Qui l'a vu ? Je n'en entend pas trop parler alors que c'est un des plus beau film du cinéma
Ce film qui retrace la folie des états major français que nos arriere grand parent ont subi pendant la 1ere guerre mondiale, refusant d'avancer plus sur les lignes allemandes qui étaient des opérations suicide de grande envergure fomenté par les généraux français et qui fusillèrent tous ceux qui ne voulaient plus avancer pour traitrise.
Bien sur la scène de fin est ultra connu mais la plus belle de tous. Pendant que les soldats français sont dans un bar, le tenancier présente sa serveuse allemande que tout les français se moquent d'elles et la sifflent
Un des rares films sur le sujet, il a d'ailleurs été censuré jusque 1975 en Francehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494161773-jesusitas.png
Le 20 août 2021 à 19:11:43 : Un des rares films sur le sujet, il a d'ailleurs été censuré jusque 1975 en Francehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494161773-jesusitas.png
Nos dirigeants n'assumez pas ce qu'ils avaient fait au peuple pendant cette guerre
Ceci dit ce qui l'ont décensuré c'était pour créer un sentiment antipatriotique aussihttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494161773-jesusitas.png
La nana qui chante, c'est la femme de Kubrick je crois
Sinon, bon film. Je me rappellerai toujours du soldat qui pleure sur l'épaule du prêtre en allant au peloton d'exécution, une fois qu'il réalise qu'il va mourir
Le 20 août 2021 à 19:19:21 1_red_boule a écrit : La nana qui chante, c'est la femme de Kubrick je crois
Sinon, bon film. Je me rappellerai toujours du soldat qui pleure sur l'épaule du prêtre en allant au peloton d'exécution, une fois qu'il réalise qu'il va mourir
Je l'ai pas vu encore mais j'ai repensé à cette scène de fin la et je suis bouleversé, je vais le voir de ce pas. C'est horrible ce qui s'est passé
Le 20 août 2021 à 19:45:30 Everett-Jones a écrit : C'est un film super connu chez les cinéphiles. Je l'ai même vu en rétrospective.
Les cinéphiles oui mais j'en entend jamais parler dans les tops films des dits cinéphiles ou même dans les plus grand film du cinéma, même à la télé il passe pas. Je sais pas si actuellement beaucoup de gens le connaissent alors que ça devrait etre un film national
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/32/3/1628701178-golem-coupe-nwo.pngSans oublier le génocide Breton à la WWI, juste après la révolution. Et après ça, vous restez des républicains, mon dieu.
… (Nombreux ont été fusillés parce qu’ils ne parlaient pas français et ne comprenaient pas les ordres, à l’époque plus de la moitié de la population Bretonne ne parlait que le Breton)
Quel sera le sort des 600.000 Bretons engagés dans la guerre de 1914 (qui ne les concernaient pas, par la sacre bleuation du traité de 1499) , de l’enlisement dans les tranchées de Verdun à la somme combattants sur plusieurs fronts avec souvent peu de munitions et dépourvus de formations militaire, de l’emploi des Gaz par les allemands à partir d’avril 1915 des bretons morts par milliers en une seule journée. on leur impose de tenir sur les tranchées et de ne pas venir sous l’arrière sous peine d’être fusillés et d’enterrer leur camarades comme des doggos à la merci des animaux sauvages. Le général Nivelle (chemin des dames) « qu’est ce que j’en ai consommé de Bretons ». L’activation des identités régionales en guerre se marque aussi par des interrogations sur la place de chacun dans l’effort national : certaines troupes ne seraient-elles pas plus facilement « sacrifiées » que d’autres… les Bretons étant réputés têtus étaient dispersés (toujours la peur de Conlie, 1870) sur de multiples fronts…Avec l’après-guerre, ce discours se développe dans plusieurs régions comme la Corse et la Bretagne. A vrai dire, il fait l’objet de deux investissements opposés. Les mouvements régionalistes ou « nationalistes » dénoncent l’emploi de leur « provinces » comme chair à canon.
Près de la basilique d’Auray, un monument fut construit de 1922 à 1932 pour honorer les 240.000 BRETONS MORTS. (à cause de la France et de sa guerre avec ces cousins germains, les Allemands) Des noms, rien que des noms et des prénoms de soldats morts, des noms de paroisses. Sur le mur de clôture du parc qui ceint le mémorial de 14-18 de Sainte-Anne d’Auray, les noms gravés de 8 000 soldats bretons s’égrènent sur plusieurs centaines de mètres. Une litanie. Les familles payèrent pour voir le nom de leur proche « mort pour la France » gravé non loin de la basilique et du saint breton, Yves Nicolazic. À côté de la crypte, une plaque retcommunauté l’histoire du monument. « Construit de 1922 à 1932 par les catholiques des cinq diocèses de Bretagne pour garder le souvenir des 240 000 Bretons, soldats, marins, aviateurs et civils, victimes de la Grande Guerre 1914-1918. La crypte bénite en 1927 est une chapelle pour la prière. Elle ne contient aucune tombe. » L’inauguration du Mémorial eut lieu le 24 juillet 1932 devant d’une foule d’anciens combattants. LA BRETAGNE avait fourni plus de chair à canon que d’autres peuples de France dans les tranchées de 14-18. La saignée a bouleversé la vie bretonne en profondeur, jusque dans sa langue. Le monument aux morts de chaque village en témoigne.
Un chef d'oeuvre. La fille qui chante à la fin, c'est la femme de Kubrick, et c'est la nièce d'un réalisateur allemand qui a réalisé le célèbre film de propagande nazie antisémite dans les années 30
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