En quoi voir un psy vous a aidé ?

faitpaslefou
2021-10-29 09:11:54

Concrètement ?
J’en ai vu deux en tout, la première était muette et me laissait parler tout seul, bref un véritable porte monnaie sur pattes et la deuxième m’as ghost après la deuxième séance

UzumakiBolt
2021-10-29 09:13:06

Moi oui, ça m'a beaucoup aidé.

Je la revois tout à l'heure d'ailleurs

Couscous9-3
2021-10-29 09:14:03

A rienhttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/18/3/1556735775-vieux-reveil.png

OdinShibaF
2021-10-29 09:14:20

A choper son tel maggle

faitpaslefou
2021-10-29 09:15:10

Le 29 octobre 2021 à 09:13:06 :
Moi oui, ça m'a beaucoup aidé.

Je la revois tout à l'heure d'ailleurs

Je demandais pas si ça a aidé ou pas, je demande EN QUOI ça aide ?

sapolerie
2021-10-29 09:15:46

à se rendre compte qu'il faut rien attendre d'eux :question:

faitpaslefou
2021-10-29 09:17:46

Le 29 octobre 2021 à 09:15:46 :
à se rendre compte qu'il faut rien attendre d'eux :question:

A rien quoi ?
Les kheys développez un peu vos réponses ! Sinon ça sert à rein de répondre

trapmignonpusso
2021-10-29 09:17:50

Oui ça m’aide énormément

faitpaslefou
2021-10-29 09:19:05

Le 29 octobre 2021 à 09:17:50 :
Oui ça m’aide énormément

Développe !!

UzumakiBolt
2021-10-29 09:19:25

Le 29 octobre 2021 à 09:15:10 :

Le 29 octobre 2021 à 09:13:06 :
Moi oui, ça m'a beaucoup aidé.

Je la revois tout à l'heure d'ailleurs

Je demandais pas si ça a aidé ou pas, je demande EN QUOI ça aide ?

À développer des nouvelles façons de voir les choses concernant ma vie, à me recentrer sur moi, à me renforcer ce qui m'a aidé à faire face à des événements difficiles etc.

marreduban2
2021-10-29 09:19:54

Le 29 octobre 2021 à 09:11:54 :
Concrètement ?
J’en ai vu deux en tout, la première était muette et me laissait parler tout seul, bref un véritable porte monnaie sur pattes et la deuxième m’as ghost après la deuxième séance

en rienhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/21/1495963167-brice5.png

La_Fee_Pachier
2021-10-29 09:20:16

A vider mon compte en banque :)

marreduban2
2021-10-29 09:22:21

Le 29 octobre 2021 à 09:20:16 :
A vider mon compte en banque :)

n'empeche les psys quelle bande de s4lopes,vidé la cb mais garder nos burnes pleines ,courage kheyouhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

sapolerie
2021-10-29 09:24:30

Le 29 octobre 2021 à 09:17:46 :

Le 29 octobre 2021 à 09:15:46 :
à se rendre compte qu'il faut rien attendre d'eux :question:

A rien quoi ?
Les kheys développez un peu vos réponses ! Sinon ça sert à rein de répondre

bah j'ai l'impression que ta déception est "inscrite" dans le projet du psy en face...

j'ai jamais été au psy, mais j'ai lu quelques "théoriciens" de la "psychanalyse" :

