Rhodesia1RLI
2021-08-29 20:14:36
Un cul sublime, intemporel, bombé comme il faut, sans l'excès vulgaire de graisse si prisé par les hommes de peu et les puceaux, et dépassant nonobstant de loin les culs plats que disent apprécier les déficients en testostérone.
Sa peau lisse et sans accroc est un délice que je goûte et goûte à nouveau. Je l'embrasse, je le lèche, je ne me lasse point de le toucher, et me prend alors la folie, la rage, la colère que ne renierait pas Achille lésé, et j'enfonce alors mon visage dans ce cul sublime, explorant chaque pore, allant jusqu'au saint des saints, admis enfin dans le secret des Dieux. Il est dit qu'Origène d'Alexandrie écrivit, dans ses œuvres secrètes et de scandale, qu'il percevait un secret ultime et transcendant, qu'il pouvait sentir mais que jamais il n'atteindrait. Or ce sentiment me revient lorsque ma langue honore l'anus sucré de ma copine, à ceci près que contrairement à Origène l'infortuné, je puis atteindre l'ultime secret gnostique, tant ce cul traverse la Providence des Eons et le savoir des Archontes.
Alors me sens-je proche de tous les grands amateurs de culs de l'Histoire terrible, de Périclès qui eût pu damner Athènes pour le cul de l'exotique Aspasie, d'Alexandre reniant Héphestion quand il vit le cul de la Perse Roxane, de Napoléon songeant sous le soleil d'Austerlitz et les flammes de Moscou au cul de Joséphine, jusqu'au divin Achille aux pieds agiles, se révoltant contre le souverain maître Agamemnon, pour le cul de Briséis aux belles joues.
Et lors je me fais conquérant de ce sublime cul, ce cul enivrant comme le vin de Chios, ce cul callipyge, ce cul grec pourrait-on dire, cette épouse vierge de la volupté, cet enfant adoptif de la beauté et du désir. Ma copine elle-même accepte la bataille, et mon sexe se met en branle pour la quête d'Ilios aux grandes murailles. Et malgré mes coups de reins furieux je ne puis que voir ce cul, maudissant ma condition d'homme de ne pouvoir enculer et lécher ce cul en même temps. Et lors de la jouissance, je ne puis empêcher mes larmes de couler, de joie d'avoir pu voir ce cul beau et terrible comme l'Olympe, et mon malheur devant l'évidence que ce cul, comme tout ce qui est beau et vrai en ce monde perdu, n'est pas et ne sera pas éternel.
Chanclardeux
2021-08-29 20:18:12
Le 29 août 2021 à 20:14:36 :
Un cul sublime, intemporel, bombé comme il faut, sans l'excès vulgaire de graisse si prisé par les hommes de peu et les puceaux, et dépassant nonobstant de loin les culs plats que disent apprécier les déficients en testostérone.
Sa peau lisse et sans accroc est un délice que je goûte et goûte à nouveau. Je l'embrasse, je le lèche, je ne me lasse point de le toucher, et me prend alors la folie, la rage, la colère que ne renierait pas Achille lésé, et j'enfonce alors mon visage dans ce cul sublime, explorant chaque pore, allant jusqu'au saint des saints, admis enfin dans le secret des Dieux. Il est dit qu'Origène d'Alexandrie écrivit, dans ses œuvres secrètes et de scandale, qu'il percevait un secret ultime et transcendant, qu'il pouvait sentir mais que jamais il n'atteindrait. Or ce sentiment me revient lorsque ma langue honore l'anus sucré de ma copine, à ceci près que contrairement à Origène l'infortuné, je puis atteindre l'ultime secret gnostique, tant ce cul traverse la Providence des Eons et le savoir des Archontes.
Alors me sens-je proche de tous les grands amateurs de culs de l'Histoire terrible, de Périclès qui eût pu damner Athènes pour le cul de l'exotique Aspasie, d'Alexandre reniant Héphestion quand il vit le cul de la Perse Roxane, de Napoléon songeant sous le soleil d'Austerlitz et les flammes de Moscou au cul de Joséphine, jusqu'au divin Achille aux pieds agiles, se révoltant contre le souverain maître Agamemnon, pour le cul de Briséis aux belles joues.
Et lors je me fais conquérant de ce sublime cul, ce cul enivrant comme le vin de Chios, ce cul callipyge, ce cul grec pourrait-on dire, cette épouse vierge de la volupté, cet enfant adoptif de la beauté et du désir. Ma copine elle-même accepte la bataille, et mon sexe se met en branle pour la quête d'Ilios aux grandes murailles. Et malgré mes coups de reins furieux je ne puis que voir ce cul, maudissant ma condition d'homme de ne pouvoir enculer et lécher ce cul en même temps. Et lors de la jouissance, je ne puis empêcher mes larmes de couler, de joie d'avoir pu voir ce cul beau et terrible comme l'Olympe, et mon malheur devant l'évidence que ce cul, comme tout ce qui est beau et vrai en ce monde perdu, n'est pas et ne sera pas éternel.