Je fais ce topic principalement pour moi seul, afin de m'organiser pour les 6 prochains mois, mais vous pouvez vous y glisser.
Pour commencer, je prévois les lectures suivantes :
- La recherche de Proust, complète (à acheter seulement)
- Guerre et paix (à acheter seulement)
- Anna Karénine
- Les carnets du sous-sol
- Les démons
- Aurélien
- Mort à crédits
- Un roi sans divertissement
- Thérèse Desqueyroux
- La gloire de mon père
- L'insoutenable légèreté de l'être
- Martin Eden
- Le nouveau testament
- La divine comédie
- Illusions perdus
- Sur la route
- Lorenzaccio
- Mort à Venise
- L'idiot
- L'énnéide
- La femme de trente ans
- Tendre est la nuit
- Les diaboliques
- Le neveu de Ramau
- A rebours
Je n'ai pas spécialement d'ordre, et quand tout cela sera lu, j'enchaîne dans cet ordre :
- Être et temps
- Apports à la philosophie : de l'avenance
- Les méditations cartésiennes
- Idées directrices pour une phénoménologie et une philosophie phénoménologique pures
- Phénoménologie de la Perception
- L'essence de la manifestation
- Philosophie et phénoménologie du corps
- Totalité et Infini
Les livres à acheter :
Anglais - oral
Espagnol - les bases
https://www.mosalingua.com/blog/2018/12/09/vocabulaire-espagnol-par-theme/
Achats :
- Bâtons de marche
- Sac à viande (sol bivy escape)
- Polaire légère
Divers
- Demande de passeport
- Réactualisation de la carte d'identité
- Rattraper tous les vaccins
- Réécrire mon recueil de poèmes
- Réécrire mes notes du GR10
Je commence à lire La mort à Venise demain, et je vais écouter les premiers épisodes en anglais
J'ai terminé La mort à Venise de Thomas Mann
Ce roman est en tout point opposé à L'amour au temps du choléra de Marquez, malgré le contexte identique :
- Le roman de Marquez est très long, il relate toute une vie. Celui de Mann est très court, et expédie une tranche de vie en moins de deux mois
- L'amour dans le roman de Marquez est profond, tenace, c'est une force tranquille. Chez Mann, c'est une pulsion fulgurante, c'est la jouissance de la beauté immédiate.
- L'amour chez Marquez est conventionnel, noble, chez Mann, il est déviant, honteux, puisqu'il s'agit qu'un cinquantenaire amoureux d'un adolescent.
Contrairement à Lolita de Nabokov, le roman de Mann ne s'attarde pas particulièrement sur la relation déviante. D'ailleurs, le héro et son amant n'échangerons aucunes paroles, le pas n'est jamais franchi. Au sommet de sa fougue, le vieux personnage prend son jeune amant en filature, l'observe de loin, mais l'interdit n'est violé qu'en pensée. Oui, il est amoureux d'un adolescent, mais il ne matérialisera pas cet amour, il se contentera d'en jouir honteusement en pensée.
Mann propose plutôt une réflexion sur la beauté. La beauté de l'adolescent commence par être exceptionnel, puis, étant toujours croissante, elle s'approche du divin, l'amant étant comparé à des figures mythologiques puis à Dieu lui-même. Or, en voulant jouir de cette beauté, le personnage écrivain abaisse son esprit, diminue sa noblesse, se laisse emporter dans le tourbillon de ses désirs qui l'ensauvagent, lui, l'académicien modèle, fier et respecté.
Cet amour est honteux, la filature est honteuse, les regards persistants le sont tout autant, il ira jusqu'à se maquiller pour ressembler à cette jeunesse qu'il désir ardemment. La beauté est le pont sensible entre le monde terrestre et le divin, disait Platon. Or, celui qui veut la posséder se rend hideux en produisant des actes laids pour y parvenir : telle est la fatalité du poète dont la quête du beau mène à cette forme de dégénérescence
Je suis en profond désaccord philosophique avec Thomas Mann, qui est manifestement inspiré par Platon. C'est pourquoi cette lecture a été assez pénible, l'œuvre ne m'a pas particulièrement touché. J'ai recensé toutefois quelques paragraphes où le style de Mann culminait, et mon attention devenait alors plus intense. Passages trop rares, hélas.
