Autrefois, la sélection naturelle s'opérait de la même manière chez l'humain que chez les autres animaux : les individus les plus aptes à survivre dans leur environnement étaient les plus à même de se reproduire. Conséquemment, l'espèce tendait à s'améliorer au fur et à mesure des générations.
Cependant, avec l'émergence d'un niveau de conscience élevé chez l'espèce humaine, cette dernière a complètement changé de paradigme. L'environnement n'est plus local (forêt, plaine, ...) mais global: un univers froid et vide, dénué de toute raison.
:globe: Dans un tel environnement, les individus les plus aptes sont ceux qui le comprennent le mieux (i.e. les plus high IQ) et ces derniers, ayant conscience de la futilité et de la vacuité de la poursuite de l'espèce, vont choisir d'épargner cette condition à leur progéniture, et ce faisant ne pas transmettre leurs gènes.
:globe: Au contraire, les individus situés à l'autre extrémité de la gaussienne de l'intelligence, et étant les moins à même de s'adapter à leur environnement global (certains étant même encore restés à l'échelle du local), vont se faire sélectionner par la nature (littéralement) en transmettant leurs gènes, évidemment mus par un instinct qu'ils ne parviennent pas à remettre en question.
Ainsi, désormais l'espèce humaine ne tend plus à s'améliorer au fil des générations mais plutôt à se dégrader. La sélection naturelle a atteint sa limite.
"vont choisir d'épargner cette condition à leur progéniture, et ce faisant ne pas transmettre leurs gènes"
Faut être sacrément ravagé pour croire ça. D'ailleurs ceux qui ne font pas d'enfants pour cette raison sont les bobos climatopaniquards avec tout ce qui va avec, très loin d'être des haut QI
Le 12 septembre 2021 à 10:39:55 :
"vont choisir d'épargner cette condition à leur progéniture, et ce faisant ne pas transmettre leurs gènes"
Faut être sacrément ravagé pour croire ça. D'ailleurs ceux qui ne font pas d'enfants pour cette raison sont les bobos climatopaniquards avec tout ce qui va avec, très loin d'être des haut QI
Tu me parles de climat : échelle locale
Je te laisse deviner de quel côté de la gaussienne de l'intelligence tu te situes.
On comprends que la redpill a du mal à passer quand les dizaines de connectés sont murés dans un silence : elle est coincée en travers de leur gorge.
"vont choisir d'épargner cette condition à leur progéniture, et ce faisant ne pas transmettre leurs gènes" : faux, j'appelle ça de la lâcheté, hormis si t'as conditions est exécrable
Up
Ne plus vouloir faire d’enfants, c’est une vision du Narcisse moderne
Le 12 septembre 2021 à 10:44:47 :
"vont choisir d'épargner cette condition à leur progéniture, et ce faisant ne pas transmettre leurs gènes" : faux, j'appelle ça de la lâcheté, hormis si t'as conditions est exécrableUp
Avant même de s'attarder sur le fond, la forme te trahit.
Le 12 septembre 2021 à 10:36:49 :
Autrefois, la sélection naturelle s'opérait de la même manière chez l'humain que chez les autres animaux : les individus les plus aptes à survivre dans leur environnement étaient les plus à même de se reproduire. Conséquemment, l'espèce tendait à s'améliorer au fur et à mesure des générations.Cependant, avec l'émergence d'un niveau de conscience élevé chez l'espèce humaine, cette dernière a complètement changé de paradigme. L'environnement n'est plus local (forêt, plaine, ...) mais global: un univers froid et vide, dénué de toute raison.
:globe: Dans un tel environnement, les individus les plus aptes sont ceux qui le comprennent le mieux (i.e. les plus high IQ) et ces derniers, ayant conscience de la futilité et de la vacuité de la poursuite de l'espèce, vont choisir d'épargner cette condition à leur progéniture, et ce faisant ne pas transmettre leurs gènes.
:globe: Au contraire, les individus situés à l'autre extrémité de la gaussienne de l'intelligence, et étant les moins à même de s'adapter à leur environnement global (certains étant même encore restés à l'échelle du local), vont se faire sélectionner par la nature (littéralement) en transmettant leurs gènes, évidemment mus par un instinct qu'ils ne parviennent pas à remettre en question.Ainsi, désormais l'espèce humaine ne tend plus à s'améliorer au fil des générations mais plutôt à se dégrader. La sélection naturelle a atteint sa limite.
Tellement d'accord avec tout ça, que ça me rend triste. Un mélange de mélancolie et de colère. C'est irréversible malheureusement.
C’est pas parce que t’es en dépression que c’est le cas de tout le monde l’auteur
Le 12 septembre 2021 à 10:47:27 :
Le 12 septembre 2021 à 10:36:49 :
Autrefois, la sélection naturelle s'opérait de la même manière chez l'humain que chez les autres animaux : les individus les plus aptes à survivre dans leur environnement étaient les plus à même de se reproduire. Conséquemment, l'espèce tendait à s'améliorer au fur et à mesure des générations.Cependant, avec l'émergence d'un niveau de conscience élevé chez l'espèce humaine, cette dernière a complètement changé de paradigme. L'environnement n'est plus local (forêt, plaine, ...) mais global: un univers froid et vide, dénué de toute raison.
:globe: Dans un tel environnement, les individus les plus aptes sont ceux qui le comprennent le mieux (i.e. les plus high IQ) et ces derniers, ayant conscience de la futilité et de la vacuité de la poursuite de l'espèce, vont choisir d'épargner cette condition à leur progéniture, et ce faisant ne pas transmettre leurs gènes.
