V-R-S
2021-09-27 00:03:15
HIROSHIMA ET NAGASAKI, JAPON (1945)
https://youtu.be/141Q8oJAEyY?t=293
Hiroshima :
Dans cette destruction de l’humanité, voici le double et tout puissant miracle surnaturel survenu à Hiroshima et à Nagasaki, où les missionnaires jésuites (Hiroshima) et franciscains (Nagasaki), baignant quotidiennement dans l’aura spirituel du Rosaire, seront ÉPARGNÉS des radiations mortelles des deux bombes atomiques américaines larguées les 6 et 9 août 1945, au Japon. Encore aujourd’hui, le monde scientifique, dérouté, n’y trouve aucune explication dans leur cas. Ce feu nucléaire a pourtant fait 500,000 morts.
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Sortis indemnes, les quelque quinze moines, sans excès d’angélisme, se trouvaient très proches du point d’impact des deux bombes, lancées sans avertissement ni cri d’alarme.
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Condamnés comme tous les habitants, ils ne furent nullement touchés par les radiations, ni par les rayonnements. Et de même, aucunement par le souffle et la chaleur infernale de chacune des bombes. Fascinant! Aucune extase mortelle! Dans cet enfer de feu, un demi-million de japonnais furent pourtant anéantis par les deux bombes.
À Hiroshima, les huit Jésuites allemands ainsi épargnés, habitaient une maison de style japonnais près de l’église. Et celle-ci n’était, en fait, située qu’à 8 immeubles de l’épicentre de l’explosion, soit moins d’un kilomètre. La ville comptait 20 000 catholiques sur les quelque 200 000 âmes.
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(Photo du missionnaire jésuite Hubert Schiffer, ce rescapé âgé de 30 ans en 1945. Il meurt à 63 ans.)
Puisque l’onde de choc a tout détruit sur deux kilomètres, ces missionnaires franciscains devaient fatalement trouver la mort comme tous les autres citoyens. À la stupéfaction des médecins, hébétés et confus par l’ampleur de la monstrueuse catastrophe, le corps secoué et meurtri des religieux examiné par eux, ne souffrait d’aucun rayonnement ni de mauvais effets de la bombe. Aucune contamination en vue
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Les rescapés ont été examinés par des dizaines d’experts et plus de 200 fois au cours des années qui suivirent la tragédie, sans qu’aucune trace de radiation ne soit trouvée dans leurs corps.
L’explication des religieux, un clair regard de la foi (qui l’emporte sur toute forme de destruction) est un défi retentissant qui renvoie immédiatement les médecins à leur conscience, leur propre conscience et non à leur science rigoureuse restée ici figée, incapable d’explication rationnelle.
Les scientifiques laissés au seuil du mystère.
Ils ne comprennent absolument pas cette survie.
Au centre de l’explosion, il a fait 300 000 degrés celcius. Au sol, 600 mètres plus bas: 3 000 degrés. Dans un rayon de 3 km, 10 000 immeubles furent détruits par le souffle, 50 000 par les incendies. Hiroshima se trouve alors coupée du monde, le gouvernement japonais ne sera mis au courant qu’en fin de soirée.
Nagasaki: le couvent et les franciscains aussi épargnés.
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(Le couvent des franciscains et leurs occupants ont été épargnés comme l’atteste la photo.)
Aussi immédiate que subite, la deuxième bombe atomique sur Nagasaki, ce 9 août 1945, rasait cette ville avec la même intense désolation… et le même miracle surgissait pour les franciscains et leur couvent épargnés, Le Jardin de l’Immaculée, lieu du Rosaire quotidien, construit en 1930 par Maximilien Kolbe, canonisé le 10 octobre 1982.
Le Seigneur l’avait inspiré de l’ériger derrière la crête d’une colline. Ce qui allait protéger la bâtisse et ses occupants de l’explosion.
Le jésuite Hubert Schiffer décrit les instants de l’explosion sur Hiroshima
Dans la matinée du 6 août 1945, le jésuite allemand Hubert Schiffer, âgé de 30 ans, terminait la célébration eucharistique à l’église. Regagnant le presbytère pour prendre son déjeuner, il s’attabla et s’est mis à couper un pamplemousse en petites tranches.