J'ai noté quelques nouveaux mots :
Bastingage : La barrière de protection sur le pont d'un navire
Folâtre : Ce qui est follement gai et plaisantin, à la manière d'un enfant
Chevroter : Parler d'une voix tremblante
Gargote : Restaurant bas de gamme
J'ai terminé Thérèse Desqueyroux de Mauriac
Tout simplement prodigieux ! C'est la première fois que je lis Mauriac, et il ne me déçoit pas !
Comment ne pas penser à Maupassant et à Flaubert en lisant Thérèse Desqueyroux ? Cette campagnarde, en effet, subit un mariage arrangé avec un mari médiocre, qui ne l'aime pas, ou mal.
Mais tout le génie de Mauriac réside dans cette différence subtile : à aucun moment Thérèse n'a été innocente. Elle est une femme d'esprit, garçonne, qui ne croit rien de ce que racontent les romans d'amour, contrairement à Emma Bovary et Jeanne qui sont des femmes ordinaires, abreuvées de fantasmes et de mauvaise littérature.
Lorsqu'elle est enceinte, Thérèse n'est pas illuminée d'espoir, de joie et d'illusion : elle est un fardeau et voudrait que la chiard ne naisse jamais. De même, lorsqu'elle devient mère, elle délaisse son enfant, qui ne l'intéresse pas le moins du monde. Son mariage n'est pas particulièrement heureux non plus, mais elle semble résignée, prend la situation avec un flegme inouï, malgré sa souffrance liée à la solitude d'un esprit que personne n'aime et ne comprend.
Une interrogation me taraudait alors : comment une femme d'esprit comme elle a-t-elle pu se laisser prendre dans cette vie dont elle ne voulait vraisemblablement pas ? C'est très simple : elle l'a fait par devoir envers sa famille. Mais bientôt, elle ne pouvait plus supporter cette situation, et elle devait en sortir : plutôt que de se laisser aller à la mélancolie durant des années, elle a entreprit d'empoisonner son mari en mettant ça sur le dos de sa maladie au cœur. De cette façon, elle préserve les valeurs de sa famille tout en évitant une existence morne auprès d'un homme rustre et égoïste.
La tentative échoue, ça se sait, et elle devient une honte pour la famille, dont elle se fera exclure progressivement.
Il y a des passages tout-à-fait ingénieux qui mettent en relief la personnalité de Thérèse : elle rencontre un jeune homme du village qui étudie à Paris. Elle s'éprend vaguement de lui, parce que malgré sa laideur, il est le seul individu ayant de l'esprit dans le coin. Mais un fossé les sépare : le jeune homme appartient à l'élite parisienne, tandis qu'elle n'est qu'une campagnarde. Sa pensée est plus complexe, il domine Thérèse qui n'a pas le bagage pour penser aussi bien que lui. Elle fait parvenir quelques livres dont il lui parle, mais elle est incapable de les lire à cause de leur complexité. Thérèse a effectivement un bel esprit, mais sa classe sociale la rattrape : elle n'égale pas en savoir et en profondeur la bourgeoisie parisienne.
De la même façon, elle domine son mari, qui est intellectuellement incapable de soutenir une conversation avec elle. Pourtant, elle mène une existence par conventionnalisme, car c'est ce que sa famille attend d'elle. Il ne lui est pas venu l'idée de refuser la mariage, de répudier cette campagne, de gagner la ville pour s'élever. Mais d'un autre côté, elle transgresse les mœurs du village en se comportant à bien des égards comme un garçon.
Une impression me vient alors : Thérèse ne peut pas s'empêcher d'être elle-même, une femme intelligente qui a quelques idées ; mais elle est incapable de se dépasser, d'accroître sa connaissance, d'inventer son avenir. Ni tout-à-fait moderne, ni tout-à-fait conventionnelle, est elle isolée entre deux monde qui lui sont étrangers : la campagne conservatrice qui est trop basse pour elle, et la ville intellectuelle qui lui est inaccessible en pratique et en théorie, jusqu'à la fin où s'ouvre le roman.
