sv_cheats0
2021-09-15 18:19:08
Article 1er de la loi du 11 germinal an XI (1er avril 1803) : "le noms en usage dans les différents calendriers et ceux des personnages connus dans l'histoire ancienne pourront seuls être reçus comme prénoms sur les registres de l'état civil destinées à constater la naissance des enfants"
Vous voyez que ça laisse un éventail très large.
La jurisprudence vers la fin de cette loi reconnaissait les calendriers français ou étrangers, les noms des personnages connus de l'histoire ancienne, les prénoms consacrés par l'usage relevant d'une situation étrangère ou française, nationale ou locale, les prénoms conformes à une tradition familiale, certains prénoms qui corresondent à des vocables pouvrus d'un sens précis (Jacinthe), les prénoms composés mais de pas plus de deux vocables simples. Il en est de même, vers la fin, des prénoms propres à des idiomes locaux du territoire national (breton, provençaux), ou dans le même esprit des prénoms coraaimes pour les enfants restaurateurs.
En termes négatifs étaient rejetés comme prénoms : les noms de famille, d'objet, de lieux, d'animaux ou de qualités, les noms ou prénoms de théâtre ou pseudonymes, les onomatopées ou faits politiques.
En réalité, n'étaient vraiment rejetés les prénoms considérés ridicules
source :
https://www.senat.fr/leg/1988-1989/i1988_1989_0201.personne bien eduquéef