Le 26 août 2021 à 05:06:32 :
Ils sont tellement nombreux flemme de tous les écrire
Fais le mon kheyou
effet négatif de vivre dans une ville pollué (Paris, marseille...) par rapport aux petit villages ?
Risques de dépendance
C’est certainement l’un des points les plus éclairants de cette étude. Selon les auteurs, près d’un consommateur sur dix (9%) développe une addiction. Pour les utilisateurs qui ont commencé à l’adolescence, ce taux peut grimper jusqu’à 17%, 25 à 50% pour les fumeurs quotidiens. Des chiffres qui font relativiser l’idée qu’il s’agirait d’une « drogue douce »…
Le cannabis est-il une porte d’entrée vers d’autres drogues ? « Possible », selon les auteurs, qui se montrent beaucoup moins tranchés sur ce point. L’alcool et le tabac pourraient avoir le même rôle, et il semble encore difficile de distinguer ce qui relève du parcours individuel et ce qui a trait aux caractéristiques intrinsèques du produit.
Impact sur le Q.I
L’impact du cannabis est avant tout neurologique, affirment les auteurs qui rappellent la vulnérabilité du cerveau, notamment lors de son développement pendant l’adolescence. Ainsi, plusieurs études montrent que la consommation de marijuana agit directement sur le précuneus, la région cérébrale impliquée dans la vigilance et la conscience de soi, ainsi que sur l’hippocampe, impliquée dans l’apprentissage et la mémorisation.
Les adultes ayant régulièrement fumé du cannabis au cours de leur adolescence présentent une connectivité neuronale diminuée, expliquent les auteurs qui observent « une association entre usage fréquent (…) et déclin significatif du QI ». Ces symptômes apparaissent d’ailleurs sur le court terme : désorganisation de la mémoire, altération du jugement, difficultés à se concentrer…
Effets psychiatriques
Si l’usage du cannabis est bel et bien associé à un risque accru d’anxiété et de dépression, « la causalité n’a pas été établie ». Il semblerait plutôt que la marijuana exacerbe le cours de certaines maladies psychiatriques chez des sujets présentant une vulnérabilité génétique, notamment chez les schizophrènes.
Chez ces sujets à risque, le cannabis peut générer des épisodes psychotiques de manière prématurée (entre 2 à 6 ans).
Décrochage scolaire
L’étude passe en revue plusieurs risques psychosociaux liés à la consommation de marijuana : échec scolaire, faibles revenus à l’âge adulte, recours accrus aux services sociaux, chômage, criminalité et moindre réalisation personnelle dans l’existence… Mais les auteurs nuancent ce constat, en raison des multiples facteurs confondants.
A ce sujet, le Lancet Psychiatry a publié une étude très complète, qui analyse l’impact du cannabis sur la scolarité. Une équipe australienne a passé en revue les résultats de trois grandes études longitudinales, qui ont inclus plus de 3 700 jeunes de 17 ans. Les fumeurs quotidiens paient le prix le plus lourd : la probabilité qu’ils achèvent leur parcours scolaire dans le secondaire, ou qu’ils obtiennent un diplôme universitaire, est réduite de 60 %.
Effets respiratoires et cardiovasculaires
De faibles taux de cannabis ne semblent pas avoir d’effet significatif sur les voies respiratoires et le système cardiovasculaire. Cependant, les auteurs notent une prédominence des infections respiratoires et des pneumonies chez les fumeurs réguliers.
« On ne peut exclure une association positive entre la marijuana et cancer du poumon, mais les résultats suggèrent que le risque est plus faible avec la marijuana qu’avec le tabac », avancent les auteurs.
Sur le plan cardiovasculaire, ils font preuve d’autant de prudence. La littérature existante mentionne une association entre consommation de cannabis et risques accrus d’AVC, AIT et infarctus. « Mais les mécanismes sous-jacents aux effets de la marijuana sur les systèmes cardiovasculaire et cérébrovasculaires sont complexes et imparfaitement compris », concluent les auteurs.
Les consommateurs prennent ces risques au sérieux
Avec ces différentes mises au point de la littérature, difficile pour les consommateurs de faire la politique de l’autruche. Beaucoup s’alarment du caractère addictif de cette drogue et de ses effets sur leur santé. Sur le terrain, les professionnels de santé remarquent une modification des comportements : l’insouciance des années 1990 a fait place à une réelle prise de conscience.
