Papayent
2021-10-21 17:23:49
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Il est de ces drames dont les civilisations gardent une rancoeur tenace, et l’Afghanistan, de cette règle immuable, ne retirera qu’une indicible amertume. La peine de son peuple sera d’autant plus grande que ses terres, blotties entre les montagnes et semées de grands lacs d’eau pure, ont par toujours été généreusement dotées en CROUPES rebondies, en FESSIERS célestes, qui furent comme des soleils dans le coeur des hommes. Hélas, ces astres lumineux seront dorénavant assombris par une éclipse diabolique qui s’est levée et ne semble plus se coucher. Cette obscurité de l’esprit mais aussi des FIAKS, l’Afghanistan la doit aux talibans, ces guerriers hirsutes et impétueux qui font tonner la mitraille et les canons depuis maintenant quatre décennies.
Le pays des Pachtounes avait pourtant connu une éclaircie, apportée en premier par les hommes de l’Est, ces ogres blonds posés sur leurs chars de fer, qui partout hissaient la bannière rouge. L’Ouest y avait sottement vu une manoeuvre de l’URSS pour installer un gouvernement communiste en pays étranger, mais les plus avertis ne se sont pas laissés prendre, et savaient que la motivation des bolchéviques tenait en l’appropriation des FIONS des Afghanes. Pendant dix ans, les Russes ont goûté au sain délice des croisements humains, entre tribus persanes égarées, chevaliers arabes et mongols, eux seuls capables de produire des TARPÉS aussi magistraux. À l’instar de l’empereur Ahmad Shâh Durrani pendant son règne, les Slaves fougueux se constituèrent des harems où ces BOULES, délicatement massés à l’huile de sésame de Mazar-i-Shari, proliférèrent.
Puis l’ours soviétique, lassé de voir ses fils éventrés par des mines talibanes, et ses hélicoptères foudroyés par des missiles FIM-92 STINGER, s’en alla pour retourner à ses froides contrées. Mais les DERCHES, eux, restèrent, et ce fut ensuite l’aigle américain qui s’abattit en rapace sur le pays. Les Yankees firent ripaille de ces CROUPIONS à la vue et au su du monde, et dans tous les États-Unis, de jeunes hommes s’engagèrent dans l’armée avec l’espoir secret d’un jour atterrir à Kaboul, et de pouvoir, eux aussi, profiter des impériaux SÉANTS des Afghanes. Le 46ème président des États-Unis, Joe Robinette Biden Jr., enterra tout leurs espoirs, et en ce jour, la nuit est revenue en Afghanistan. Ces CULS juteux seront désormais recouverts d’étoffes épaisses, et soustraits à jamais à la vue des étrangers : les talibans espèrent ainsi faire cesser la convoitise des autres sur leur pays.