidiennes.
Le 30 novembre 2021 à 04:38:37 :
Le 30 novembre 2021 à 04:31:28 :
Le 30 novembre 2021 à 04:19:25 :
Le 30 novembre 2021 à 04:18:28 :
J'ai eu 2 exs qui me tapaient des crises d'hystérie si je voulait pas faire l'amour.
Cris, engueulades, vaisselle cassée, des coups même, en traitre, dans le dos, quand je faisais pas attention... menaces, humiliation (tu bandes pas, t'es pas un homme).2 exs sur des dizaines, certes, c'est pas beaucoup, mais c'est celles qui manquent psychologiquement.
Bordel c chaud khey
Hélas, c'est impossible d'en parler dans la société.
Vu que ce genre d'altercations amène des tensions dans le couple, si ça devient publique, l'homme sera toujours coupable, et la femme la victime.
La société ne cherche pas plus loin.Une majorité de femme va se ranger du côté du boureau (qui est une femme ici) car dans leur conceptions personnelles, elles ne s'imagine pas qu'il soit possible de tenir tête à un homme sans se mettre en danger.
Et une majorité d'homme va choisir de nous occulter, car nous ne reproduisons par leur schéma de virilité protectrice qui est demandée à l'homme.Et je dis bien ça sur des dizaines de relations.
J'ai toujours tenu mon rôle protecteur, on sort au resto, je me tiens fort dans la rue, je protège ma compagne d'un lourdeau si ça dégénère.
Je suis très féministe. Fier de ma compagne si elle s'émancipe, réussi professionnellement. Partage des tâches ménagères. Respect du consentement.Mais face à une tarée hystérique (on ne peut pas les appeler autrement) insecure, qui choisit la violence pour occulter ses faiblesses (boulot qui l'emmerde, sécurité financière insuffisante, regard d'autrui sur sa propre féminité), on se retrouve seul et mis au ban si le couple bat de l'aile.
Et les femmes produisent les même excuses que les hommes violents. Ne me quite pas, je suis désolé, je vais changer, tu ne mérite pas, (je ne te mérite pas) mais je suis triste sans toi...
Oui en gros tu prônes le vrai féminisme de base, qui d'ailleurs devrait s'appeler humanisme. Comment un homme peut-il gérer ce genre de situation? Peut-on filmer la femme en question en pleine crise d'hystérie? Faut-il faire venir des témoins? Ou bien faut-il fuir tout simplement, si tant est que ce soit possible?
La fuite et la seule solution.
Si on produit des preuve audios ou videos, la justice nous accusera de sortir les choses de leur contexte et d'instrumentaliser la situation.
Il faudrait limite avoir des cameras qui filment 24h sur 24 toutes les pièces de la maison pour reussir à se faire entendre en tant que victime masculine.
Le 30 novembre 2021 à 04:46:18 :
Le 30 novembre 2021 à 04:38:37 :
Le 30 novembre 2021 à 04:31:28 :
Le 30 novembre 2021 à 04:19:25 :
Le 30 novembre 2021 à 04:18:28 :
J'ai eu 2 exs qui me tapaient des crises d'hystérie si je voulait pas faire l'amour.
Cris, engueulades, vaisselle cassée, des coups même, en traitre, dans le dos, quand je faisais pas attention... menaces, humiliation (tu bandes pas, t'es pas un homme).2 exs sur des dizaines, certes, c'est pas beaucoup, mais c'est celles qui manquent psychologiquement.
Bordel c chaud khey
Hélas, c'est impossible d'en parler dans la société.
Vu que ce genre d'altercations amène des tensions dans le couple, si ça devient publique, l'homme sera toujours coupable, et la femme la victime.
La société ne cherche pas plus loin.Une majorité de femme va se ranger du côté du boureau (qui est une femme ici) car dans leur conceptions personnelles, elles ne s'imagine pas qu'il soit possible de tenir tête à un homme sans se mettre en danger.
Et une majorité d'homme va choisir de nous occulter, car nous ne reproduisons par leur schéma de virilité protectrice qui est demandée à l'homme.Et je dis bien ça sur des dizaines de relations.
J'ai toujours tenu mon rôle protecteur, on sort au resto, je me tiens fort dans la rue, je protège ma compagne d'un lourdeau si ça dégénère.
Je suis très féministe. Fier de ma compagne si elle s'émancipe, réussi professionnellement. Partage des tâches ménagères. Respect du consentement.Mais face à une tarée hystérique (on ne peut pas les appeler autrement) insecure, qui choisit la violence pour occulter ses faiblesses (boulot qui l'emmerde, sécurité financière insuffisante, regard d'autrui sur sa propre féminité), on se retrouve seul et mis au ban si le couple bat de l'aile.