"La règle proposée au patient dans l’analyse le laisse s’avancer dans une intentionnalité aveugle à toute autre fin que sa libération d’un mal ou d’une ignorance dont il ne connaît même pas les limites.
Sa voix se fera seule entendre pendant un temps dont la durée reste à la discrétion de l’analyste. Particulièrement lui sera vite manifeste, et d'ailleurs confirmée, l'abstention de l'analyste à lui répondre sur aucun plan de conseil ou de projet. Il y a là une contrainte qui semble aller à l’encontre de la fin désirée et que doit justifier quelque profond motif.
Quel souci conditionne donc en face de lui l’attitude de l’analyste ? Celui d’offrir au dialogue un personnage aussi dénué que possible de caractéristiques individuelles ; nous nous effaçons, nous sortons du champ où pourraient être perçus cet intérêt, cette sympathie, cette réaction que cherche celui qui parle sur le visage de l’interlocuteur, nous évitons toute manifestation de nos goûts personnels, nous cachons ce qui peut les trahir, nous nous dépersonnalisons, et tendons à ce but de représenter pour l’autre un idéal d’impassibilité."
"Le psychanalyste, pour ne pas détacher l’expérience du langage de la situation qu’elle implique, celle de l’interlocuteur, touche au fait simple que le langage avant de signifier quelque chose, signifie pour quelqu’un. Par le seul fait qu’il est présent et qu’il écoute, cet homme qui parle s’adresse à lui et, puisqu’il impose à son discours de ne rien vouloir dire, il y reste ce que cet homme veut lui dire. Ce qu’il dit en effet peut « n’avoir aucun sens », ce qu’il lui dit en recèle un. C’est dans le mouvement de répondre que l’auditeur le ressent ; c’est en suspendant ce mouvement qu’il comprend le sens du discours. Il y reconnaît alors une intention, parmi celles qui représentent une certaine tension du rapport social : intention revendicative, intention punitive, intention propitiatoire, intention démonstrative, intention purement agressive. Cette intention étant ainsi comprise, qu’on observe comment la transmet le langage ? Selon deux modes dont l’analyse est riche d’enseignement : elle est exprimée, mais incomprise du sujet, dans ce que le discours rapporte du vécu, et ceci aussi loin que le sujet assume l’anonymat moral de l’expression : c’est la forme du symbolisme ; elle est conçue, mais niée par le sujet, dans ce que le discours affirme du vécu, et ceci aussi loin que le sujet systématise sa conception : c’est la forme de la dénégation. Ainsi l’intention s’avère-t-elle, dans l’expérience, inconsciente en tant qu’exprimée, consciente en tant que réprimée. Cependant que le langage, d’être abordé par sa fonction d’expression sociale, révèle à la fois son unité significative dans l’intention, et son ambiguïté constitutive comme expression subjective, avouant contre la pensée, menteur avec elle. Remarquons en passant que ces rapports, que l’expérience offre ici à l’approfondissement phénoménologique, sont riches de directive pour toute théorie de la « conscience », spécialement morbide, leur incomplète reconnaissance rendant caduques la plupart de ces théories.
Mais poursuivons la décomposition de l’expérience. L’auditeur y entre donc en situation d’interlocuteur. Ce rôle, le sujet le sollicite de le tenir, implicitement d’abord, explicitement bientôt. Silencieux pourtant, et dérobant jusqu’aux réactions de son visage, peu repéré au reste en sa personne, le psychanalyste s’y refuse patiemment. N’y a-t-il pas un seuil où cette attitude doit faire stopper le monologue ? Si le sujet le poursuit, c’est en vertu de la loi de l’expérience ; mais s’adresse-t-il toujours à l’auditeur vraiment présent ou maintenant plutôt à quelque autre, imaginaire mais plus réel : au fantôme du souvenir, au témoin de la solitude, à la statue du devoir, au messager du destin ?"
"Mais dans sa réaction même au refus de l’auditeur, le sujet va trahir l’image qu’il lui substitue. Par son imploration, par ses imprécations, par ses insinuations, par ses provocations et par ses ruses, par les fluctuations de l’intention dont il le vise et que l’analyste enregistre, immobile mais non impassible, il lui communique le dessin de cette image. Cependant, à mesure que ces intentions deviennent plus expresses dans le discours, elles s’entremêlent de témoignages dont le sujet les appuie, les corse, leur fait reprendre haleine : il y formule ce dont il souffre et ce qu’il veut ici surmonter, il y confie le secret de ses échecs et le succès de ses desseins, il y juge son caractère et ses rapports avec autrui. Il informe ainsi de l’ensemble de sa conduite l’analyste qui, témoin lui-même d’un moment de celle-ci, y trouve une base pour sa critique. Or, ce qu’après une telle critique cette conduite montre à l’analyste, c’est qu’y agit en permanence l’image même que dans l’actuel il en voit surgir. Mais l’analyste n’est pas au bout de sa découverte, car à mesure que la requête prend forme de plaidoirie, le témoignage s’élargit de ses appels au témoin ; ce sont des récits purs et qui paraissent « hors du sujet » que le sujet jette maintenant au flot de son discours, les événements sans intention et les fragments des souvenirs qui constituent son histoire, et, parmi les plus disjoints, ceux qui affleurent de son enfance. Mais voici que parmi ceux-là l’analyste retrouve cette image même que par son jeu il a suscitée du sujet, dont il a reconnu la trace imprimée en sa personne, cette image, qu’il savait certes d’essence humaine puisqu’elle provoque la passion, puisqu’elle exerce l’oppression, mais qui, comme il le fait lui-même pour le sujet, dérobait ses traits à son regard. Ces traits, il les découvre dans un portrait de famille : image du père ou de la mère, de l’adulte tout-puissant, tendre ou terrible, bienfaisant ou punisseur, image du frère, enfant rival, reflet de soi ou compagnon.
Mais cette image même que le sujet rend présente par sa conduite et qui sans cesse s’y reproduit, il l’ignore, aux deux sens du mot, à savoir : que ce qu’il répète, qu’il le tienne ou non pour sien, dans sa conduite, il ne sait pas que cette image l’explique, – et qu’il méconnaît cette importance de l’image quand il évoque le souvenir qu’elle représente. Or, cependant que l’analyste achève de reconnaître cette image, le sujet par le débat qu’il poursuit, achève de lui en imposer le rôle. C’est de cette position que l’analyste tire la puissance dont il va disposer pour son action sur le sujet."

