StaciieeJaxxx
2021-10-19 22:35:48
Je prend le terme anglo-américain car c'est la bas que cette pratique se fait le plus, même si ça arrive en Francehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520256134-risitasue2.png
Qu'est ce que c'est ? C'est tout simplement une modification du pénis.... Bref on coupe le pénis dans le sens verticalhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520256134-risitasue2.png
Pourquoi ??https://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520256134-risitasue2.png
En fait il y a plusieurs raisons et généralement ce sont les sissy soumise qui se font ainsi mutiler par leurs maîtres/maîtresseshttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520256134-risitasue2.png
Une sissy soumise ne doit pas pourvoir se servir de sa bite, et certaines choisissent de ne plus jamais pouvoir s'en servirhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520256134-risitasue2.png
De plus la bissection ainsi pratiquer donne à la bite un aspect de vulve, chose que bcp de sissy recherchenthttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520256134-risitasue2.png
Ainsi les sissy prennent du plaisir comme des femmes et "mouilles" (éjacules) en couler à partir de la base de leurs pénis (comme les femmes)https://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520256134-risitasue2.png
Maintenant un témoignage d'une personne française qui a eu recours à ce procéder (pas une sissy, une personne pan fan de modification corporelle)... ATTENTION : PAS DE RAID OU DE JUGEMENT CHACUN FAIT CE QU'IL VEUT DE SON CORPS
Vu que j’y suis invité, je tiens à faire partager mon expérience sur les mods génitaux que j’ai commencé tard dans ma vie.
C’est que mon éducation judéo-chrétienne été réfractaire longtemps à toute modification corporelle...
Et oui j’ai 54 ans.
En 2014 j’ai franchis le pas avec mon premier tatouage sur le bras. Je crois que j’ai dû hésiter au moins une semaine avant d’entrer dans le shop. Pendant 2 ans j’ai fais tatoué mon corps,dos, pec, jambe... La notion de piercing me titillait, je voulais un Prince Albert et un piercing du nombril. Ma compagne de l’époque a sauté sur l’occasion pour elle aussi s’en faire poser un.
Je continuais mes tattoos sur le ventre, pubis et le penis (gland compris) tout en augmentant la taille de mon PA jusqu’à 15 mm. Et vu que j’avais brûlé les étapes, ce qui devait arriver arriva : rupture du meat du gland et du frein. Au lieu de me lamenter je perçais moi-même un ampallang de 3 mm d’epaisseur et le complétait par un apadravya de même taille : la croix magique que j’ai porté ensuite en 6 mm pendant 2 ans. Mes expériences m’avaient aguerri concernant la douleur et les saignements. je perçais à nouveau un apadravya dans la tige du penis derrière le gland.
Je m’intéressais de plus en plus aux modifications génitales et vu que le rentre dedans ne m’a jamais vraiment passionné (je préfère les préliminaires et tout ce qui est visible dans la sexualité) et que je me trouvais de nouveau célibataire, je dévorais l’histoire de BME et de Shannon larratt et de ses expériences bdsm et de modifications corporelles. Petit à petit j’affinais mon choix : une bissection complète du pénis jusqu’au bas ventre.
Un jour, j’ai sauté le pas : sans crème antidouleur type Enema, beaucoup de volonté et de patience car je savais que se serait long, très long.
La première année avait pour objectif de pratiquer une subincision jusqu’au scrotum (et de toute façon j’aime mieux être assis pour « pisser »). Je termine l’incision fatale pour le canal urinaire en août 2019.
De là je commence la superincision du gland qui se trouve rapidement divisé en deux grâce aux orifices des piercings. Pour la tige du pénis ce n’est pas la même affaire, le tissu est dur et il faut trancher une grosse veine. Frayeur hémorragique de quelques heures malgré le garrot... Bref leçon numéro 1 y aller doucement. Le tranchant du scalpel n’est pas spécialement douloureux sauf lorsque on titille un nerf et là il faut s’y reprendre à plusieurs fois en serrant les dents...
L’avancement de la coupe se fait par étape d’environ 1 cm à chaque séance. J’arrête de couper lorsque il y a trop de saignements. 15 jours d’arrêt voire un mois pour la guérison et je recommence. Une coupe dessous, une dessus, un arrêt cicatrisation et je coupe le milieu...
Aujourd’hui je suis à la fin du processus de la bissection. Encore 3 séances et j’aurais terminé.
Mais qu’est ce que cette division de mon membre a bien pu m’apporter me direz vous : Sans doute de me différencier des autres, un côté original satisfait, une esthétique particulière qui me plait, ne plus appartenir seulement à un seul genre car j’ai toujours penché vers la pansexualité. Et puis deux bites c’est plus rigolo !
Source : http://www.bodywork.fr/viewtopic.php?f=13&t=13529&sid=824fdac262b0303244120ac966757088