:globe: Au contraire, les individus situés à l'autre extrémité de la gaussienne de l'intelligence, et étant les moins à même de s'adapter à leur environnement global (certains étant même encore restés à l'échelle du local), vont se faire sélectionner par la nature (littéralement) en transmettant leurs gènes, évidemment mus par un instinct qu'ils ne parviennent pas à remettre en question.Ainsi, désormais l'espèce humaine ne tend plus à s'améliorer au fil des générations mais plutôt à se dégrader. La sélection naturelle a atteint sa limite.
Tellement d'accord avec tout ça, que ça me rend triste. Un mélange de mélancolie et de colère. C'est irréversible malheureusement.
La réalité est triste, et une fois qu'on l'a compris, on ne peut plus s'en abscondre.
Le 12 septembre 2021 à 10:50:20 :
Le 12 septembre 2021 à 10:47:27 :
Le 12 septembre 2021 à 10:36:49 :
Autrefois, la sélection naturelle s'opérait de la même manière chez l'humain que chez les autres animaux : les individus les plus aptes à survivre dans leur environnement étaient les plus à même de se reproduire. Conséquemment, l'espèce tendait à s'améliorer au fur et à mesure des générations.Cependant, avec l'émergence d'un niveau de conscience élevé chez l'espèce humaine, cette dernière a complètement changé de paradigme. L'environnement n'est plus local (forêt, plaine, ...) mais global: un univers froid et vide, dénué de toute raison.
:globe: Dans un tel environnement, les individus les plus aptes sont ceux qui le comprennent le mieux (i.e. les plus high IQ) et ces derniers, ayant conscience de la futilité et de la vacuité de la poursuite de l'espèce, vont choisir d'épargner cette condition à leur progéniture, et ce faisant ne pas transmettre leurs gènes.
:globe: Au contraire, les individus situés à l'autre extrémité de la gaussienne de l'intelligence, et étant les moins à même de s'adapter à leur environnement global (certains étant même encore restés à l'échelle du local), vont se faire sélectionner par la nature (littéralement) en transmettant leurs gènes, évidemment mus par un instinct qu'ils ne parviennent pas à remettre en question.Ainsi, désormais l'espèce humaine ne tend plus à s'améliorer au fil des générations mais plutôt à se dégrader. La sélection naturelle a atteint sa limite.
Tellement d'accord avec tout ça, que ça me rend triste. Un mélange de mélancolie et de colère. C'est irréversible malheureusement.
La réalité est triste, et une fois qu'on l'a compris, on ne peut plus s'en abscondre.
La réalité est neutre, la tristesse est une émotion animale au même titre que la joie; elle n’a en définitive, aucun fondement
Le 12 septembre 2021 à 10:52:27 :
Le 12 septembre 2021 à 10:50:20 :
Le 12 septembre 2021 à 10:47:27 :
Le 12 septembre 2021 à 10:36:49 :
Autrefois, la sélection naturelle s'opérait de la même manière chez l'humain que chez les autres animaux : les individus les plus aptes à survivre dans leur environnement étaient les plus à même de se reproduire. Conséquemment, l'espèce tendait à s'améliorer au fur et à mesure des générations.Cependant, avec l'émergence d'un niveau de conscience élevé chez l'espèce humaine, cette dernière a complètement changé de paradigme. L'environnement n'est plus local (forêt, plaine, ...) mais global: un univers froid et vide, dénué de toute raison.
:globe: Dans un tel environnement, les individus les plus aptes sont ceux qui le comprennent le mieux (i.e. les plus high IQ) et ces derniers, ayant conscience de la futilité et de la vacuité de la poursuite de l'espèce, vont choisir d'épargner cette condition à leur progéniture, et ce faisant ne pas transmettre leurs gènes.
:globe: Au contraire, les individus situés à l'autre extrémité de la gaussienne de l'intelligence, et étant les moins à même de s'adapter à leur environnement global (certains étant même encore restés à l'échelle du local), vont se faire sélectionner par la nature (littéralement) en transmettant leurs gènes, évidemment mus par un instinct qu'ils ne parviennent pas à remettre en question.Ainsi, désormais l'espèce humaine ne tend plus à s'améliorer au fil des générations mais plutôt à se dégrader. La sélection naturelle a atteint sa limite.
Tellement d'accord avec tout ça, que ça me rend triste. Un mélange de mélancolie et de colère. C'est irréversible malheureusement.
La réalité est triste, et une fois qu'on l'a compris, on ne peut plus s'en abscondre.
La réalité est neutre, la tristesse est une émotion animale au même titre que la joie; elle n’a en définitive, aucun fondement
C'est parfaitement vrai
ce sont les demi-haviles qui ne veulent pas d'enfant en se sentant dissidents et éclairés sur le monde
Le 12 septembre 2021 à 10:44:47 :
"vont choisir d'épargner cette condition à leur progéniture, et ce faisant ne pas transmettre leurs gènes" : faux, j'appelle ça de la lâcheté, hormis si t'as conditions est exécrableUp
C'est un troll ?
Le 12 septembre 2021 à 10:39:55 :
"vont choisir d'épargner cette condition à leur progéniture, et ce faisant ne pas transmettre leurs gènes"
Faut être sacrément ravagé pour croire ça. D'ailleurs ceux qui ne font pas d'enfants pour cette raison sont les bobos climatopaniquards avec tout ce qui va avec, très loin d'être des haut QI
Il y aussi un truc qu'on a et que les animaux n'ont pas, c'est la contraception. Ce ne sont plus ceux qui baisent le plus qui se reproduisent le plus
Le 12 septembre 2021 à 11:00:41 :
Il y aussi un truc qu'on a et que les animaux n'ont pas, c'est la contraception. Ce ne sont plus ceux qui baisent le plus qui se reproduisent le plus
L'utilisation de contraception est motivée par un refus de potentielle fécondation (en excluant les MST) et est donc incluse dans mon raisonnement