Dès qu’il mit sa cuillère dans le fruit, un aveuglant éclair surgit, illumine la pièce et pénètre tout son être. Moment irrationnel, extrême à dérégler le temps. Aucune apparition mystique en vue. Plutôt une tromperie diabolique machinée. Le prêtre, pris de vertige, racontera la suite en ces mots:
- «Soudain, une terrible explosion remplie l’air dans un coup de tonnerre. Une force invisible me fait lever de ma chaise, me propulse dans les airs, me secoue, me bat, me fait tourbillonner comme une feuille dans une rafale de vent d’automne…»
Il ajoute que la première chose dont il se rappelle, c’est qu’en ouvrant les yeux, le voilà par terre, jeté au sol. Regardant autour de lui, il ne voit rien, tout est rasé dans toutes les directions. la gare et les bâtiments ont disparu. La vie s’est anéantie à jamais.
- «Puis tout a été plongé dans l’obscurité. Je n’étais pas inconscient, parce que j’essayais de penser à ce qui s’était passé. Avec mes doigts, je me suis senti dans l’obscurité totale. J’ai pensé que j’étais mort! Puis, j’ai entendu ma propre voix. Ce fut l’expérience la plus effrayante de toutes. Il m’a montré que j’étais vivant, et a grandi en moi la terrible certitude qu’un terrible désastre était arrivé…»
Les médecins de l’armée et les scientifiques lui ont expliqué que son corps allait commencer à se détériorer en raison de la radiation. Beaucoup de japonais avait des cloques et des plaies de la radiation. À la stupéfaction des médecins, le corps du Père Schiffer ne contenait pas de rayonnement ou de mauvais effets de la bombe.
Les prêtres jésuites Hugo Lasalle, Hubert Schiffer, Wilhelm Kleinsorge et Hubert Cieslik étaient dans le presbytère de l’église Notre-Dame de l’Assomption au moment de la déflagration. L’église est l’un des rares bâtiments à avoir résisté au souffle de la bombe, rapporte l’agence d’information catholique américaine CNA.
Le Père Cieslik a indiqué dans son journal que lui et ses confrères n’avaient souffert que de légères blessures, causées par la brisure des fenêtres. Les docteurs qui les ont examinés par la suite les avaient avertis que la dose radioactive reçue produirait de sérieuses lésions des tissus, qu’ils tomberaient rapidement malades et mourraient prématurément. Ce diagnostic ne s’est pourtant jamais concrétisé. Les prêtres n’ont développé aucune maladie. Protégés par le rosaire.
Le Père Schiffer relata son histoire en 1976 lors d’un congrès à Philadelphie. Il avait alors confirmé que ses confrères jésuites étaient toujours vivants et en bonne santé. Ils ont été examinés par des dizaines d’experts, soit plus de 200 fois au cours des années qui ont suivi la tragédie d’Hiroshima, sans qu’aucune trace de radiation ne soit trouvée dans leurs corps.
Les quatre prêtres ont toujours été persuadés d’avoir bénéficié de la protection de Dieu et de la Vierge. “Nous vivions d’après le message de Fatima et priions le rosaire chaque jour”, ont-ils expliqué.
«Nous pensons que nous avons survécu parce que nous vivions le message de Fatima. Nous avons vécu et prié le Rosaire quotidiennement dans cette maison. Plus de 55 ans plus tard, les scientifiques sont absolument incapables de fournir une explication plausible».
Sources de documentation :
https://fr.qwe.wiki/wiki/Hubert_Schiffer
http://quebecpress.ca/1-hiroshima-nag...
https://www.lepoint.fr/monde/nagasaki...
https://fr.wikipedia.org/wiki/Vierge_...
Livres :
The Rosary of Hiroshima par Hubert Schiffer
Scandaleuse miséricorde: Quand Dieu dépasse les bornes
De Emmanuel Maillard