Jean-Michel Delile travaille ainsi depuis vingt-cinq ans au CEID, le Comité d’Etude et d’Information sur la Drogue et les addictions. A Bordeaux, il tient également l’une des antennes Consultation Cannabis, mise en place par le gouvernement lors du plan national de lutte contre les drogues et toxicomanies. « La fréquentation est en hausse constante depuis quelques années. Beaucoup viennent de manière spontanée ; ce ne sont pas forcément des personnes dépendantes, mais de simples usagers qui s‘inquiètent ».
Le 26 août 2021 à 05:12:25 :
Des ressentis perso ?
Moi ça m'a surtout rend associal, parano et plus lent du bulbe
Le 26 août 2021 à 05:13:27 :
Le 26 août 2021 à 05:12:25 :
Des ressentis perso ?Moi ça m'a surtout rend associal, parano et plus lent du bulbe
Pareil, ta arrêté quand et ta fréquence c’était quoi ?
Le 26 août 2021 à 05:13:27 :
Le 26 août 2021 à 05:12:25 :
Des ressentis perso ?Moi ça m'a surtout rend associal, parano et plus lent du bulbe
c'est la depression / l'isolement social qui t'ont rendus teubé
Le 26 août 2021 à 05:25:24 :
Le 26 août 2021 à 05:13:27 :
Le 26 août 2021 à 05:12:25 :
Des ressentis perso ?Moi ça m'a surtout rend associal, parano et plus lent du bulbe
c'est la depression / l'isolement social qui t'ont rendus teubé
Je suis pas et n'étais pas en dépression ni en isolement social
Le 26 août 2021 à 05:17:56 :
Le 26 août 2021 à 05:13:27 :
Le 26 août 2021 à 05:12:25 :
Des ressentis perso ?Moi ça m'a surtout rend associal, parano et plus lent du bulbe
Pareil, ta arrêté quand et ta fréquence c’était quoi ?
Oui je fume plus depuis 2 ans, je fumais peut être 5-6 par jours
Le 26 août 2021 à 05:26:50 :
Le 26 août 2021 à 05:17:56 :
Le 26 août 2021 à 05:13:27 :
Le 26 août 2021 à 05:12:25 :
Des ressentis perso ?Moi ça m'a surtout rend associal, parano et plus lent du bulbe
Pareil, ta arrêté quand et ta fréquence c’était quoi ?
Oui je fume plus depuis 2 ans, je fumais peut être 5-6 par jours
Faut vraiment que j’arrête aussi ça
Même nombre que toi
Le 26 août 2021 à 05:09:26 :
Risques de dépendance
C’est certainement l’un des points les plus éclairants de cette étude. Selon les auteurs, près d’un consommateur sur dix (9%) développe une addiction. Pour les utilisateurs qui ont commencé à l’adolescence, ce taux peut grimper jusqu’à 17%, 25 à 50% pour les fumeurs quotidiens. Des chiffres qui font relativiser l’idée qu’il s’agirait d’une « drogue douce »…Le cannabis est-il une porte d’entrée vers d’autres drogues ? « Possible », selon les auteurs, qui se montrent beaucoup moins tranchés sur ce point. L’alcool et le tabac pourraient avoir le même rôle, et il semble encore difficile de distinguer ce qui relève du parcours individuel et ce qui a trait aux caractéristiques intrinsèques du produit.
Impact sur le Q.I
L’impact du cannabis est avant tout neurologique, affirment les auteurs qui rappellent la vulnérabilité du cerveau, notamment lors de son développement pendant l’adolescence. Ainsi, plusieurs études montrent que la consommation de marijuana agit directement sur le précuneus, la région cérébrale impliquée dans la vigilance et la conscience de soi, ainsi que sur l’hippocampe, impliquée dans l’apprentissage et la mémorisation.Les adultes ayant régulièrement fumé du cannabis au cours de leur adolescence présentent une connectivité neuronale diminuée, expliquent les auteurs qui observent « une association entre usage fréquent (…) et déclin significatif du QI ». Ces symptômes apparaissent d’ailleurs sur le court terme : désorganisation de la mémoire, altération du jugement, difficultés à se concentrer…
Effets psychiatriques
Si l’usage du cannabis est bel et bien associé à un risque accru d’anxiété et de dépression, « la causalité n’a pas été établie ». Il semblerait plutôt que la marijuana exacerbe le cours de certaines maladies psychiatriques chez des sujets présentant une vulnérabilité génétique, notamment chez les schizophrènes.Chez ces sujets à risque, le cannabis peut générer des épisodes psychotiques de manière prématurée (entre 2 à 6 ans).