Et les femmes produisent les même excuses que les hommes violents. Ne me quite pas, je suis désolé, je vais changer, tu ne mérite pas, (je ne te mérite pas) mais je suis triste sans toi...
Oui en gros tu prônes le vrai féminisme de base, qui d'ailleurs devrait s'appeler humanisme. Comment un homme peut-il gérer ce genre de situation? Peut-on filmer la femme en question en pleine crise d'hystérie? Faut-il faire venir des témoins? Ou bien faut-il fuir tout simplement, si tant est que ce soit possible?
La fuite et la seule solution.
Si on produit des preuve audios ou videos, la justice nous accusera de sortir les choses de leur contexte et d'instrumentaliser la situation.
Il faudrait limite avoir des cameras qui filment 24h sur 24 toutes les pièces de la maison pour reussir à se faire entendre en tant que victime masculine.
Bordel c flippant. J'ai espoir que tôt ou tard la Justice comprenne que les médias =/= la réalité et qu'il y a des gens très toxiques chez les deux sexes
Perso ma mère est masculiniste (et très féminine par ailleurs) donc j'aurais son soutien si je venais à être dans cette situation. Aussi mes proches savent que je suis un gentil garçon donc bon...croisons les doigts pour tomber sur une fille "bien"
Le 30 novembre 2021 à 04:49:18 :
Le 30 novembre 2021 à 04:46:18 :
Le 30 novembre 2021 à 04:38:37 :
Le 30 novembre 2021 à 04:31:28 :
Le 30 novembre 2021 à 04:19:25 :
Le 30 novembre 2021 à 04:18:28 :
J'ai eu 2 exs qui me tapaient des crises d'hystérie si je voulait pas faire l'amour.
Cris, engueulades, vaisselle cassée, des coups même, en traitre, dans le dos, quand je faisais pas attention... menaces, humiliation (tu bandes pas, t'es pas un homme).2 exs sur des dizaines, certes, c'est pas beaucoup, mais c'est celles qui manquent psychologiquement.
Bordel c chaud khey
Hélas, c'est impossible d'en parler dans la société.
Vu que ce genre d'altercations amène des tensions dans le couple, si ça devient publique, l'homme sera toujours coupable, et la femme la victime.
La société ne cherche pas plus loin.Une majorité de femme va se ranger du côté du boureau (qui est une femme ici) car dans leur conceptions personnelles, elles ne s'imagine pas qu'il soit possible de tenir tête à un homme sans se mettre en danger.
Et une majorité d'homme va choisir de nous occulter, car nous ne reproduisons par leur schéma de virilité protectrice qui est demandée à l'homme.Et je dis bien ça sur des dizaines de relations.
J'ai toujours tenu mon rôle protecteur, on sort au resto, je me tiens fort dans la rue, je protège ma compagne d'un lourdeau si ça dégénère.
Je suis très féministe. Fier de ma compagne si elle s'émancipe, réussi professionnellement. Partage des tâches ménagères. Respect du consentement.Mais face à une tarée hystérique (on ne peut pas les appeler autrement) insecure, qui choisit la violence pour occulter ses faiblesses (boulot qui l'emmerde, sécurité financière insuffisante, regard d'autrui sur sa propre féminité), on se retrouve seul et mis au ban si le couple bat de l'aile.
Et les femmes produisent les même excuses que les hommes violents. Ne me quite pas, je suis désolé, je vais changer, tu ne mérite pas, (je ne te mérite pas) mais je suis triste sans toi...
Oui en gros tu prônes le vrai féminisme de base, qui d'ailleurs devrait s'appeler humanisme. Comment un homme peut-il gérer ce genre de situation? Peut-on filmer la femme en question en pleine crise d'hystérie? Faut-il faire venir des témoins? Ou bien faut-il fuir tout simplement, si tant est que ce soit possible?
La fuite et la seule solution.
Si on produit des preuve audios ou videos, la justice nous accusera de sortir les choses de leur contexte et d'instrumentaliser la situation.
Il faudrait limite avoir des cameras qui filment 24h sur 24 toutes les pièces de la maison pour reussir à se faire entendre en tant que victime masculine.Bordel c flippant. J'ai espoir que tôt ou tard la Justice comprenne que les médias =/= la réalité et qu'il y a des gens très toxiques chez les deux sexes
J'ai envie de trouver la force de faire un tiktok pour raconter mon histoire.
Mais en ce moment, je me bat contre mon envie de me noyer dans la boucle et de fusionner avec mon canapé.
Plus aucune confiance envers les femmes, je m'auto-condamne à la solitude.
C’est vrai que la femme est très exigeante sur le plan sexuel on en parle pas assez