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2021-10-30 22:50:50
Ils sont plus criminels simplement parce qu’ils sont plus pauvres”
Quand ils ne nient pas tout simplement la sur-délinquance des individus issus de la diversité, les immigrationnistes trouvent toutes sortes d’excuses à cette criminalité, au premier rang desquelles se trouve évidemment la pauvreté.
C’est l’un des arguments pour l’immigration qu’on entend tout le temps, qui semble admis par tous, et pourtant… il est faux. La pauvreté ne cause pas la délinquance. Pour s’en convaincre, je vous renvoie vers l’excellente étude de l’Institut pour la Justice sur ce sujet.
Citons simplement la conclusion de ce dossier :
"L’idée que la délinquance serait la conséquence de la pauvreté, ou, plus largement, qu’elle serait la conséquence du fait de vivre dans un « milieu socialement défavorisé », devrait être abandonnée purement et simplement. Elle devrait être abandonnée tout d’abord parce qu’elle est fausse, et qu’elle nous détourne des moyens vraiment efficaces pour combattre le crime. Mais elle devrait être combattue également car elle a des effets très pernicieux, et pernicieux d’abord pour les catégories les plus défavorisées de la population.”
On pourrait également rappeler l’étude de Hugues Lagrange citée plus haut qui observe que le différentiel de criminalité entre familles autochtones et familles originaires d’Afrique existe et est très marqué, même à statut social égal. Le constat est identique pour Sebastian Roché, cité précédemment lui aussi, qui affirme qu’à “niveau socio-économique équivalent, les enfants d’immigrés sont plus délinquants que les autres” et que même chez les enfants de cadres supérieurs sans enjeu de précarité, il y a davantage de comportements délictueux chez ceux dont un parent serait né sur le continent africain par exemple.
La rhétorique simpliste selon laquelle la criminalité d’origine étrangère s’explique par des différences de niveau social ne tient donc absolument pas debout.
Source : “La pauvreté est-elle la cause de la délinquance?”, Institut pour la Justice, Notes et Synthèses n°45, décembre 2017