Décrochage scolaire
L’étude passe en revue plusieurs risques psychosociaux liés à la consommation de marijuana : échec scolaire, faibles revenus à l’âge adulte, recours accrus aux services sociaux, chômage, criminalité et moindre réalisation personnelle dans l’existence… Mais les auteurs nuancent ce constat, en raison des multiples facteurs confondants.A ce sujet, le Lancet Psychiatry a publié une étude très complète, qui analyse l’impact du cannabis sur la scolarité. Une équipe australienne a passé en revue les résultats de trois grandes études longitudinales, qui ont inclus plus de 3 700 jeunes de 17 ans. Les fumeurs quotidiens paient le prix le plus lourd : la probabilité qu’ils achèvent leur parcours scolaire dans le secondaire, ou qu’ils obtiennent un diplôme universitaire, est réduite de 60 %.
Effets respiratoires et cardiovasculaires
De faibles taux de cannabis ne semblent pas avoir d’effet significatif sur les voies respiratoires et le système cardiovasculaire. Cependant, les auteurs notent une prédominence des infections respiratoires et des pneumonies chez les fumeurs réguliers.« On ne peut exclure une association positive entre la marijuana et cancer du poumon, mais les résultats suggèrent que le risque est plus faible avec la marijuana qu’avec le tabac », avancent les auteurs.
Sur le plan cardiovasculaire, ils font preuve d’autant de prudence. La littérature existante mentionne une association entre consommation de cannabis et risques accrus d’AVC, AIT et infarctus. « Mais les mécanismes sous-jacents aux effets de la marijuana sur les systèmes cardiovasculaire et cérébrovasculaires sont complexes et imparfaitement compris », concluent les auteurs.
Les consommateurs prennent ces risques au sérieux
Avec ces différentes mises au point de la littérature, difficile pour les consommateurs de faire la politique de l’autruche. Beaucoup s’alarment du caractère addictif de cette drogue et de ses effets sur leur santé. Sur le terrain, les professionnels de santé remarquent une modification des comportements : l’insouciance des années 1990 a fait place à une réelle prise de conscience.Jean-Michel Delile travaille ainsi depuis vingt-cinq ans au CEID, le Comité d’Etude et d’Information sur la Drogue et les addictions. A Bordeaux, il tient également l’une des antennes Consultation Cannabis, mise en place par le gouvernement lors du plan national de lutte contre les drogues et toxicomanies. « La fréquentation est en hausse constante depuis quelques années. Beaucoup viennent de manière spontanée ; ce ne sont pas forcément des personnes dépendantes, mais de simples usagers qui s‘inquiètent ».
très discutable tout ça, les seules modifications réelles sur le cerveau chez les consommateurs réguliers depuis l’adolescence sont une diminution du lobe pré-frontal relative et une augmentation de la capacité à socialiser supérieure
mais même ça c’est relatif, le plus gros risque avec le join ce sont les habitudes et les fréquentations qu’il apporte quand on est jeune
on commence à bedave parce que son groupe de pote le fait, on arrête de bosser et de réfléchir ensemble et voilà, je suis persuadé perso que ça justifie au moins 80% des changements observés chez les fumeurs
Le 26 août 2021 à 05:29:25 :
Le 26 août 2021 à 05:26:50 :
Le 26 août 2021 à 05:17:56 :
Le 26 août 2021 à 05:13:27 :
Le 26 août 2021 à 05:12:25 :
Des ressentis perso ?Moi ça m'a surtout rend associal, parano et plus lent du bulbe
Pareil, ta arrêté quand et ta fréquence c’était quoi ?
Oui je fume plus depuis 2 ans, je fumais peut être 5-6 par jours
Faut vraiment que j’arrête aussi ça
Même nombre que toi
Franchement oui je te conseille d'arrêter
Tu te sent mieux dans ton esprit, tout est plus clair.