SnortingMorphin
2021-08-15 21:22:07
Salut les clé, je suis tombé le risitas du khey Pogo111 de tout a l'heure qui raconte un passage difficile de sa vie en rendant ça marrant, j'ai voulu faire pareil mais j'ai aucun talent d’écriture, ne sait pas comment mettre des stickers, mais en essayant je me suis rendu compte du bien que cela me faisait un bien fou de poser ça par écrit donc j'ai continuer et maintenant je veux le partager, c'est long, mal rédigé, et ce n'est qu'une bribe de ce que j'ai qui me tourmente tout les jours, même heures.
J'attends même pas forcément de réponses, mais je répondrais si questions il y a
Le ton est donné avant même ma naissance, ma mère a voulu me faire disparaitre par l'avortement, en tout cas elle me l’a rappelée un bon paquet de fois.
De ma naissance à 18 ans j’étais en cité, avec un père qui est la plus grosse lopette que j’ai connu, à base de : la violence ne sert à rien, il faut éviter les conflits
Vous imaginez bien comment ça s’est passer au début
Ma mère était bipolaire borderline, j’ai baigner dans la violence et les insultes jusqu’à mes 20 ans, lorsqu’elle s’est suicidée ( j’en suis même content limite) Elle l’a fait car elle a tromper mon père quelques années avant (toutes des putes même maman ), mon père était devenu ultra violent, surtout psychologiquement (ça a duré de mes 15 ans a mes 20ans), il insulté tout le monde de la pire des manières ( Toi (moi) on a voulu te balancer dans une benne le jour même de ta naissance, je regrette de pas l’avoir fait. Ma sœur constamment traiter de pute, elle avait 7ans )
Et avec ma mère… physiquement aussi, même moi je l’ai été au début en voulant probablement imité celui qui été censé m’apprendre à être un homme, ce que j’ai finalement appris seul, car il n’en a et ne n’en sera jamais un. Peut être aussi le fait qu’elle m’a énormément violenter, encore une fois psychologiquement et certaine fois physique, très jeune je « n’avait pas été sage » donc elle m’a laisser sur le bas coter de la route en disant m’abandonner, j’ai du rentrer à pied. Comme accueil j’ai eu droit à un beau : Putain tu foutais quoi espèce de merde t’as mit trop de temps, en me donnant une bonne DROITE, pas une gifle Sans compter les cendriers dans la gueule ou les balais cassés sur mon dos.
Ce qui me sert de parents étaient des gros prolos sans aucune compétence ni ambition, maintenant je leur en veut d’avoir fait des enfants, surtout 3, je trouve que ça représente l'égoïsme à son paroxysme.
En 2018 j’ai subit une rupture après 6ans de relation, encore plus dur que le suicide de ma mère. Maintenant ça va, j’ai mit 2 ans a m’en remettre, après une tentative de suicide, la 4éme entre mes 13 a 20ans ça a été la dernière j'en ai 25 maintenant
Résultat: dépressif, suicidaire par périodes, peux être extrêmement violent, « accro psychologiquement aux opiacés et benzo » mais sans l’être vraiment c’est des pulsions incontrôlables, la par exemple je me suis dit que je voulais oublier, donc j’harcèle des connaissances susceptible de me trouver de la kétamine comme un tox en manque alors que j'en ai pas pris depuis 1 an, aucune confiance en moi, timide maladif mais j'arrive a sociabiliser et me faire adorer par beaucoup de monde quand j'ai un peu de drogue dans le sang, de l'heroine au lsd en passant par l'alcool + cocaïne, du coup obliger de boire quand je dois sociabiliser ( oui oui quand je commence un boulot ou rencontre de la famille, je dois boire sinon je passe pour un asocial )
Patapé pour les fautes