Thérèse m'a fasciné, par ses ambiguïtés, ses ambivalences, son originalité : c'est un personnage unique, réaliste et complexe ; elle est une femme que l'on ne peut pas enfermé dans une catégorie, et c'est pourquoi elle méritait un traitement littéraire
Nouveaux mots :
Caqueter : Jaqueter
Rétif : Récalcitrant
La brande : Ensemble de buisson dominés par la bruyère, présents dans le sud-ouest
Pavé+ lire des romans pour augmenter ses capacités intellectuelles , premier golem
Le 07 octobre 2021 à 00:10:36 :
Pavé+ lire des romans pour augmenter ses capacités intellectuelles , premier golem
Qui m'a envoyé ce demi-habile ?
Je rajoute un livre :
Melmoth
Ainsi des que des films :
Happy Together
Made In Hong Kong
Zatoïchi
L'intendant Sansho
Chantons sous la pluie
Boulevard du crépuscule
M le maudit
La nuit du chasseur
Les 7 samouraïs
Barberousse (65)
Entre le ciel et l'enfer
Drive my car
Dune
Onoda
Cowboy bebop l'anime à finir aussi
Belle initiative khey
La vidéo de Pepa Pig entre des chef d'œuvres de littérature m'a bien fait rire nonobstant
Le 07 octobre 2021 à 15:47:24 :
Belle initiative kheyLa vidéo de Pepa Pig entre des chef d'œuvres de littérature m'a bien fait rire nonobstant
Je suis une calamité à l'oral, j'en suis réduit à ça pour revoir les bases
Je viens de finir Le neveu de Rameau, de Diderot.
C'est une œuvre immensément riche, dont je ne pourrais pas tout dire, à mi chemin entre le dialogue philosophique et le théâtre comique. Diderot se met en scène, dialoguant avec un bouffon. Ce sont les deux uniques personnages.
Le personnage de Diderot est sans ambiguïté, c'est un philosophe digne, qui aime la vertu et haït le vice. Le bouffon en revanche, est hautement intéressant, parce qu'il est ambivalent. D'un côté, il soutien une. éthique crasse, et s'enorgueillit d'être vil, d'accomplir des méfaits, de trahir Il est à la fois hédoniste et cynique. Contrairement à Diogène, il ne rejette pas les normes : il en joue pour en tirer profit, en trompant ses bienfaiteurs. De plus, contrairement au philosophe grec, le neveu de Rameau souffre continuellement de manquer de biens qu'il ne possède pas. Ainsi, il n'est ni bon, ni sage. Il le sait, le déclare et en est fier.
Mais d'un autre côté, ce bouffon est capable de la plus grande sagesse, en portant sur certains sujet une vérité profonde. Mieux encore, il est un esthète dont le goût musical est beaucoup plus élevé que celui de Diderot. Il n'est pourtant pas contradictoire, parce qu'il perçoit de la beauté dans le crime : il admire les scélérats les plus ingénieux, qu'il trouve sublime.
Par l'intermédiaire du personnage du bouffon, Diderot présente sa théorie esthétique. Elle est la même tout au long de sa vie : l'art doit prendre pour modèle ce qui est pleinement vivant et non ce qui est faux, joué. Et cette vie, on ne la trouve qu'en observant des gens ordinaires, qui s'adonnent à des passions quotidiennes et non contrôlées. Tout ce qui est sophistiqué, faux, imité, plonge l'art dans l'ennui, dans la morte immobilité, dans la fadeur. Seule la vie insuffle à l'art cette énergie, ce mouvement passionné qui provoque des émotions vraies. C'est pourquoi Diderot ne cesse d'appeler à briser les codes académiques, qui tendent à endormir la vie en l'enfermant dans un cadre figé et ennuyeux.
" Rien de si plat qu'une suite d'accords parfaits " affirme le neveu de Rameau, et il a raison ! C'est trop scolaire, trop prévisible, ceux qui répètent des accords classiques à la guitare produisent une musique convenue, sans âme. C'est en tordant ces accords, en insérant des notes disharmonieuses mais inattendues que la passion s'exprime.