faitpaslefou
2021-10-29 09:26:43

Le 29 octobre 2021 à 09:22:21 :

Le 29 octobre 2021 à 09:20:16 :
A vider mon compte en banque :)

n'empeche les psys quelle bande de s4lopes,vidé la cb mais garder nos burnes pleines ,courage kheyouhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Cimer !
Mais en fait je ne sais pas comment faire pour avancer. J’ai grandi avec des gens violents et qui m’ont rabaissé toute ma vie. Moi même je me considère comme un moins que rien, je ne fais confiance à personne et j’ai 0 amis. A 30 ans célibataire pulco. Je croyais que les psy allaient pouvoir m’ader À aller de l’avant mais en fait non

subulatex
2021-10-29 09:26:48

Le but c'est de t'accompagner favorablement. Mais la profession est médiocre.

Je suis psy (psychiatre) et le but c'est de faire émerger le changement chez le patient. Avec différents outils : entretien motivationnel, thérapie de soutien, TCC, etc. Et surtout poser un bon diagnostic au préalable.

L'alliance thérapeutique c'est 80% du travail au final. Si les capacités d'introspection interne sont bonnes, la réussite est souvent au RDV avec un bon praticien.

sapolerie
2021-10-29 09:28:37

Le 29 octobre 2021 à 09:26:48 :
Le but c'est de t'accompagner favorablement. Mais la profession est médiocre.

Je suis psy (psychiatre) et le but c'est de faire émerger le changement chez le patient. Avec différents outils : entretien motivationnel, thérapie de soutien, TCC, etc. Et surtout poser un bon diagnostic au préalable.

L'alliance thérapeutique c'est 80% du travail au final. Si les capacités d'introspection interne sont bonnes, la réussite est souvent au RDV avec un bon praticien.

ah ouehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

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