Le COVID LONG n'aurait JAMAIS EXISTÉ !
Une étude menée sur la plus grande cohorte épidémiologique française suggère que d’un point de vue statistique, le fait d’être convaincu d’avoir eu le Covid-19 est davantage associé à des symptômes de type « Covid long » que d’avoir effectivement contracté la maladie.
el famoso "covid long" quand tu leur demande : fatigue, dépression, perte d'énergie ahi
Effet nocebo
Le 13 novembre 2021 à 01:59:56 :
el famoso "covid long" quand tu leur demande : fatigue, dépression, perte d'énergie ahi
Effet nocebo
perso j'ia eu ça 2 jour , c'était juste une grippe en plein covid
Le 13 novembre 2021 à 02:01:41 :
Étude totalement foireuse.
le fameux 
la plus grande cohorte épidémiologique française 
Immédiatement, la colère a pris les associations de patients atteints de Covid long qui accusent l'étude de nier la réalité de leur trouble en lui donnant une explication essentiellement psychologique. Cette étude donne lieu à des interprétations «stigmatisantes, dangereuses et nuisibles pour les Covid(s) long(s), d'autant qu'elles sont contestées et non reconnues par l'ensemble de la communauté scientifique et associative internationale»,
Le 13 novembre 2021 à 02:04:39 :
L'article ne dit pas cela, il y a des covid long mais une partie des malades ne le sont pas pour cela.T'iras expliquer à mon collègue qui a mis 3 mois à remonter un escalier sans suffoquer que ça n'existe pas...
ça n'existe pas sauf pour l'odorat
Les auteurs de l'étude se sont défendus, dans le Monde, en soulignant notamment que leur étude montrait bien une association entre une infection réelle et un symptôme durable: la perte de l'odorat. Selon eux, c'est bien la preuve que leur méthode peut distinguer quelles manifestations supposées du Covid long sont réellement liées à une infection. Car ce trouble reste très vaguement défini et cette polémique fait aussi ressortir la difficulté à cadrer les recherches sur le sujet.
De nombreux symptômes sont associés à ce trouble, parmi lesquels la fatigue ou l'essoufflement, ce qui rend difficile de déterminer à quel point les Covid longs recouvrent différentes réalités et, à plus forte raison, quelle peut en être l'origine.
. «Nous devons nous rendre compte qu'avec des symptômes vagues, on obtient des diagnostics vagues», conclut-il. «Faute de critères plus stricts, de nombreuses personnes risquent de recevoir une étiquette “Covid long” alors qu'elles n'en sont pas du tout atteintes».
Le 13 novembre 2021 à 02:03:06 :
Le 13 novembre 2021 à 02:01:41 :
Étude totalement foireuse.le fameux
la plus grande cohorte épidémiologique française
Et ? Cela n'empêche pas que cette étude ne fait que montrer que les tests sérologiques ne sont pas de bons indicateurs.
Cette étude est à côté de la plaque.
https://methodsmanmd.medium.com/is-long-covid-even-real-704bb74ab619
Le 13 novembre 2021 à 02:07:10 :
Le 13 novembre 2021 à 02:04:39 :
L'article ne dit pas cela, il y a des covid long mais une partie des malades ne le sont pas pour cela.T'iras expliquer à mon collègue qui a mis 3 mois à remonter un escalier sans suffoquer que ça n'existe pas...
ça n'existe pas sauf pour l'odorat
Les auteurs de l'étude se sont défendus, dans le Monde, en soulignant notamment que leur étude montrait bien une association entre une infection réelle et un symptôme durable: la perte de l'odorat. Selon eux, c'est bien la preuve que leur méthode peut distinguer quelles manifestations supposées du Covid long sont réellement liées à une infection. Car ce trouble reste très vaguement défini et cette polémique fait aussi ressortir la difficulté à cadrer les recherches sur le sujet.
De nombreux symptômes sont associés à ce trouble, parmi lesquels la fatigue ou l'essoufflement, ce qui rend difficile de déterminer à quel point les Covid longs recouvrent différentes réalités et, à plus forte raison, quelle peut en être l'origine.
. «Nous devons nous rendre compte qu'avec des symptômes vagues, on obtient des diagnostics vagues», conclut-il. «Faute de critères plus stricts, de nombreuses personnes risquent de recevoir une étiquette “Covid long” alors qu'elles n'en sont pas du tout atteintes».
Mais tu as lu le titre de l'article au moins ?
Les manifestations du « Covid long » ne seraient pas forcément liées à l’infection par le SARS-CoV-2
Une étude menée sur la plus grande cohorte épidémiologique française suggère que d’un point de vue statistique, le fait d’être convaincu d’avoir eu le Covid-19 est davantage associé à des symptômes de type « Covid long » que d’avoir effectivement contracté la maladie.
L'étude dit juste que les gens qui croient avoir chopé le COVID sont plus sujets à faire du COVID long (effet psycho) même s'ils ne l'ont pas eu que les personnes qui ne savaient pas qu'ils avaient eu le COVID et qui souffrent du COVID long... Ils ne disent pas que le COVID long n'existe pas, ils disent même au contraire que la majorité des cas sont réellement liés au virus.
Bref rien à voir avec ce que tu dis...
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