De l'autre côté, Diderot présente sommairement une éthique en passant par son personnage. Face au bouffon qui utilise autrui, qui manque de tout, qui fantasme sur ce qu'il n'a pas, qui est prêt à toutes les vilénies pour le posséder, Diderot propose une morale ma foi très classique qui consiste à prendre plaisir à faire le bien, à jouir des plaisirs sensibles avec modération, à ne rien désirer de ce qu'il n'a pas déjà, de ne pas s'abaisser à la vilénie, sous aucun prétexte.
Mais n'est-ce pas précisément une perfection ennuyeuse, qui manque de vie, qui n'est pas naturelle ? C'est du moins ce rétorque le bouffon, et non sans raison, puisqu'il se raccorde à sa théorie de l'art. Les dignes gens ne font il que mimer la vertu qu'ils prétendent posséder ? C'est du moins le cas si les actes et les valeurs ne coïncident pas, répond Diderot. Y a t-il une perfection morale qui ne serait pas simplement un jeu sans vie, y a t-il une éthique honnête et vivante à la fois ? Cette question ne sera pas résolue dans cet ouvrage.
Quoi qu'il en soit, le bouffon impose en retour sa propre éthique, dans lequel le vice est légitime et assumé. Mais la morale du bouffon ne triomphe jamais, car il est éternellement malheureux, ce qui laisse penser qu'il est impossible pour l'éthique de se calquer sur l'esthétique. Et c'est là, je pense, la deuxième thèse majeur et innovante de l'ouvrage.
Nouveaux mots :
Grabat : Un lit misérable
Métacarpe : l'ensemble osseux de la main
Cossu : adjectif pour ce qui dénote la richesse
Avanies : traitements humiliants
Fureter : fouiner
Je viens de finir Le neveu de Rameau, de Diderot.
C'est une œuvre immensément riche, dont je ne pourrais pas tout dire, à mi chemin entre le dialogue philosophique et le théâtre comique. Diderot se met en scène, dialoguant avec un bouffon. Ce sont les deux uniques personnages.
Le personnage de Diderot est sans ambiguïté, c'est un philosophe digne, qui aime la vertu et haït le vice. Le bouffon en revanche, est hautement intéressant, parce qu'il est ambivalent. D'un côté, il soutient une éthique crasse, et s'enorgueillit d'être vil, d'accomplir des méfaits, de trahir. Il est à la fois hédoniste et cynique. Contrairement à Diogène, il ne rejette pas les normes : il en joue pour en tirer profit, en trompant ses bienfaiteurs. De plus, contrairement au philosophe grec, le neveu de Rameau souffre continuellement de manquer des biens qu'il ne possède pas. Ainsi, il n'est ni bon, ni sage. Il le sait, le déclare et en est fier.
Mais d'un autre côté, ce bouffon est capable de la plus grande sagesse, en portant sur certains sujet une vérité profonde. Mieux encore, il est un esthète dont le goût musical est beaucoup plus élevé que celui de Diderot. Il n'est pourtant pas contradictoire, parce qu'il perçoit de la beauté dans le crime : il admire les scélérats les plus ingénieux, qu'il trouve sublime.
Par l'intermédiaire du personnage du bouffon, Diderot présente sa théorie esthétique. Elle est la même tout au long de sa vie : l'art doit prendre pour modèle ce qui est pleinement vivant et non ce qui est faux, joué. Et cette vie, on ne la trouve qu'en observant des gens ordinaires, qui s'adonnent à des passions quotidiennes et non contrôlées. Tout ce qui est sophistiqué, faux, imité, plonge l'art dans l'ennui, dans la morte immobilité, dans la fadeur. Seule la vie insuffle à l'art cette énergie, ce mouvement passionné qui provoque des émotions vraies.
C'est pourquoi Diderot ne cesse d'appeler à briser les codes académiques, qui tendent à endormir la vie en l'enfermant dans un cadre figé et ennuyeux. C'est également pourquoi ce dialogue n'est pas une construction pyramidale sur une base d'ignorance jusqu'au sommet de la vérité, comme le fait Platon quand il n'est pas aporétique. Le dialogue de Diderot est un capharnaüm, le bouffon lance ici et là des idées diverses, bien que le personnage de Diderot s'efforce de garder une ligne de discussion constante et cohérente. Il en résulte une œuvre vivante et logique à la fois, à l'image de ce que Diderot conçoit de l'esthétique.
