Etre blackpill = Etre malheureux

Quand on regarde le monde tel qu'il est vraiment on peut etre que malheureux

Sauf si t'es un gagnanthttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/27/6/1499526869-goku-ginyu-detecteur.png

Bordel Wohaha = Belladonna ?

Le 15 août 2021 à 11:57:29 chimpanze-naif a écrit :
Bordel Wohaha = Belladonna ?

Je suis un des rares kheys qui fait encore des topics sourcés aujourd'hui ça réponds à ta question?

Le 15 août 2021 à 11:57:29 :
Bordel Wohaha = Belladonna ?

A oé la parano

Le 15 août 2021 à 11:58:07 :

Le 15 août 2021 à 11:57:29 chimpanze-naif a écrit :
Bordel Wohaha = Belladonna ?

Je suis un des rares kheys qui fait encore des topics sourcés aujourd'hui ça réponds à ta question?

Non

Le 15 août 2021 à 11:58:44 :

Le 15 août 2021 à 11:57:29 :
Bordel Wohaha = Belladonna ?

A oé la parano

Oué je fais une obsession de savoir qui est qui ici, quand y"a un nouveau pseudo mais qu'on sent qu'il avait un autre pseudo avant ça m'intrigue Idem concernant les secondaires

Le 15 août 2021 à 11:56:50 :
Sauf si t'es un gagnanthttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/27/6/1499526869-goku-ginyu-detecteur.png

Tu peut pas etre blackpill et etre un winner meme si c'est le cas tu souffrira toujours les gens ignorant sont les plus heureux

Non.

Quand t'es pas concerné c'est limite marrant à avaler

[11:56:50] <Wohaha6571>
Sauf si t'es un gagnanthttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/27/6/1499526869-goku-ginyu-detecteur.png

Ce qui ne seras jamais ton cas

Le 15 août 2021 à 12:01:55 Tumeur-sympa a écrit :

[11:56:50] <Wohaha6571>
Sauf si t'es un gagnanthttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/27/6/1499526869-goku-ginyu-detecteur.png

Ce qui ne seras jamais ton cas

Exact can génétique de merde

Le 15 août 2021 à 12:01:51 Euleratosthene a écrit :
Quand t'es pas concerné c'est limite marrant à avaler

T'as tout comprishttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/27/6/1499526869-goku-ginyu-detecteur.png

Je parle pas juste de blackpill avec les meufs mais avec tout le reste aussi

Les bouddhistes identifient deux émotions principales au début de la voie, appelées en pali saṁvega et pasāda.

• (...) Très peu d'entre nous en ont entendu parler, mais ce sont les émotions les plus fondamentales de la tradition bouddhiste. Non seulement elles ont inspiré le jeune prince dans sa quête de l'éveil. Même après être devenu le Bouddha, il a conseillé à ses disciples de les cultiver au quotidien. En fait, la façon dont il a géré ces émotions est si particulière qu'elle pourrait être l'une des contributions les plus importantes que ses enseignements ont à offrir à notre culture aujourd'hui. Saṁvega est ce que le jeune prince Siddhartha a ressenti lors de son premier contact avec le vieillissement, la maladie et la mort. C'est un mot difficile à traduire parce qu'il couvre une gamme si complexe - au moins trois groupes de sentiments à la fois : le sentiment oppressant de consternation, de terreur et d'aliénation qui vient avec la réalisation de la futilité et de l'absence de sens de la vie telle qu'elle est normalement vécue ; un sentiment châtié de notre propre complicité, de notre complaisance et de notre sottise pour nous être laissés vivre si aveuglément ; et un sentiment anxieux d'urgence en essayant de trouver un moyen de sortir du cycle insensé. Il s'agit d'un ensemble de sentiments que nous avons tous éprouvés à un moment ou à un autre du processus de croissance. (...) Comme saṁvega, pasāda recouvre un ensemble complexe de sentiments. On le traduit généralement par "clarté et confiance sereine" - des états mentaux qui empêchent le saṁvega de se transformer en désespoir. Dans le cas du prince, il a acquis un sens clair de sa situation difficile, ainsi que la certitude d'avoir trouvé une issue. Comme l'admettent librement les premiers enseignements bouddhistes, la situation difficile est que le cycle de la naissance, du vieillissement et de la mort n'a aucun sens. Ils ne cherchent pas à nier ce fait et ne nous demandent donc pas d'être malhonnêtes avec nous-mêmes ou de fermer les yeux sur la réalité. Comme l'a dit un enseignant, la reconnaissance bouddhiste de la réalité de la souffrance - si importante que la souffrance est honorée comme la première noble vérité - est un cadeau. Elle confirme notre expérience la plus sensible et la plus directe des choses, une expérience que de nombreuses autres traditions tentent de nier. À partir de là, les premiers enseignements nous demandent de devenir encore plus sensibles, jusqu'à ce que nous voyions que la véritable cause de la souffrance ne se trouve pas à l'extérieur - dans la société ou un être extérieur - mais ici, dans le désir présent dans chaque esprit individuel. Ils confirment alors qu'il existe une fin à la souffrance, une libération du cycle. Et ils montrent le chemin vers cette libération, en développant les nobles qualités déjà latentes dans l'esprit jusqu'à ce qu'elles puissent rejeter le désir et s'ouvrir à l'immortalité. La situation difficile a donc une solution pratique, une solution à la portée de chaque être humain. C'est aussi une solution ouverte à l'examen critique et à la mise à l'épreuve - une indication de la confiance du Bouddha lui-même dans sa façon de traiter le problème du saṁvega. C'est l'un des aspects du bouddhisme authentique qui attire le plus les gens qui en ont assez de se faire dire qu'ils devraient essayer de nier les intuitions qui ont inspiré leur sentiment de saṁvega en premier lieu. (...) Ainsi, l'attitude bouddhiste envers la vie cultive le saṁvega - un sens aigu de l'insignifiance du cycle de la naissance, du vieillissement et de la mort - et le développe en pasāda : un chemin confiant vers l'immortalité. Ce chemin comprend non seulement des conseils éprouvés par le temps, mais aussi une institution sociale qui les nourrit et les maintient en vie. Ce sont toutes des choses dont nous et notre société avons désespérément besoin. En examinant les enseignements du Bouddha pour voir ce qu'ils offrent au courant dominant de notre vie moderne, nous devrions nous rappeler que l'une des sources de la force du bouddhisme est sa capacité à garder un pied en dehors du courant dominant, et que la métaphore traditionnelle de la pratique est qu'elle traverse le courant pour rejoindre la rive opposée.

En résumé : cette réalisation de la souffrance-insatisfaction inhérente à l'existence ne doit pas te submerger, mais au contraire te servir de force pour aller de l'avant dans ton chemin spirituel, vers l'unique porte de sortie : l'inconditionné.