" Rien de si plat qu'une suite d'accords parfaits " affirme le neveu de Rameau, et il a raison ! La perfection formelle est trop scolaire, trop prévisible : ceux qui répètent des accords classiques à la guitare produisent une musique convenue, sans âme. C'est en tordant ces accords, en insérant des notes disharmonieuses mais inattendues que la passion s'exprime.
De l'autre côté, Diderot présente sommairement une éthique en passant par son personnage. Face au bouffon qui utilise autrui, qui manque de tout, qui fantasme sur ce qu'il n'a pas, qui est prêt à toutes les vilénies pour le posséder, Diderot propose une morale ma foi très classique qui consiste à prendre plaisir à faire le bien, à jouir des plaisirs sensibles avec modération, à ne rien désirer de ce qu'il n'a pas déjà, de ne pas s'abaisser à la vilénie, sous aucun prétexte.
Mais n'est-ce pas précisément une perfection ennuyeuse, qui manque de vie, qui n'est pas naturelle ? C'est du moins ce rétorque le bouffon, et non sans raison, puisqu'il se raccorde à sa théorie de l'art. Les dignes gens ne font il que mimer la vertu qu'ils prétendent posséder ? C'est du moins le cas si les actes et les valeurs ne coïncident pas, répond Diderot. Y a t-il une perfection morale qui ne serait pas simplement un jeu sans vie, y a t-il une éthique honnête et vivante à la fois ? Cette question ne sera pas résolue dans cet ouvrage.
Quoi qu'il en soit, le bouffon impose en retour sa propre éthique, dans laquelle le vice est légitime et assumé. Mais la morale du bouffon ne triomphe jamais, car il est éternellement malheureux, ce qui laisse penser qu'il est impossible pour l'éthique de se calquer sur l'esthétique. Et c'est là, je pense, la deuxième thèse majeure et innovante de l'ouvrage.
Nouveaux mots :
Grabat : Un lit misérable
Métacarpe : l'ensemble osseux de la main
Cossu : adjectif pour ce qui dénote la richesse
Avanies : traitements humiliants
Fureter : fouiner
Demain, je commence à lire l'Idiot de Dostoïevski
Je vais aussi prendre RDV pour le deuxième vaccin covid et regarder mon carnet de santé pour voir tous les vaccins obligatoires que j'ai à rattraper
Super intéressant tes critiques ! Tu prévois de poster ton avis sur les films que tu as listé ?
Le 10 octobre 2021 à 18:46:09 :
Super intéressant tes critiques ! Tu prévois de poster ton avis sur les films que tu as listé ?
Je ne pense pas, je le fait exceptionnellement sur SensCritique quand un film ne me plait pas trop en général
Le 10 octobre 2021 à 18:48:27 :
Le 10 octobre 2021 à 18:46:09 :
Super intéressant tes critiques ! Tu prévois de poster ton avis sur les films que tu as listé ?Je ne pense pas, je le fait exceptionnellement sur SensCritique quand un film ne me plait pas trop en général
Tu as un compte senscritique ?
Je serais intéressé pour le voir
Le 10 octobre 2021 à 19:06:29 :
Le 10 octobre 2021 à 18:48:27 :
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Je serais intéressé pour le voir
https://www.senscritique.com/Eussoudore Voici
Si t'en as un aussi, on partage
Le 10 octobre 2021 à 19:07:24 :
Le 10 octobre 2021 à 19:06:29 :
Le 10 octobre 2021 à 18:48:27 :
Le 10 octobre 2021 à 18:46:09 :
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https://www.senscritique.com/Eussoudore Voici
Si t'en as un aussi, on partage
Merci, Je te l'envoie en mp
Le 10 octobre 2021 à 19:09:28 :
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Merci, Je te l'envoie en mp
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Le 10 octobre 2021 à 19:10:56 :
peppa pig ???
Oui, je suis vraiment une catastrophe à l'oral, retour aux bases